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    Spartacus
    Bande-annonce Spartacus
    15 septembre 1961 en salle | 3h 18min | Biopic, Historique, Romance, Guerre
    De Stanley Kubrick
    |
    Par Dalton Trumbo
    Avec Kirk Douglas, Laurence Olivier, Jean Simmons
    Presse
    3,0 1 critique
    Spectateurs
    4,0 8639 notes, 249 critiques
    VOD
    noter :
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    Envie de voir

    Synopsis

    Italie, 73 av. J.C. Esclave devenu gladiateur, Spartacus est épargné par un de ses compagnons d'infortune dans un combat à mort. Ce répit soulève en lui le souffle de la révolte, et après avoir brisé ses chaînes, il enjoint les autres esclaves à faire de même...

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    Service proposé par Service proposé par le CNC Service proposé par le ministère de la culture
    Spartacus Bande-annonce VO 2:44
    Spartacus Bande-annonce VO
    44 424 vues
    Spartacus Bande-annonce (2) VO 2:56

    Interviews, making-of et extraits

    Reportage Exposition Stanley Kubrick 7:09
    Reportage Exposition Stanley Kubrick
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    Acteurs et actrices

    Kirk Douglas
    Rôle : Spartacus
    Laurence Olivier
    Rôle : Crassus
    Jean Simmons
    Rôle : Varinia
    Charles Laughton
    Rôle : Gracchus

    Critique Presse

    • Première

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    Critiques Spectateurs : ils ont aimé

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    324 abonnés 450 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 juin 2015
    Généralement, je ne suis pas un grand fan de peplum. Des types à la peau orange, aux muscles luisants de sueur et à la jupette au ras de la bistouquette qui déclament des répliques sur l'amitié virile, ce n'est pas mon truc. Mais, c'est quand même Stanley qui est au commande, et le menton de Kirk Douglas qui est devant la caméra. Il serait donc stupide de passer à coté de ce monument du cinéma, aussi kitsch soit-il. Ce qui est sur, ...
    Lire plus
    septembergirl
    septembergirl

    601 abonnés 1 069 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2012
    Une très belle réalisation, aux nombreuses qualités, tant au niveau technique qu'émotionnel. Tous les codes du péplum classique de l'époque sont bien présents : mise en scène, dialogues, costumes, musique. A la fois histoire d'aventure, de rébellion, d'amour, d'alliances et de trahisons,"Spartacus" est une Référence et un film épique passionnant !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 décembre 2017
    En émergeant dans les sillages de Ben-Hur, Spartacus ne pouvait espérer bénéficier du même effet-surprise auprès du public et du jury des Oscars. Ses créateurs quittèrent d’ailleurs Santa Monica avec quatre statuettes comparativement aux onze de MGM remportées un an auparavant. Dans les faits, les deux films étaient-ils qualitativement comparables? Vengeance et héroïsme sont au cœur des deux scénarios dans lesquels les ...
    Lire plus
    selenie
    selenie

    6 181 abonnés 6 168 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 novembre 2013
    Ce film est sans doute le moins personnel du réalisateur Stanley Kubrick... En ffet ce film est surtout celui de l'acteur-producteur Kirk Douglas alors à son sommet. La réalisation est offerte à Anthony Mann qui a tout juste le temps de tourner la première scène d'ouverture avant d'être tout simplement viré après mésentente avec la star du film (ils se retrouveront pourtant pour "Les Héros de Télémark" en 1965). Douglas le remplace ...
    Lire plus

    Photos

    Secrets de tournage

    Un scénario et une préparation diffiçile

    Douglas confia d'abord l'écriture du script à Howard Fast, l'auteur du livre. Le résultat fut un véritable désastre (selon les mots de l'acteur-réalisateur), et la tâche fut confiée à Dalton Trumbo. Ce dernier, toujours sur la terrible "liste noire" anti-communiste de MacCarthy, ne pouvait signer le film de son véritable nom, et travailla sous le pseudonyme de Sam Jackson pendant toute la production de Spartacus. Grâce à ce film et son producteur Lire plus

