Note moyenne
4,2
25 titres de presse
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20 Minutes
Le parti pris naturaliste de la mise en scène met en valeur l'humour glacial de situations tragi-comiques et les interprètes font le reste.
Cahiers du Cinéma
Un film qui captive et effraie, impressionnant, et qui dans son cours même se dédouble, laisse place à un autre qui le hante et le critique, l'interroge de l'intérieur, sans affaiblir du tout la force du projet initial.
Les Inrockuptibles
(...) un très beau film, qui fait passer des thèmes inquiétants, angoissants, sans aucune pesanteur, avec un sens parfaitement dosé de l'humour et de l'absurde.
MCinéma.com
Là où Emmanuelle Cuau excelle, c'est dans l'absence de critique pour la critique, et dans le constat frontal et précis d'un enchaînement de causes à effets, grâce à une mise en scène limpide.
Metro
Si l'histoire en elle-même est tragique, la mise en scène est radicalement comique. Une réussite.
Télérama
(...) Très bien, merci est une drôle de claque qui nous projette soudain dans la France d'aujourd'hui.
Chronic'art.com
(...) Cuau évite aussi tous les pièges de la dénonciation ou de la démonstration à la truelle.
Elle
(...) un film réussi et inquiétant sur notre société (...)
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Par bonheur ce film, si bien " dégraissé " de tout sentimentalisme, a trouvé dans le jeu tout de retenue de Sandrine Kiberlain et Gilbert Melki les interprètes qui lui convenaient.
L'Obs
Le grand mérite du second film de cinéma d'Emmanuelle Cuau est d'abord celui-ci : ses personnages, Alex en tête, se trouvent pris dans une toile dont les fils sont ceux de l'organisation sociale (...) Un film politique alors, "Très bien, merci" ? Et comment !
Le Figaroscope
De trois fois rien, Emmanuelle Cuau fait un pataquès infernal, sinistrement drôle.
Le Journal du Dimanche
Emmanuelle Cuau stigmatise avec humour et pertinence les absurdités du système, qui broie l'individu. Un film citoyen, qui fait réfléchir en ces temps d'élections.
Le Monde
L'inquiétude (...) vient (...) de l'installation d'un climat où il est difficile de faire la part du réalisme et du fantasme. En cela consiste sa plus grande réussite, qui consiste à nous rappeler que tout appareil répressif justifie son propre délire en l'imputant à ceux qui le combattent.
Le Parisien
On sort de Très bien, merci avec le sentiment d'avoir vu un film qu'on oubliera pas. Pourquoi ? C'est très simple : parce que cela peut nous arriver demain.
Libération
La force de Très bien, merci, sa lame de fond, tient à ce qu'en aucun cas il ne prétend au sensationnel (...) Plus que jamais en ces temps, c'est un film politique.
Ouest France
Cinéaste plutôt rare (...), Emmanuelle Cuau a sans doute le coeur à s'amuser, mais elle laisse toujours au premier plan de ses cocasseries des angoisses qui rendent le rire jaune et amer.
Paris Match
(...) Gilbert Melki et Sandrine Kiberlain se prêtent avec subtlité à cette sombre comédie kafkaïenne où le bleu des uniformes et le blanc des blouses des psychiatres donnent envie de voir rouge (...)
Première
Sur le fond, terrible, mais dans la forme, (très) drôle.
Score
Un beau film névrosé qui ne se pose jamais en victime.
Télé 7 Jours
Absurde, drôle et discrètement subversif.
TéléCinéObs
De cet engrenage kafkaïen, la réalisatrice scénariste à qui on devait déjà le très beau "Circuit Carole " en 1993, ne retient que l`écume, et c`est toute la force de son propos.
aVoir-aLire.com
Soutenu par deux formidables comédiens (...) Très bien, merci témoigne avec acuité d'une situation plus que préoccupante et réveille nos consciences, de la meilleure manière qui soit.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Positif
Soulignant l'agressivité générale, des plans-séquences drôles témoignent d'une écriture habile (...) Pour rendre convaincantes et l'hostilité d'un milieu (...) et la subjectivité de sa perception par les personnages, il fallait (...) une mise en scène plus tranchante.