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En défendant la fantaisie pulsionnelle contre la vraisemblance de rigueur dans le polar motorisé, Refn propose un type d'immersion inédit, comprenant que la réussite de l'action ne tient pas à la surenchère en elle-même, mais aux forces qui la contrebalancent.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
"Drive" dépasse ses atours d'"actioner pulp" remarquablement troussé : chaque silence, chaque ralenti, chaque poursuite, chaque fusillade, chaque baiser, suinte de poésie mélancolique et prend des dimensions émotionnelles que seul le grand cinéma est capable de créer. Un chef-d'oeuvre intemporel, universel, inépuisable.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Deuxième long-métrage du réalisateur danois Nicolas Winding Refn à Hollywood, "Drive" est un coup de maître qui confirme le talent de l'auteur de la trilogie "Pusher" et du "Guerrier silencieux".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Nicolas Winding Refn a changé et s'est épanoui dans le cadre d'un film accessible au plus grand nombre (...) alternant des fulgurances poétiques et des courses-poursuites, furtives mais inoubliables.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
Le thème de la vitesse et de la route contraste idéalement avec une mise en scène contemplative, à la retenue parfois presque bressonnienne. (...) Le plus beau film américain de la rentrée.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le réalisateur danois, très cinéphile, connaît ses classiques signés Michael Mann, Peter Yates ou Martin Scorsese, les réinterprète avec classe et adrénaline. (...) [Un] film crépusculaire, électrique et romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Porté par une musique pop comme sortie des années 1980, " Drive " multiplie les ralentis et réussit un mariage improbable entre la romance la plus délicieusement fleur bleue et un déchaînement de violence qui rappelle le cinéma sud-coréen (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
À l'instar de tous les grands films de genre, "Drive" offre au spectateur ce qu'il attendait, en mieux, la surprise et l'originalité venant décupler le plaisir du même.
La critique complète est disponible sur le site Positif
"Drive", hâtivement présenté comme un pastiche des thrillers 80's de William Friedkin et de Michael Mann, propulse enfin son auteur vers la stratosphère des grands.
La critique complète est disponible sur le site Première
Attention ! Même si l'affiche et le titre de ce film ont tout du trip pour garçons [...] il serait fort dommage de ne pas s'y frotter par peur du sang.
La critique complète est disponible sur le site Elle
"Drive" condense tous les attraits du film noir : personnage laconique, atmosphère inquiétante et séduisante, tension permanente, interprétation époustouflante, réalisation bluffante (qui pèche cependant vers la fin par excès de violence) [...]
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Si l'on peut regretter que la parenthèse bucolique se referme un peu vite, on reste impressionné par la mise en scène de NWR, bloc de granit sans faille ou presque qui, à la façon d'un Paul Verhoeven, augure d'un bel avenir de maverick européen à Hollywood.
Entre longues plages mélancoliques et bouffées d'ultraviolence cartoonesque, entre sublime et grotesque, Refn signe un objet inclassable, insaisissable, à l'image de son énigmatique héros.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
"Drive" tranche pour une ligne claire et une recherche d'hypnose visuelle et sonore héritée des polars urbains magnétiques des années 80 afin de jouer sur tous les tableaux. Il multiplie les effets de saute qui menacent sa belle ligne d'intensité.
(...) du style mais aucune vision, de belles idées de plans et un sens incontestable de l'épate mais aucune idée de fond, un sens de la surface et du design mais aucune densité.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
Truffé de clichés, ce thriller bien mené à la réalisation très asiatique (surtout les scènes de violence) a remporté le prix de la mise en scène à Cannes. On se demande bien pourquoi !
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
Une sensation unique [...] ce polar met le spectateur en apesanteur dans un conte urbain dont une citée tentaculaire est l'écrin.
Chronic'art.com
En défendant la fantaisie pulsionnelle contre la vraisemblance de rigueur dans le polar motorisé, Refn propose un type d'immersion inédit, comprenant que la réussite de l'action ne tient pas à la surenchère en elle-même, mais aux forces qui la contrebalancent.
CinemaTeaser
"Drive" dépasse ses atours d'"actioner pulp" remarquablement troussé : chaque silence, chaque ralenti, chaque poursuite, chaque fusillade, chaque baiser, suinte de poésie mélancolique et prend des dimensions émotionnelles que seul le grand cinéma est capable de créer. Un chef-d'oeuvre intemporel, universel, inépuisable.
