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Le portrait extrêmement fin et bien écrit de la famille bourgeoise, qui, sous de beaux sourires sincères, se révèle être aussi cynique que sans tendresse, ajoute à la perfection de l'ensemble.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Rabia marie chronique sociale, thriller psychologique et satire de la bourgeoisie, soutenu par deux excellents comédiens, Gustavo Sanchez Parra et Martina Garcia.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Le trait n'est pas toujours léger, mais l'angoisse progressive qui prend aux tripes démontre que Cordero maîtrise parfaitement l'art de faire partager avec le spectateur la fureur de vivre de ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Illustrant le sacrifice d'une génération d'immigrants au profit d'une deuxième, Rabia parvient à tenir le cap du thriller, de la romance et de la satire politique, avec une efficacité assez redoutable.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Mélange de huis clos, de thriller voyeuriste et de drame romantique, Rabia séduit par son univers oppressant, sa mise en scène chargée de fantasmes et son interprétation habitée.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le drame serait assez classique (une sorte de Crime et Châtiment) s'il n'exploitait une situation paradoxale qui oblige les amants à rester séparés malgré une très grande proximité...Faute de moyens, Rabia ne donne pas la pleine mesure de ses possibilités...
La critique complète est disponible sur le site Première
Parrainé par Guillermo del Toro, Sebastián Cordero affirme une maîtrise qui ne passe par aucun effet superfétatoire, en dessinant les contours d'un univers impitoyable.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Une sorte de métaphore gothique de l'immigration, qui se traduit par une mise en scène extrêmement appliquée et empesée, à l'instar de ses personnages qui, bien que vivant dans l'Espagne contemporaine, semblent tout droit sortis du XIXe siècle.
Rabia fonctionne comme un conte cruel, suggérant que la condition d'apatride offrirait pour seul salut la soumission ou la fuite. Le sentiment de malaise qui en résulte corrobore la pertinence de l'observation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
(...) un thriller fantastique qui sait distiller ses doses d'angoisse et de noirceur. (...) Les acteurs, par l'intensité de leur composition, en arrivent à nous faire admettre une histoire pourtant hautement improbable, dans son déroulé souvent répétitif et prévisible.
Quitte à tomber dans la virtuosité gratuite (...) Cordero abuse également de la métaphore (...). Le film convainc davantage par sa mise en scène du voyeurisme dans sa dimension la plus tragique : un homme vit, pendant des mois, à quelques mètres de la femme qu'il aime, sans pouvoir lui révéler sa présence ni la protéger des humiliations...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le film s'emporte dans une série de péripéties tantôt grotesques, tantôt prévisibles, et se constitue en une partie de cache-cache géant sans grand intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Brazil
Le portrait extrêmement fin et bien écrit de la famille bourgeoise, qui, sous de beaux sourires sincères, se révèle être aussi cynique que sans tendresse, ajoute à la perfection de l'ensemble.
Metro
Rabia marie chronique sociale, thriller psychologique et satire de la bourgeoisie, soutenu par deux excellents comédiens, Gustavo Sanchez Parra et Martina Garcia.
20 Minutes
Le trait n'est pas toujours léger, mais l'angoisse progressive qui prend aux tripes démontre que Cordero maîtrise parfaitement l'art de faire partager avec le spectateur la fureur de vivre de ses personnages.
Excessif
Illustrant le sacrifice d'une génération d'immigrants au profit d'une deuxième, Rabia parvient à tenir le cap du thriller, de la romance et de la satire politique, avec une efficacité assez redoutable.
Filmsactu
Mélange de huis clos, de thriller voyeuriste et de drame romantique, Rabia séduit par son univers oppressant, sa mise en scène chargée de fantasmes et son interprétation habitée.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
La Croix
Rabia s'impose comme un thriller psychologique d'une force singulière.
Le Monde
Un infernal alliage de Kafka et de Buñuel vient à l'esprit à l'issue de ce mélo tourné comme un film fantastique.
Positif
Rabia ne manque ni de colère ni d'intensité. Le récit bénéficie même d'un scénario d'une efficacité toute hollywoodienne.
Première
Le drame serait assez classique (une sorte de Crime et Châtiment) s'il n'exploitait une situation paradoxale qui oblige les amants à rester séparés malgré une très grande proximité...Faute de moyens, Rabia ne donne pas la pleine mesure de ses possibilités...
TéléCinéObs
Parrainé par Guillermo del Toro, Sebastián Cordero affirme une maîtrise qui ne passe par aucun effet superfétatoire, en dessinant les contours d'un univers impitoyable.
Elle
Une existence qui vire au fantastique tant le climat pesant et la situation impossible n'offrent aucune échappatoire...
L'Humanité
Une sorte de métaphore gothique de l'immigration, qui se traduit par une mise en scène extrêmement appliquée et empesée, à l'instar de ses personnages qui, bien que vivant dans l'Espagne contemporaine, semblent tout droit sortis du XIXe siècle.
Le Figaroscope
Passion, violence et frustration.
Le Point
voir Le Point.fr
Libération
Rabia fonctionne comme un conte cruel, suggérant que la condition d'apatride offrirait pour seul salut la soumission ou la fuite. Le sentiment de malaise qui en résulte corrobore la pertinence de l'observation.
Ouest France
(...) un thriller fantastique qui sait distiller ses doses d'angoisse et de noirceur. (...) Les acteurs, par l'intensité de leur composition, en arrivent à nous faire admettre une histoire pourtant hautement improbable, dans son déroulé souvent répétitif et prévisible.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
Télé 7 Jours
Teinté de satire sociale, un huis clos imprégné d'une atmosphère délétère étouffante, qui fascine jusqu'au vertige.
Télérama
Quitte à tomber dans la virtuosité gratuite (...) Cordero abuse également de la métaphore (...). Le film convainc davantage par sa mise en scène du voyeurisme dans sa dimension la plus tragique : un homme vit, pendant des mois, à quelques mètres de la femme qu'il aime, sans pouvoir lui révéler sa présence ni la protéger des humiliations...
Cahiers du Cinéma
Le déploiement d'une mise en scène volontariste ne suffit pas à emmener Rabia au-delà de la somme de ses intentions.
Les Inrockuptibles
Ce n'est pas le cas de Cordero, qui gère ce film de studio décoratif en passant à côté de son potentiel claustro.
Critikat.com
Le film s'emporte dans une série de péripéties tantôt grotesques, tantôt prévisibles, et se constitue en une partie de cache-cache géant sans grand intérêt.