    Un tournage compliqué pour Kubrick

    Le tournage débuta le 27 Janvier 1959. Très vite, Douglas tomba en désaccord complet avec Anthony Mann. Le vendredi 13 Février, le réalisateur était renvoyé (il retrouvera Douglas en 1965 pour Les Héros de Télémark ). Certaines scènes tournées par le metteur en scène figurent au montage final (les mines de pierre, et l'école des gladiateurs). Il est remplacé par Stanley Kubrick, alors âgé de 32 ans, jeunesse qui glaçait les commanditaires du film Lire plus

    Au commencement

    C'est début 1957 que naquit l'idée de transposer au cinéma Spartacus, le roman d'Howard Fast (également connu pour les amateurs de la série noire sous le nom de E.V Cunningham). Kirk Douglas, qui venait de lire le scénario de Ben-Hur , désirait jouer le rôle titre. Le réalisateur, William Wyler (avec qui l'acteur avait déjà tourné Histoire de détective , 1951), lui proposa alors de jouer le personnage de Messala, le "méchant" du film. L'acteur, d Lire plus

    Infos techniques

    Nationalité U.S.A.
    Distributeur Park Circus France
    Récompenses 5 prix et 9 nominations
    Année de production 1960
    Date de sortie DVD 31/03/1998
    Date de sortie Blu-ray 20/11/2012
    Date de sortie VOD 06/05/2020
    Type de film Long métrage
    Secrets de tournage 5 anecdotes
    Budget 12 000 000 USD
    Inspiré de Spartacus
    Langues Anglais
    Format production -
    Couleur Couleur
    Format audio -
    Format de projection -
    N° de Visa 23721

