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(...) Christian Petzold n'a pas choisi de faire un film noir. Il a voulu raconter un amour naïf, des rêves d'adultes à l'innocence adolescente confrontés à la dure réalité de la vie (...)
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Christian Petzold réussit à insuffler à un récit emprunt d'austérité un traitement dramatique juste et naturaliste, sans tambour ni trompette. Il livre ainsi un regard quasi-clinique sur des personnages en proie à une profonde misère affective (...).
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
(...) Ce qui impressionne le plus chez Petzold, c'est son talent à faire résonner discrètement des mécanismes intimes (...) avec la réalité du monde contemporain (...)
[A propos de Yella et Jerichow] En s'imprimant sur le visage et la silhouette de Nina Hoss, l'angoisse, omniprésente dans le cinéma de Petzold, a gagné en noirceur.
La critique complète est disponible sur le site Positif
(...) Obsession de l`argent et de la dissimulation, de la violence et de la nature, du cadre et de la lumière, Petzold déploie un univers aussi précis que sidérant. (...)
(...) La plupart des scènes se déroulent en voiture, avec une répétition obsédante (ou fatigante, selon) des mêmes champs-contre-champs (...) Le récit propose aux personnages une caricature d'"habiter" sous forme de ressassement routier (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Brazil
(...) Christian Petzold n'a pas choisi de faire un film noir. Il a voulu raconter un amour naïf, des rêves d'adultes à l'innocence adolescente confrontés à la dure réalité de la vie (...)
Charlie Hebdo
Yella et Jerichow fonctionnent sur un même principe d'alliance plutôt convaincante entre les codes du cinéma d'auteur (...) et ceux du thriller.
Dvdrama
Christian Petzold réussit à insuffler à un récit emprunt d'austérité un traitement dramatique juste et naturaliste, sans tambour ni trompette. Il livre ainsi un regard quasi-clinique sur des personnages en proie à une profonde misère affective (...).
Le Monde
Une fois encore, Christian Petzold éclaire son pays d'une lumière noire, qui en révèle l'âme, à moins que celle-ci ne soit définitivement perdue.
Le Point
Voir le site du Point
Les Inrockuptibles
(...) Ce qui impressionne le plus chez Petzold, c'est son talent à faire résonner discrètement des mécanismes intimes (...) avec la réalité du monde contemporain (...)
Positif
[A propos de Yella et Jerichow] En s'imprimant sur le visage et la silhouette de Nina Hoss, l'angoisse, omniprésente dans le cinéma de Petzold, a gagné en noirceur.
TéléCinéObs
(...) Obsession de l`argent et de la dissimulation, de la violence et de la nature, du cadre et de la lumière, Petzold déploie un univers aussi précis que sidérant. (...)
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
Libération
(...) La plupart des scènes se déroulent en voiture, avec une répétition obsédante (ou fatigante, selon) des mêmes champs-contre-champs (...) Le récit propose aux personnages une caricature d'"habiter" sous forme de ressassement routier (...).
Metro
(...) Le réalisateur Christian Petzold signe un triangle amoureux sans fioriture, remarqué lors de la dernière Mostra de Venise.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live
Télérama
(...) Christian Petzold devrait veiller à ne pas s'enferrer dans son formalisme opaque. Il reste néanmoins un cinéaste à suivre.
Cahiers du Cinéma
(...) Ce n'est pas très convaincant, d'ailleurs, Christian Petzold ne semble pas y croire tant que ça lui non plus.