Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
Le Parisien
par Marie Sauvion
Fascinant de bout en bout, "la Piel que habito" subit surtout, à mi-parcours, un rebondissement renversant. Les fans du réalisateur ne peuvent pas rater ça.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
"La piel que habito" est en cela l'un des films les plus sombres d'Almodóvar, crissant dans les amours morbides qu'il dessine, horrifique dans les codes cinématographiques qu'il emprunte. (...) Assurément, le titre ne ment pas : cette peau est vraiment très habitée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Jérôme Vermelin
Le cinéaste multiplie les jeux de piste au fil d'une intrigue baroque, jouissive, effrayante.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Christian Viviani
Un film à la fois noir et lumineux, gothique et drôle.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
(Pedro Almodovar) retrouve son acteur fétiche, Antonio Banderas (plus de 20 ans après leur dernière collaboration), pour une virée glaçante placée sous le signe de l'effroi.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Télérama
par Louis Guichard
On cons-tate alors que l'Almodóvar vénéneux d'aujourd'hui et celui, attachant, d'hier ne font qu'un.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
par Caroline Vié
"La Piel que habito" a fait passer des frissons de plaisir dans le dos de tous les festivaliers. [...] Un suspense où horreur et érotisme font bon ménage.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Isabelle Zribi
Tout en reprenant des thèmes chers à Pedro Almodovar, le film se drape dans une peau à la fois austère et audacieuse, qui lui donne une place un peu à part dans la filmographie du cinéaste espagnol.
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Ce canevas métamorphique à la Franju (mais surtout, en vérité, à la Cronenberg), traité avec un suspense sans relâche, s'avère le meilleur revirement qu'Almodovar pouvait faire subir à sa passion pour la problématique crossgender.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Nicolas Maille
Le film est ainsi à prendre comme un jeu, un plaisir ludique de créateur qui sait comment ménager ses effets pour embarquer le spectateur dans une histoire, aussi folle qu'elle soit. A contrario, de par son côté désincarné, il lui manque la portée universelle qui caractérise les plus grands films du réalisateur. Mais durant ces deux heures, Almodóvar aura au moins eu le mérite de montrer la force démiurgique de son cinéma à dépasser les contingences de l'existence et à engendrer ses propres créatures et fantasmes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Stéphane Argentin
Avec "La Piel que Habito", Pedro Almodóvar semble donc appliquer l'adage " c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes ". À la découverte de la délicieuse plastique de l'objet final taillé au millimètre, on ne pourra qu'attendre avec impatience la suite des opérations.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Excessif
par Romain Le Vern
L'un des meilleurs Almodovar depuis "En Chair et en os". Le résultat, imaginatif et vif, séduit justement pour cette fluidité et, dépourvu de digressions inutiles, se regarde sans une once d'ennui.
La critique complète est disponible sur le site Excessif
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La folle complexité de "La Piel que Habito" ne se révèle qu'au terme de deux heures pendant lesquelles, goutte après goutte, le film a distillé son poison délectable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Mathieu Lindon
Si le film n'est pas le plus drôle d'Almodóvar (telle n'est pas son ambition), il est cependant habité de bout en bout par l'extravagance particulière qui est une des marques du cinéaste espagnol.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Arnaud Schwartz
Une fois de plus, la palme aura échappé au célèbre maître ibère, qui n'en livre pas moins un film puissant et haletant, à la fois luxueux et glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thomas Agnelli
Preuve qu'en dépit des apparences, Amodovar ne fait que ressasser ses figures de toujours dans un film somme caméléon, mélodrame de métamorphose entièrement construit sur le fantasme trans-genre.
La critique complète est disponible sur le site Première
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Almodovar retrouve un juste équilibre entre une forme de classicisme cinéphile et un goût pour les images conceptuelles inspirées de l'art contemporain et de l'extravagance ibérique. Ici, "Les Yeux sans visage" côtoient les sculptures de Louise Bourgeois, sur fond d'une énième (et plutôt réussie) variation du Dr. Frankenstein. Au fond, "La Piel que Habito" est un film d'horreur glacé.