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    Commentaires

    • N-Islam B
      Monument cinématographique !
    • EauQuiChante
      Spartacus est un vieux film (60 ans...) mais j'ai quand même beaucoup aimé...En effet, il s'agit d'un film historique, en fait un péplum, qui relate les aventures d'un esclave gladiateur révolté contre la puissante Rome. Le film a évidemment vieilli, ce qui amène un certain décalage par rapport à ce qu 'on peut voir actuellement, parfois pour le pire (par exemple la balade des esclave en Italie est au mieux naïve...) mais souvent pour le meilleur. Par exemple, il a certaines scène qui sont grandiose, en décors naturels et mettant l'accent sur le nombre de figurants (la mine avec ses esclaves au début du film)...La poussière soulevée par des centaines voire des milliers de figurants est un détail, par exemple, que j'ai beaucoup apprécié, qui amène du réalisme. Le film est certes parfois anachronique mais bien souvent j'ai eu l'impression qu'il tombait juste, notamment dans la longue première partie, excellente et réaliste, où Spartacus est à l'école de gladiateurs (les gladiateurs avaient un statut ambigu: ils étaient, en tout cas au début, des esclaves choyés, mais des esclaves quand même) et met bien en évidence la cruauté dont pouvaient faire preuve les Romains. Après cette première partie, j'avoue m’être un peu désintéressé de Spartacus, un peu ennuyé sur certains passages; mais cela est compensé par les intrigues qui se nouent entre Crassus (qui a réellement existé) et Gracchus (qui lui n'a pas existé, en tout cas pas à cette époque). Les motivations des sénateurs romains sont cohérentes, et montrent l'opposition qu'il y avait entre les partisans d'un pouvoir dictatorial (qui sera ensuite impérial) et ceux qui y voient un péril pour la république. Donc un film très bien, et loin d’être anachronique (en tout cas, pas sur tout).
    • QSG-OMDR M
      merci ridley scott
    • Henri M
      Tout le monde le sait, l’incursion de Kubrick dans le monde très codé du péplum n’a rien d’un choix personnel : c’est un tremplin à sa carrière et un remplacement de dernière minute pour le projet de Douglas construisant un film à sa gloire.On pourra néanmoins chercher dans ce film les germes de son esthétique ou les obsessions qui seront les siennes par la suite. La maitrise formelle est évidente, particulièrement dans les plans d’ensemble et la gestion des foules : une caméra qui passe à travers les corps en entrainement, qui survole la crête d’une mine de sel, ou un cadre qui donne à voir les légions romaines en formation avec une grande capacité de persuasion.Sur la thématique propre au film, les indices d’un attachement à l’aliénation et à la mécanique du corps sont déjà bien présents : du formatage du gladiateur à son combat-spectacle, de la vente des corps à leur crucifixion, Kubrick exploite l’idéologie très prégnante de Trumbo dans l’image elle-même.La naissance du héros est donc celle d’un homme qui commencera dénué de tout : de liberté, mais aussi de culture, de vie sexuelle et amoureuse ou d’amitié puisqu’il pourra avoir à tuer prochainement ses partenaires. Même s’il souffre des raccourcis et des excès propres à la machine hollywoodienne (une romance d’un lyrisme assez anachronique, et des capacités de stratège pour l’esclave affranchi à faire pâlir l’élite romaine), le parcours du protagoniste est celui de l’affirmation d’un individu par le prisme de la foule grandissante qui l’accompagne. On appelle cela un prophète. Toute l’articulation du scénario fleuve (3h20, et s’il faut admettre au film des longueurs, reconnaissons que la dynamique générale est plutôt cohérente) repose sur ces chevilles entre l’individuel et le collectif. D’un côté, la constitution d’une utopie où l’on s’attarde longuement sur la communauté des esclaves rebelles en pleine diaspora, insistant sur des visages et des scènes du quotidien laborieux que ne renierait pas le Ford des Raisins de la Colère, dans un panorama exhaustif incluant femmes, enfants, vieillards (et même un nain). De l’autre, l’incidence de ce souffle nouveau sur la politique romaine, repère des coulisses corrompues, de l’avènement d’un ordre nouveau qui fera vaciller les fondements politiques. Les échanges entre les nombreux personnages romains fonctionnent et traduisent bien l’enlisement d’une civilisation dans les excès de sa propre puissance. Les acteurs, de ce point de vue, sont tous à la hauteur, de Laughton à Olivier, en passant par Curtis. Jean Simmons peut se contenter d’un regard pour signifier son amour ou son mépris.Le péplum est donc avant tout une question d’équilibre : concilier tête à tête, romance, violence, destin d’un pays tout entier, épopée collective et destinée individuelle. Spartacus est dans ce registre une véritable réussite, à laquelle on peut joindre la capacité qu’il a à entrer en résonnance avec les enjeux idéologiques d’une autre époque, où la lutte des classes et l’appel à la cohésion de la plèbe prend une autre dimension.
