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[Sarah Polley] nous plonge au coeur de ce drame humain sans pathos ni cliché, mais avec finesse, délicatesse et émotion. On y retrouve un climat, des couleurs, une tonalité, des personnages très " bergmaniens " magistralement interprétés (...)
Un bon conseil, laissez-vous embarquer, vous ne regretterez pas ce beau mais douloureux périple compassionnel, première étape dans la carrière d'une jeune et déjà brillante cinéaste.
La comédienne Sarah Polley (...) impressionne par l`extrême pudeur avec laquelle elle aborde un sujet délicat. Tout, dans ce film, est d`une élégance extrême.
La réalisatrice en herbe s'efforce de contrecarrer l'aspect cafardeux du sujet à travers un traitement pudique, sobre et lucide, qui s'autorise même quelques pointes de dérision et repose sur le jeu éprouvé de Julie Christie et Gordon Pinsent.
La critique complète est disponible sur le site Libération
[Julie Christie et Gordon Pinsent] composent tous les deux un couple d'une force expressive exceptionnelle, que capte avec subtilité et intelligence la caméra de Sarah Polley.
Sobre et sensible, la mise en scène s'appuie sur la force du sujet, sans jamais attirer l'attention par une quelcomque virtuosité technique. Evitant le pathos larmoyant, Julie Christie n'a jamais été aussi poignante.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
La pudeur et la force s'allient ainsi dans ce film, qui est tout à la fois une interrogation sur la persistance des liens et un drôle de manège amoureux du troisième âge.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Sarah Polley n'a même pas trente ans qu'elle semble avoir déjà vécu une multitude de vies parallèles. Son premier long métrage, d'une maturité émotionnelle inouïe, lui ressemble et évoque sa discrétion, sa sensibilité, sa fragilité et sa détermination (...) un film touché par la grâce, pudique et intense.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Soit vous adoptez le point de vue "histoire d'amour" et vous serez sans nul doute touché par ce couple sexagénaire (...) soit vous adoptez le point de vue "réaliste" et là c'est agaçant, car le film échoue dans sa présentation de cette maladie neurodégénérative.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Refusant tout pathos, Sarah Polley préfère la noblesse et l'humilité aux larmes faciles et révèle un grand talent de metteur en scène. Il faut certes aimer se faire mal pour apprécier Loin d'elle, mais l'extrême sensibilité du film mérite qu'on souffre un peu.
La critique complète est disponible sur le site Score
Difficile (...) de ne pas se sentir pris en otage par le thème de société malgré son abord courageux désamorçant toute critique. Pourtant, dans ce film, le cinéma manque.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Figaroscope
[Sarah Polley] nous plonge au coeur de ce drame humain sans pathos ni cliché, mais avec finesse, délicatesse et émotion. On y retrouve un climat, des couleurs, une tonalité, des personnages très " bergmaniens " magistralement interprétés (...)
MCinéma.com
Un bon conseil, laissez-vous embarquer, vous ne regretterez pas ce beau mais douloureux périple compassionnel, première étape dans la carrière d'une jeune et déjà brillante cinéaste.
Metro
Le résultat est bouleversant de sensibilité et de justesse.
Positif
(...) un regard d'une grande acuité. Voilà une réalisatrice de 27 ans, ex-comédienne d'Atom Egoyan, à suivre.
TéléCinéObs
La comédienne Sarah Polley (...) impressionne par l`extrême pudeur avec laquelle elle aborde un sujet délicat. Tout, dans ce film, est d`une élégance extrême.
Elle
(...) Sarah Polley fait preuve d'une grande maturité. Avec intelligence et subtilité, elle sait distiller un vaste panel d'émotions (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Libération
La réalisatrice en herbe s'efforce de contrecarrer l'aspect cafardeux du sujet à travers un traitement pudique, sobre et lucide, qui s'autorise même quelques pointes de dérision et repose sur le jeu éprouvé de Julie Christie et Gordon Pinsent.
Ouest France
[Julie Christie et Gordon Pinsent] composent tous les deux un couple d'une force expressive exceptionnelle, que capte avec subtilité et intelligence la caméra de Sarah Polley.
Paris Match
Sobre et sensible, la mise en scène s'appuie sur la force du sujet, sans jamais attirer l'attention par une quelcomque virtuosité technique. Evitant le pathos larmoyant, Julie Christie n'a jamais été aussi poignante.
Rolling Stone
(...) Sarah Polley fait preuve (...) d'une incroyable maturité avec cette histoire bouleversante (...)
Télérama
La pudeur et la force s'allient ainsi dans ce film, qui est tout à la fois une interrogation sur la persistance des liens et un drôle de manège amoureux du troisième âge.
aVoir-aLire.com
Sarah Polley n'a même pas trente ans qu'elle semble avoir déjà vécu une multitude de vies parallèles. Son premier long métrage, d'une maturité émotionnelle inouïe, lui ressemble et évoque sa discrétion, sa sensibilité, sa fragilité et sa détermination (...) un film touché par la grâce, pudique et intense.
Brazil
Soit vous adoptez le point de vue "histoire d'amour" et vous serez sans nul doute touché par ce couple sexagénaire (...) soit vous adoptez le point de vue "réaliste" et là c'est agaçant, car le film échoue dans sa présentation de cette maladie neurodégénérative.
Score
Refusant tout pathos, Sarah Polley préfère la noblesse et l'humilité aux larmes faciles et révèle un grand talent de metteur en scène. Il faut certes aimer se faire mal pour apprécier Loin d'elle, mais l'extrême sensibilité du film mérite qu'on souffre un peu.
Télé 7 Jours
(...)Sarah Polley (...) signe une histoire d'amour entre séniors, où Gordon Pinsent excelle face à Julie Christie. Poignant.
Le Journal du Dimanche
(...) on reste froid devant ce film trop clinique.
Les Inrockuptibles
Faut-il se méfier des films américains situés dans des contrées enneigées avec des personnages de plus de 50 ans ? (...) Oui, mille fois oui !
Première
Difficile (...) de ne pas se sentir pris en otage par le thème de société malgré son abord courageux désamorçant toute critique. Pourtant, dans ce film, le cinéma manque.