Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Premier long-métrage (...) cet Afterschool nous prouve qu'il y a un vrai cinéaste derrière la caméra, et un montage (toujours Campos) qui renforce l'expression d'un point de vue... et ce n'est pas si courant.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Confrontant la subjectivité de cet adolescent en détresse au cynisme objectif d'un système de reproduction des élites bien huilé, Antonio Campos signe un film d'un pessimisme noir (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Un premier long-métrage qui dissèque le lien entre le réel et le virtuel et part d'un portrait d'adolescent antipathique pour lorgner vers le deuil communautaire et le fantastique ouaté. Conceptuel mais fascinant au-delà des attentes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
(...) Antonio Campos livre une stimulante réflexion sur les images et la psyché adolescente. Radical, éprouvant, frustrant, "Afterschool" pose des questions auxquelles il ne cherche pas de réponses. Mais il y a là un cinéaste, un vrai, d'autant plus prometteur qu'il n'a que 24 ans et que c'est son premier long-métrage.
Brazil
Premier long-métrage (...) cet Afterschool nous prouve qu'il y a un vrai cinéaste derrière la caméra, et un montage (toujours Campos) qui renforce l'expression d'un point de vue... et ce n'est pas si courant.
Cahiers du Cinéma
C'est d'une étonnante précision, d'une inquiétante banalité, d'une déroutante confusion. (...) Une véritable sensibilité documentaire.
Le Monde
Confrontant la subjectivité de cet adolescent en détresse au cynisme objectif d'un système de reproduction des élites bien huilé, Antonio Campos signe un film d'un pessimisme noir (...)
aVoir-aLire.com
Un premier long-métrage qui dissèque le lien entre le réel et le virtuel et part d'un portrait d'adolescent antipathique pour lorgner vers le deuil communautaire et le fantastique ouaté. Conceptuel mais fascinant au-delà des attentes.
Le Figaroscope
Un terrible et poignant constat (...)
Libération
(...) son charme (à Afterschool) tient pour beaucoup à son style singulier, qui le place à un cran supérieur d'intelligence.
Ouest France
Un premier film troublant et dérangeant, très chargé dans ses recherches formelles.
Positif
Le malheureux Antonio Campos reste incompris
Studio Magazine
Voir sur le site www.studiomagazine.fr
TéléCinéObs
(...) Antonio Campos livre une stimulante réflexion sur les images et la psyché adolescente. Radical, éprouvant, frustrant, "Afterschool" pose des questions auxquelles il ne cherche pas de réponses. Mais il y a là un cinéaste, un vrai, d'autant plus prometteur qu'il n'a que 24 ans et que c'est son premier long-métrage.
Télérama
Condamné à porter un regard neuf, il (le réalisateur) échoue en partie, mais nous prouve au passage qu'il aura de quoi l'aiguiser.
20 Minutes
Son film provoque un malaise bien réel.
Ciné Live
Voir le site cinelive.com
Les Inrockuptibles
Le marasme scolaire, option pathologique, commence à devenir la tarte à la crème du cinéma américain.
La Croix
(...) la mise en scène comme le regard du cinéaste ne proposent rien qui renouvelle le propos et laisse surtout place... à l'ennui.