La critique complète est disponible sur le site Charlie Hebdo
L'Express
par Julien Welter
Certes, le cinéaste entremêle mal les récits, inflige un prologue maladroit et passe un peu à côté du potentiel horrifique de son sujet mais, grâce à une mise en scène raffinée et à une prestation impeccable d'Antonio Banderas, le film se dévore comme un roman de gare déjanté. C'est moins bien que les grandes oeuvres du cinéaste, mais toujours mieux que la plupart des autres films estivaux.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
On aime le malaise distillé par les relations presque contre-nature entre Antonio Banderas et Elena Anaya. Mais la mise en scène ultra-maîtrisée, presque clinique, bloque toute émotion et garde le spectateur à distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
"La Piel que habito", récit d'une vengeance mutuelle entre le démiurge et sa créature, qui finit par se mordre un peu la queue, [penche] du côté de la virtuosité conceptuelle. On y prend néanmoins plaisir, d'autant que le film est une preuve supplémentaire de la correspondance intime qu'entretient le cinéma d'Almodovar avec l'histoire de son pays.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Trop sage et convenu en dépit de ces nombreux plans dénudés, optant pour la provocation bourgeoise, le kitsch assumé et un recul émotionnel totalement incompatible avec le sujet, Almodóvar s'empêtre un peu dans les cheminements de sa narration.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
Paris Match
par Christine Haas
Un nouveau film déroutant et loufoque.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Fabrice Leclerc
Voir le site de Studio Ciné Live
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Un film impeccable mais sans âme.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Elle
par Françoise Delbecq
[Le] trop grand nombre [de flash-back] complique l'intrigue et on s'y perd. Ce thriller macabre et fantastique laisse peur de place à l'émotion, en dépit de clins d'oeil absurdes.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Le cinéaste espagnol signe pour la première fois un thriller où le fantastique se mêle à l'action. Mais, lent, froid, didactique, il nous concocte un interminable flash-back où l'on ne sait jamais s'il penche pour le pastiche ou s'il prend au sérieux le genre.
Marianne
par Danièle Heymann
Ici le mariage d'amour entre le tragique si souvent réussi, la fusion si particulière entre le subtil et le trivial, l'exubérance et la mélancolie ne s'accomplissent pas, comme gagnés par la glaciation du coeur vengeur du terrible docteur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Le Parisien
Fascinant de bout en bout, "la Piel que habito" subit surtout, à mi-parcours, un rebondissement renversant. Les fans du réalisateur ne peuvent pas rater ça.
Les Inrockuptibles
"La piel que habito" est en cela l'un des films les plus sombres d'Almodóvar, crissant dans les amours morbides qu'il dessine, horrifique dans les codes cinématographiques qu'il emprunte. (...) Assurément, le titre ne ment pas : cette peau est vraiment très habitée.
Metro
Le cinéaste multiplie les jeux de piste au fil d'une intrigue baroque, jouissive, effrayante.
Positif
Un film à la fois noir et lumineux, gothique et drôle.
Télé 7 Jours
(Pedro Almodovar) retrouve son acteur fétiche, Antonio Banderas (plus de 20 ans après leur dernière collaboration), pour une virée glaçante placée sous le signe de l'effroi.
Télérama
On cons-tate alors que l'Almodóvar vénéneux d'aujourd'hui et celui, attachant, d'hier ne font qu'un.
20 Minutes
"La Piel que habito" a fait passer des frissons de plaisir dans le dos de tous les festivaliers. [...] Un suspense où horreur et érotisme font bon ménage.
Cahiers du Cinéma
Tout en reprenant des thèmes chers à Pedro Almodovar, le film se drape dans une peau à la fois austère et audacieuse, qui lui donne une place un peu à part dans la filmographie du cinéaste espagnol.
Chronic'art.com
Ce canevas métamorphique à la Franju (mais surtout, en vérité, à la Cronenberg), traité avec un suspense sans relâche, s'avère le meilleur revirement qu'Almodovar pouvait faire subir à sa passion pour la problématique crossgender.
Critikat.com
Le film est ainsi à prendre comme un jeu, un plaisir ludique de créateur qui sait comment ménager ses effets pour embarquer le spectateur dans une histoire, aussi folle qu'elle soit. A contrario, de par son côté désincarné, il lui manque la portée universelle qui caractérise les plus grands films du réalisateur. Mais durant ces deux heures, Almodóvar aura au moins eu le mérite de montrer la force démiurgique de son cinéma à dépasser les contingences de l'existence et à engendrer ses propres créatures et fantasmes.
