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Judicieuse illustration du syndrome de Frankenstein, où un généticien se laisse peu à peu happer par son désir de création, cette première oeuvre, furtivement traversée d'éclairs de génie, faute de combler l'esprit, n'en ravit pas moins les yeux.
Il y a donc ici à la fois la virtuosité artistico-économique d'un film conçu pour un centième du budget du moindre Star wars, et une vacuité totale faisant passer Matrix reloaded pour un modèle de tragédie shakespearienne.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Encore une parodie impérialisto-médiévale dont la SF est férue... Si le décorum futuriste - qui s'inspire de la Russie de 1900 ! - est souvent splendide, narrativement c'est abscons.
Les amateurs de science-fiction japonaise sous toutes ses formes - BD, animation, film - retrouveront des lieux communs très fréquentés depuis 1945, traités cette fois avec une grandiloquence un peu risible (pendant la première demi-heure) et très agaçante (pendant les deux dernières heures).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La violence redondante ne fait que déranger un peu plus le spectateur, accablé par un tableau caricaturalement apocalyptique. Ce dernier peut toutefois se consoler avec des dialogues d'une rare grandiloquence, parfaits pour une parodie. Mais le recul fait défaut à "Casshern" et ne le sauve pas de la médiocrité.
(...) ce très long métrage qui mélange prises de vues réelles et fioritures en images de synthèse est aussi confus visuellement que dramatiquement. Seuls les aficionados hardcore résisteront à la tentation de le rebaptiser "Casse-tête".
La critique complète est disponible sur le site Première
L'avalanche d'effets spéciaux et les envolées mystico-existantialistes finales finissent par épuiser le ressort dramatique, ainsi que la patience du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs
Mad Movies
Somptuosité visuelle (...) Scénario complexe (...) Eblouissant et émouvant.
L'Ecran Fantastique
Judicieuse illustration du syndrome de Frankenstein, où un généticien se laisse peu à peu happer par son désir de création, cette première oeuvre, furtivement traversée d'éclairs de génie, faute de combler l'esprit, n'en ravit pas moins les yeux.
Zurban
Si l'intrigue (...) s'avère un peu décousue, la réalisation impressionne, confinant parfois au poème visuel.
Chronic'art.com
Il y a donc ici à la fois la virtuosité artistico-économique d'un film conçu pour un centième du budget du moindre Star wars, et une vacuité totale faisant passer Matrix reloaded pour un modèle de tragédie shakespearienne.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Humanité
Encore une parodie impérialisto-médiévale dont la SF est férue... Si le décorum futuriste - qui s'inspire de la Russie de 1900 ! - est souvent splendide, narrativement c'est abscons.
Positif
Disons, pour faire bref, qu'il arrive parfois que le mieux soit l'ennemi du bien.
Le Monde
Les amateurs de science-fiction japonaise sous toutes ses formes - BD, animation, film - retrouveront des lieux communs très fréquentés depuis 1945, traités cette fois avec une grandiloquence un peu risible (pendant la première demi-heure) et très agaçante (pendant les deux dernières heures).
Les Inrockuptibles
Une grosse tambouille d'images OGM vraiment indigeste.
MCinéma.com
La violence redondante ne fait que déranger un peu plus le spectateur, accablé par un tableau caricaturalement apocalyptique. Ce dernier peut toutefois se consoler avec des dialogues d'une rare grandiloquence, parfaits pour une parodie. Mais le recul fait défaut à "Casshern" et ne le sauve pas de la médiocrité.
Première
(...) ce très long métrage qui mélange prises de vues réelles et fioritures en images de synthèse est aussi confus visuellement que dramatiquement. Seuls les aficionados hardcore résisteront à la tentation de le rebaptiser "Casse-tête".
Score
En 2h20, certes, il en passe des vignettes fabuleuses, mais pas l'ombre d'un récit captivant.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
TéléCinéObs
L'avalanche d'effets spéciaux et les envolées mystico-existantialistes finales finissent par épuiser le ressort dramatique, ainsi que la patience du spectateur.
aVoir-aLire.com
La bouillie numérique peut massacrer même les idées les plus louables. Indigeste. (...) [Un] pétard filmique (...) qui donne envie de se fâcher.