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Nous sommes là dans l'énonciation, pas la dénonciation. Aucune marque n'est visée, juste la froideur, la déshumanisation d'un monde, le nôtre, celui où nous mangeons. C'est terrifiant et fascinant à la fois. Et, de surcroît, c'est du cinéma.
(...) Une réussite formelle, un impressionnant travail plastique. (...) le film de Nikolaus Geyrhalter saisit d'admiration et alimente notre perplexité.
Le film n'est pas une charge bioéquitable tournant en ridicule les errements d'une industrie vivrière devenue folle à force de gigantisme. Au contraire, Geyrhalter s'abstient de tout commentaire. Son approche froide, esthétisante, en séries de plans fixes parfaits, organise savamment la stupéfaction muette que le film entend susciter.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Que Nikolaus Geyrhaltere en vienne à ce qu'un avion d'épandage(...)produise un effet inquiétant peut encore passer pour un clin d'oeil badin à "La Mort aux trousses". Qu'il obtienne le même effet en montrant simplement un cageot de pommes sur un tapis roulant dénote le pouvoir de son écriture répétitive.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Des usines de voitures aux usines chimiques aux usines de mort : soixante-dix ans après Charlie Chaplin et Les Temps modernes, la critique du travail à la chaîne a accouché d'un pur chef-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Score
Ici, tout est dit par l`enchaînement des plans, le cadrage et la durée des séquences. Au spectateur, ensuite, de réagir. Pas un ciné-tract, donc. Du cinéma. Du meilleur.
Cahiers du Cinéma
(...) Notre pain quotidien joue d'une équivoque, qui n'est autre, paradoxale, que celle de son implacable efficacité.
L'Humanité
Nous sommes là dans l'énonciation, pas la dénonciation. Aucune marque n'est visée, juste la froideur, la déshumanisation d'un monde, le nôtre, celui où nous mangeons. C'est terrifiant et fascinant à la fois. Et, de surcroît, c'est du cinéma.
Le Monde
Fascinant et effrayant.
Les Inrockuptibles
(...) Une réussite formelle, un impressionnant travail plastique. (...) le film de Nikolaus Geyrhalter saisit d'admiration et alimente notre perplexité.
Libération
Le film n'est pas une charge bioéquitable tournant en ridicule les errements d'une industrie vivrière devenue folle à force de gigantisme. Au contraire, Geyrhalter s'abstient de tout commentaire. Son approche froide, esthétisante, en séries de plans fixes parfaits, organise savamment la stupéfaction muette que le film entend susciter.
Positif
Que Nikolaus Geyrhaltere en vienne à ce qu'un avion d'épandage(...)produise un effet inquiétant peut encore passer pour un clin d'oeil badin à "La Mort aux trousses". Qu'il obtienne le même effet en montrant simplement un cageot de pommes sur un tapis roulant dénote le pouvoir de son écriture répétitive.
Première
Chaque image est belle et terrible, magnifiquement composée et cadrée par Nikolaus Geyrhalter (...)
Score
Des usines de voitures aux usines chimiques aux usines de mort : soixante-dix ans après Charlie Chaplin et Les Temps modernes, la critique du travail à la chaîne a accouché d'un pur chef-d'oeuvre.
Télérama
Terrifiant panorama d'une industrie devenue folle, Notre pain quotidien nous convie à l'ultime bombance, un vrai repas de funérailles.
TéléCinéObs
Ici, tout est dit par l`enchaînement des plans, le cadrage et la durée des séquences. Au spectateur, ensuite, de réagir. Pas un ciné-tract, donc. Du cinéma. Du meilleur.