Ecran Large
Avec "La Piel que Habito", Pedro Almodóvar semble donc appliquer l'adage " c'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes ". À la découverte de la délicieuse plastique de l'objet final taillé au millimètre, on ne pourra qu'attendre avec impatience la suite des opérations.
Excessif
L'un des meilleurs Almodovar depuis "En Chair et en os". Le résultat, imaginatif et vif, séduit justement pour cette fluidité et, dépourvu de digressions inutiles, se regarde sans une once d'ennui.
L'Obs
La folle complexité de "La Piel que Habito" ne se révèle qu'au terme de deux heures pendant lesquelles, goutte après goutte, le film a distillé son poison délectable.
Libération
Si le film n'est pas le plus drôle d'Almodóvar (telle n'est pas son ambition), il est cependant habité de bout en bout par l'extravagance particulière qui est une des marques du cinéaste espagnol.
Marianne
Une fois de plus, la palme aura échappé au célèbre maître ibère, qui n'en livre pas moins un film puissant et haletant, à la fois luxueux et glaçant.
Première
Preuve qu'en dépit des apparences, Amodovar ne fait que ressasser ses figures de toujours dans un film somme caméléon, mélodrame de métamorphose entièrement construit sur le fantasme trans-genre.
Charlie Hebdo
Almodovar retrouve un juste équilibre entre une forme de classicisme cinéphile et un goût pour les images conceptuelles inspirées de l'art contemporain et de l'extravagance ibérique. Ici, "Les Yeux sans visage" côtoient les sculptures de Louise Bourgeois, sur fond d'une énième (et plutôt réussie) variation du Dr. Frankenstein. Au fond, "La Piel que Habito" est un film d'horreur glacé.
L'Express
Certes, le cinéaste entremêle mal les récits, inflige un prologue maladroit et passe un peu à côté du potentiel horrifique de son sujet mais, grâce à une mise en scène raffinée et à une prestation impeccable d'Antonio Banderas, le film se dévore comme un roman de gare déjanté. C'est moins bien que les grandes oeuvres du cinéaste, mais toujours mieux que la plupart des autres films estivaux.
Le Journal du Dimanche
On aime le malaise distillé par les relations presque contre-nature entre Antonio Banderas et Elena Anaya. Mais la mise en scène ultra-maîtrisée, presque clinique, bloque toute émotion et garde le spectateur à distance.
Le Monde
"La Piel que habito", récit d'une vengeance mutuelle entre le démiurge et sa créature, qui finit par se mordre un peu la queue, [penche] du côté de la virtuosité conceptuelle. On y prend néanmoins plaisir, d'autant que le film est une preuve supplémentaire de la correspondance intime qu'entretient le cinéma d'Almodovar avec l'histoire de son pays.
Mad Movies
Trop sage et convenu en dépit de ces nombreux plans dénudés, optant pour la provocation bourgeoise, le kitsch assumé et un recul émotionnel totalement incompatible avec le sujet, Almodóvar s'empêtre un peu dans les cheminements de sa narration.
Paris Match
Un nouveau film déroutant et loufoque.
Studio Ciné Live
Voir le site de Studio Ciné Live
TéléCinéObs
Un film impeccable mais sans âme.
Elle
[Le] trop grand nombre [de flash-back] complique l'intrigue et on s'y perd. Ce thriller macabre et fantastique laisse peur de place à l'émotion, en dépit de clins d'oeil absurdes.
Le Point
Le cinéaste espagnol signe pour la première fois un thriller où le fantastique se mêle à l'action. Mais, lent, froid, didactique, il nous concocte un interminable flash-back où l'on ne sait jamais s'il penche pour le pastiche ou s'il prend au sérieux le genre.
Marianne
Ici le mariage d'amour entre le tragique si souvent réussi, la fusion si particulière entre le subtil et le trivial, l'exubérance et la mélancolie ne s'accomplissent pas, comme gagnés par la glaciation du coeur vengeur du terrible docteur.