Tout en nous promenant dans les salles de pachinko, les stands d'entrainement de golf, dans des cimetieres ou les enfants jouent au base-ball et des squares ou des adolescents dansent le rock, Wenders parle du realisateur japonais Yasujiro Ozu.
Un film de vacances signé Wenders, est-ce déjà un film de Wenders, ou encore un film de vacances ? Un peu des deux, et c’est probablement la limite de Tokyo-ga. Non pas que le propos soit dénué d’intérêt. Parti sur les traces du Tôkyô filmé par Ozu, Wenders cherche à montrer que la civilisation industrielle et médiatique a détruit les rapports humains et qu’aux images "vraies" se sont substitués les images creuses, le toc et ...
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Hommage. Quand un cinéaste cinéphile part sur les voies de son idole, en loccurrence Wim Wenders vient constater ce que Tokyo est sans Ozu. Hommage. Voyage à Tokyo, parcours aléatoire, caméra en guise de mémoire, «Tokyo-ga» (Allemagne, 1984) diverge comme un journal intime. Expérimentation de la caméra dOzu, témoignage de lacteur dOzu, de Chisu Ryu, pèlerinage jusquà la tombe dOzu et triste constat débordant de ...
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Quarante ans avant « Perfect Days », vingt ans après la mort d’Ozu, Wim Wenders déambule dans les rues de Tokyo à la recherche de ce qui pourrait rester de l’œuvre du grand réalisateur japonais. Son maître comme il l’appelle. Dans le tumulte de la ville d’aujourd’hui , Wenders fait du Wenders dans une quête urbaine et vaine où il reprend des plans identiques des ruelles de la capitale avec le même 50 mmm, un téléobjectif ...
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