Ce film est le vif représentant de l'"âge d'or hollywoodien". New-York en couleurs, cadré en cinémascope durant les années 50, c'est superbe. Le trio d'actrices est un fantasme de producteur réalisé. De spectateur aussi d'ailleurs... Ce film est réellement bon. Le scénario est minutieusement écrit bien qu'il manque un peu d'humour et de rebondissements. Mais celà reste un très bon film que l'on revoit avec plaisir par sa beauté et sa finesse.
GodMonsters
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3,5
Publiée le 3 août 2012
'Comment épouser un millionnaire' n'est pas le meilleur film de Marilyn Monroe (si on on prend compte du scénario, et de la réalisation), mais en tout cas la belle blonde est sublime dans ce rôle !! L’icône développe parfaitement un aspect comique assez percutant, la voir atteint de myopie avec des lunettes n'a rien de drôle en soi... mais elle parvient à créer des situations hilarantes et mémorables. Sans Marilyn Monroe, je ne pense ...
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14caen
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4,5
Publiée le 20 septembre 2011
Une comédie fascinante et drôle. Un sujet qui pourrait très être pour le cinéma actuel (des femmes qui cherchent à épouser un homme juste parce qu'il a le compte en banque bien garni.) Le film est une réussite, j'aurais pu mettre la note de cinq mais je n'ai pas aimé la scène d'ouverture et de fermeture avec l'orchestre musicale qui pourtant n'a rien à voir avec le film.
Etonné par la performance de Marilyn Monroe sur le plateau des Hommes préfèrent les blondes (1953, Howard Hawks), le producteur de la Fox Darryl F. Zanuck engagea immédiatement l'actrice sur ce nouveau projet. Il l'associa notamment à Betty Grable qui avait initiallement été prévue dans Les Hommes préfèrent les blondes (voir l'anecdote ). Grande star des années quarante, Betty Grable se savait alors en fin de contrat et déclara à Marilyn la jour
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Clins d'oeil
Lauren Bacall fait allusion dans le film au "vieil homme dans L' Odyssée de l'African Queen" qui n'était autre qu' Humphrey Bogart, son mari à la ville. Betty Grable fait de même en ne reconnaissant pas un disque de son époux Harry James. Marilyn Monroe fait quant à elle allusion à son rôle dans Niagara (1953, Henry Hathaway) en lisant un livre intitulé Murder by Strangulation, c'est à dire la manière dont périt son personnage.