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L'une des plus grandes réussites du film est d'avoir su non seulement donner vie à ces peintures, (...), mais aussi à les faire entrer en résonnance avec les souffrances et les secrets enfouis des personnages du film.
La critique complète est disponible sur le site Positif
C'est moins un conflit psychologique qu'une étude autour d'un tableau. Sujet rare et délicat que Laurent Bartillat traite comme un suspense intimiste en s'attachant aux interrogations de son héroïne.
Les nombreux temps morts et les successions de plans fixes sur les toiles de Watteau nuisent à la concentration du spectateur. Ce que mes yeux ont vu reste, malgré cette légère critique, un film méritant.
(...)Sylvie Testud s'y donne avec sensibilité. Mais on a parfois du mal à la suivre dans les pérégrinations complexes de ses recherches à facettes multiples.
Si ce premier film pèche un peu par un certain relâchement dans le rythme du récit et par ses pérégrinations oniriques, il séduit par sa photographie et ses cadrages soignés, son scénario élaboré et par une interprétation qui brille (...)
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Seule et perdue au milieu de ces images obstinément silencieuses, la frêle Sylvie Testud (parfaite, comme toujours) se laisse peu à peu posséder par leur mystère. Et nous avec.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'enquête menée par la chercheuse, beau point de départ en soi, peine à accrocher et à perdre le regard dans un labyrinthe historico-fantasmatique (...).
Ce que mes yeux ont vu contient deux films en un : une quête artistique (...) et le portrait d'une femme d'aujourd'hui. Deux sujets qui peinent à coexister.
La critique complète est disponible sur le site Première
Positif
L'une des plus grandes réussites du film est d'avoir su non seulement donner vie à ces peintures, (...), mais aussi à les faire entrer en résonnance avec les souffrances et les secrets enfouis des personnages du film.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaroscope
C'est moins un conflit psychologique qu'une étude autour d'un tableau. Sujet rare et délicat que Laurent Bartillat traite comme un suspense intimiste en s'attachant aux interrogations de son héroïne.
Le Monde
(...) une fiction, éclairée, où Bartillat confronte le mystère des artistes à celui des gens qui sondent leur toile.
Le Journal du Dimanche
(...) Une séduisante enquête historico-artistique qui laisse au spectateur le plaisir de partager les recherches de l'héroïne. (...)
Libération
"Ce que mes yeux ont vu" est (...) prenant comme un thriller, dont il déjoue les codes tape-à-l'oeil.
MCinéma.com
Les nombreux temps morts et les successions de plans fixes sur les toiles de Watteau nuisent à la concentration du spectateur. Ce que mes yeux ont vu reste, malgré cette légère critique, un film méritant.
Ouest France
(...)Sylvie Testud s'y donne avec sensibilité. Mais on a parfois du mal à la suivre dans les pérégrinations complexes de ses recherches à facettes multiples.
Paris Match
Si ce premier film pèche un peu par un certain relâchement dans le rythme du récit et par ses pérégrinations oniriques, il séduit par sa photographie et ses cadrages soignés, son scénario élaboré et par une interprétation qui brille (...)
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Seule et perdue au milieu de ces images obstinément silencieuses, la frêle Sylvie Testud (parfaite, comme toujours) se laisse peu à peu posséder par leur mystère. Et nous avec.
Les Inrockuptibles
L'enquête menée par la chercheuse, beau point de départ en soi, peine à accrocher et à perdre le regard dans un labyrinthe historico-fantasmatique (...).
Première
Ce que mes yeux ont vu contient deux films en un : une quête artistique (...) et le portrait d'une femme d'aujourd'hui. Deux sujets qui peinent à coexister.