    • zarathou
      Ben si quoi.
    • Florian Malnoe
      Un péplum à gros budget produit par Kirk Douglas qui remplit bien son cahier des charges avec de solides batailles, une BO grandiloquente et un certain lyrisme pas désagréable. Cependant ça a vieilli sur quelques points et on aurait aimé avoir un Kubrick pleinement impliqué dans le projet histoire que ce Spartacus puisse prendre une autre dimension encore. Cela reste culte sur bien des aspects.
    • Florian Malnoe
      Non.
    • MrVeritatem ..
      Le Love Theme d'Alex North....<3
    • MrVeritatem ..
      La bo est juste magnifique! Le Love Theme d'Alex North est ravageant! :')
    • L'irrationnel
      c'est assez long donc fatiguant à suivre mais il n'en demeure pas moins un bon film bien fait malgré l'ancienneté de sa conception 3/5http://lecinemaleplusmarqua...
    • wao y.
      Un péplum digne de sa réputation
    • Monsieur Chef d'Oeuvre
      m'etonne pas ! j'ai meme pas pu le voir jusqu'à la fin (la partie 2 de l'autre dvd la partie 1 ca m'a suffit il est sympa mais un peu ennuyeux quoi de toute facon à part Jésus de Nazareth j'accroche pas trop les péplums!)
    • MGM-ranger
      Kubrick a peu travaillé sur ce film, c'est pour ça.
    • Monsieur Chef d'Oeuvre
      Un film culte qui se laisse voir, mais c'est tout de meme loin d'etre le meilleur Stanley Kubrick; d'ailleurs, j'ai eu du mal durant tout le film à me sentir dans un Kubrick, surement parce que c'est l'un de ses premiers... Et je n'ai même pas eu envi de voir la partie 2.3/5
    • Pierre Yves C.
      GENIAL
    • calstrak
      Tu m’excuseras ,je ne t'ai pas répondu plus tôt,car je suis allé me documenter sur le tournage de se péplum que je considère comme un bon film épique,mais pas comme chef-d’œuvre.La première partie du film est la meilleur,puisqu'elle est réalisée par Antony Mann dont Douglas à conservé du travail de Mann celui du début du générique jusqu'à l’évasion des gladiateurs.Pour ton convaincre voici un extrait des archives des "Cahiers du cinémas":Le journaliste ,biographe et réalisateur,Jean-Claude Missiaen ,"Pourquoi avez -vous aussi abandonnez "Spartacus" qui offrait pourtant de bonnes possibilités?Mann: Kirk Douglas était le producteur de "Spartacus":Il voulait insister sur le coté "Message".Je pensais que le message passerait plus facilement en montrant "physiquement toute l'horreur de l'esclavage . Un film doit être visuel ,trop de dialogues le tuent... "Regardez La chute de l'Empire Romain"!. Dès lors nous étions en désaccord,je suis parti.(il n'a pas été viré comme certains pour faire mousser les animosités entre un réalisateur et l' acteur principal ont inventé qu'il était viré du plateau).Missaien:Y-a t'il encor dans le film"Spartacus" des traces de votre travail?Mann: J'ai travaillé sur le tournage prêt de trois semaines à la réalisation proprement dite et l'ouverture est de moi : Les esclaves sur la montagne,Peter Ustinov laminant les dents de Douglas,l'arrivée à l'école des gladiateurs et l'antagonisme avec Charles McGraw(l'un des acteurs fétiches de Mann)...Pour le reste ,et jusqu'à l'évasion le film est très fidèle à mon découpage. Chose curieuse ,Kirk Douglas considère que Stanley Kubrick était allé un peu loin avec son"Dr Strangelove! Nous nous entendions présentement très bien.Cahiers du cinéma,Mai 1967,quelques temps après la disparition de Mann.Kubrick n'a absolument pas toucher à l’œuvre de Mann en ce qui concerne la première partie,il a conservé toute la partie des gladiateurs jusqu'à celle de leur rassemblement sur la montagne ,ainsi que la fameuse scène des gladiateurs peint par McGraw Rouge,Jaune et bleu sur Douglas vient également de Mann,
    • calstrak
      Pas pour moi,quelque scènes trop sentimentalistes me dérange beaucoup,de Kubrick je préfère Barry Lyndon .
    • CZJ69
      Moi je trouve justement que c'est un des meilleurs péplum de l'histoire du cinéma.
    • calstrak
      De toute façon c'est plutôt un film de commande qu'autre chose,personnellement c'est le moins bon de kubrick,c'est son film le plus impersonnel,Mann à réalisé deux scènes importantes du film ,la carrière de pierre et l’arène que Douglas à gardé Ce n'est pas un mauvais péplum,mais pour moi ce n'est pas le plus réussi,je le trouve inférieur à Ben -Hur de Wyler.
    • CZJ69
      Voilà c'est plutôt ça mais c'est quand même Kubrick qui a fait la majorité du travail sur le film.
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