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Adultes englués dans leurs problèmes versus ados qui s'agitent au soleil, ce balancement entre deux mondes avec Dieu pour seul arbitre fait de ce coup d'essai un coup de maître.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Katell Quillévéré ne tombe jamais dans le piège d'un jeunisme à la mode. Son portrait d'une enfant du siècle dégage une grâce persuasive dont le charme perdure longtemps après la projection.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Prix Jean-Vigo, Un poison violent s'inscrit modestement, sans racolage, dans une certaine tradition française de la chronique de vie de province, sans effet pictural, dans une veine qui se rapprocherait de celle de Maurice Pialat.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
On songe un peu à la Thérèse d'Alain Cavalier. Zinzin de Dieu mais de son temps. (...) Le beau moment du film est celui du retournement. (...) Ils sont jeunes, païens et beaux.
La critique complète est disponible sur le site Libération
[...] ce premier film sensible aborde avec pudeur et intelligence le passage de l'enfance à l'adolescence [...]. Tous les interprètes sont dignes de louanges.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
En situant délibérément ce tableau de moeurs dans le contexte figé d'une bourgeoisie de province sur laquelle le temps ne semble avoir aucune prise, la réalisatrice dessine un beau portrait de jeune fille insoumise et trouve en Clara Augarde une interprète à la virginité aussi subtile que lumineuse.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Spiritualité, inquiétude, érotisme balbutiant : ce premier film découvert à Cannes navigue avec délicatesse, au même rythme que sa (d'abord) pieuse héroïne.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un joli coup d'essai pas exempt de défauts, mais qui parvient à maintenir un bel équilibre entre rigueur (formelle), austérité (scénaristique) et fraîcheur (des comédiens).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le scénario de ce récit initiatique n'est certes pas très original, mais le sujet, délicat, est traité avec pudeur et sensibilité par la réalisatrice [...]
Un générique sensible et coloré (...) une mise en scène sobre et retenue, qui prend le temps de longuement peser ses mots et appuyer ses images, dans une Bretagne racontée en toute sobriété.
Chaque personnage se voit artificiellement doté d'un conflit intérieur, pour intégrer un système d'échos autour des questions de la foi, de l'amour, de la mort, d'autant de poisons soi disant " violents ". Or le chaos est très ordonné, tout se répond sans grande incarnation.
(...) la jeune Clara Augarde ne démérite pas face à Lio et Galabru (...) mais pour le reste, le scénario et la mise en scène n'y vont pas de main morte (...) rien ne nous est épargné.
La critique complète est disponible sur le site Première
Elle
Adultes englués dans leurs problèmes versus ados qui s'agitent au soleil, ce balancement entre deux mondes avec Dieu pour seul arbitre fait de ce coup d'essai un coup de maître.
20 Minutes
Katell Quillévéré ne tombe jamais dans le piège d'un jeunisme à la mode. Son portrait d'une enfant du siècle dégage une grâce persuasive dont le charme perdure longtemps après la projection.
Excessif
Le film évite la mièvrerie larmoyante et l'exercice de style froid et aseptisé.
L'Express
voir le site www.lexpress.fr
Le Monde
Prix Jean-Vigo, Un poison violent s'inscrit modestement, sans racolage, dans une certaine tradition française de la chronique de vie de province, sans effet pictural, dans une veine qui se rapprocherait de celle de Maurice Pialat.
Le Parisien
[...] ce premier film sensible et sensuel échappe aux clichés de l'époque [...]
Le Point
Voir le site du Point
Libération
On songe un peu à la Thérèse d'Alain Cavalier. Zinzin de Dieu mais de son temps. (...) Le beau moment du film est celui du retournement. (...) Ils sont jeunes, païens et beaux.
Télé 7 Jours
[...] ce premier film sensible aborde avec pudeur et intelligence le passage de l'enfance à l'adolescence [...]. Tous les interprètes sont dignes de louanges.
TéléCinéObs
En situant délibérément ce tableau de moeurs dans le contexte figé d'une bourgeoisie de province sur laquelle le temps ne semble avoir aucune prise, la réalisatrice dessine un beau portrait de jeune fille insoumise et trouve en Clara Augarde une interprète à la virginité aussi subtile que lumineuse.
Télérama
Spiritualité, inquiétude, érotisme balbutiant : ce premier film découvert à Cannes navigue avec délicatesse, au même rythme que sa (d'abord) pieuse héroïne.
Critikat.com
Un joli coup d'essai pas exempt de défauts, mais qui parvient à maintenir un bel équilibre entre rigueur (formelle), austérité (scénaristique) et fraîcheur (des comédiens).
La Croix
(...) une oeuvre sincère, vibrante, comme longtemps portée avant d'éclore sur l'écran.
Le Journal du Dimanche
Le scénario de ce récit initiatique n'est certes pas très original, mais le sujet, délicat, est traité avec pudeur et sensibilité par la réalisatrice [...]
Les Inrockuptibles
Premier film inégal mais attachant.
Ouest France
Un générique sensible et coloré (...) une mise en scène sobre et retenue, qui prend le temps de longuement peser ses mots et appuyer ses images, dans une Bretagne racontée en toute sobriété.
Cahiers du Cinéma
Chaque personnage se voit artificiellement doté d'un conflit intérieur, pour intégrer un système d'échos autour des questions de la foi, de l'amour, de la mort, d'autant de poisons soi disant " violents ". Or le chaos est très ordonné, tout se répond sans grande incarnation.
Première
(...) la jeune Clara Augarde ne démérite pas face à Lio et Galabru (...) mais pour le reste, le scénario et la mise en scène n'y vont pas de main morte (...) rien ne nous est épargné.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.