Critikat.com
Deuxième long-métrage du réalisateur danois Nicolas Winding Refn à Hollywood, "Drive" est un coup de maître qui confirme le talent de l'auteur de la trilogie "Pusher" et du "Guerrier silencieux".
Ecran Large
A ce niveau cinglant de réussite formelle et thématique, on peut aisément parler de film instantanément culte. Mieux de film référence !
Excessif
Nicolas Winding Refn a changé et s'est épanoui dans le cadre d'un film accessible au plus grand nombre (...) alternant des fulgurances poétiques et des courses-poursuites, furtives mais inoubliables.
L'Humanité
Le thème de la vitesse et de la route contraste idéalement avec une mise en scène contemplative, à la retenue parfois presque bressonnienne. (...) Le plus beau film américain de la rentrée.
Le Figaroscope
Le réalisateur danois, très cinéphile, connaît ses classiques signés Michael Mann, Peter Yates ou Martin Scorsese, les réinterprète avec classe et adrénaline. (...) [Un] film crépusculaire, électrique et romanesque.
Le Journal du Dimanche
Avec "Drive", l'adaptation du roman éponyme de James Sallis, Nicolas Winding Refn frôle la perfection.
Le Parisien
Porté par une musique pop comme sortie des années 1980, " Drive " multiplie les ralentis et réussit un mariage improbable entre la romance la plus délicieusement fleur bleue et un déchaînement de violence qui rappelle le cinéma sud-coréen (...).
Libération
Nicolas Winding Refn offre une embardée démente avec le suave Ryan Gosling en chauffeur chauffé à blanc.
Metro
N'ayez crainte, la claque est délicieuse !
Positif
À l'instar de tous les grands films de genre, "Drive" offre au spectateur ce qu'il attendait, en mieux, la surprise et l'originalité venant décupler le plaisir du même.
Première
"Drive", hâtivement présenté comme un pastiche des thrillers 80's de William Friedkin et de Michael Mann, propulse enfin son auteur vers la stratosphère des grands.
Télé 7 Jours
Ambiance crépusculaire, mise en scène au cordeau saluée par un prix à Cannes, violence sèche: soit un sommet pour les amateurs du genre.
Elle
Attention ! Même si l'affiche et le titre de ce film ont tout du trip pour garçons [...] il serait fort dommage de ne pas s'y frotter par peur du sang.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
La Croix
"Drive" condense tous les attraits du film noir : personnage laconique, atmosphère inquiétante et séduisante, tension permanente, interprétation époustouflante, réalisation bluffante (qui pèche cependant vers la fin par excès de violence) [...]
Le Monde
"Drive" : un thriller sans graisse mené de main de maître.
Le Point
Voir le site lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Si l'on peut regretter que la parenthèse bucolique se referme un peu vite, on reste impressionné par la mise en scène de NWR, bloc de granit sans faille ou presque qui, à la façon d'un Paul Verhoeven, augure d'un bel avenir de maverick européen à Hollywood.
Studio Ciné Live
Voir le site Studio Ciné Live.
TéléCinéObs
Entre longues plages mélancoliques et bouffées d'ultraviolence cartoonesque, entre sublime et grotesque, Refn signe un objet inclassable, insaisissable, à l'image de son énigmatique héros.
Télérama
Nicolas Winfing Refn a réussi à fondre voiture et cinéma, en honorant leur fonction première : nous transporter.
Cahiers du Cinéma
"Drive" tranche pour une ligne claire et une recherche d'hypnose visuelle et sonore héritée des polars urbains magnétiques des années 80 afin de jouer sur tous les tableaux. Il multiplie les effets de saute qui menacent sa belle ligne d'intensité.
Charlie Hebdo
(...) du style mais aucune vision, de belles idées de plans et un sens incontestable de l'épate mais aucune idée de fond, un sens de la surface et du design mais aucune densité.
Paris Match
Truffé de clichés, ce thriller bien mené à la réalisation très asiatique (surtout les scènes de violence) a remporté le prix de la mise en scène à Cannes. On se demande bien pourquoi !