Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Le plus beau film de l'année 2003, tout simplement l'un des plus beaux films français des dix dernières années. Images superbes, rarement vues, au service d'un récit fantastique qui résonne longtemps en vous bien après la vision du film. Le personnage féminin est particulièrement bien saisi, et puis surtout on ressent tellement de choses... on est emporté, on vibre de tant de beauté, et en même temps c'est très dur, très cruel, et ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Je vais, depuis quelques années, au cinéma assez rarement, et ne me fie pas aux critiques, mais là il faut admettre qu'ils ont vu juste car j'ai été très touchée par ce film, surprise aussi, tellement il ne ressemble pas à ce qui se fait. C'est un film qui vous berce et vous fait réver. Les personnages sont forts, très beaux. Je me suis retrouvée complètement dans les préoccupations de la jeune femme. J'ai hâte d'aller voir un jour ...
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Un visiteur
5,0
Publiée le 4 mars 2007
Beau film tres different de ce qu'on a l'habitude de voir.
Un visiteur
5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Film véritablement impressionnant, aux images incroyables. Les acteurs sont excellents. Il nous fait réfléchir sur nous-mêmes, la vie, et tout cela avec beaucoup d'humour (quelques scènes très drôles). On se laisse prendre et hypnotiser par le rythme très particulier. A voir absolument !
Pour le réalisateur Jean-Charles Fitoussi, la vie du héros de Les Jours où je n'existe pas "est à l'image du film, faite de pleins (les plans - moments où la caméra tourne, jours où il existe) et de vides (les raccords - moments où la caméra ne tourne pas, jours où il n'existe pas et où la réalité lui échappe). Or j'ai toujours été fasciné, au cinéma, par les "trous" entre les plans, que l'on s'efforce la plupart du temps de masquer. (...) C'est
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D'une tonalité à une autre
Que le récit de son film ne soit pas linéaire est un élément primordial pour le réalisateur Jean-Charles Fitoussi. "J'aime les histoires construites sur le mode picaresque, ouvertes aux rencontres, à l'imprévu", explique-t-il. "J'aime les bifurcations, déviations, itinéraires bis. Le film débute par un enterrement dans une tonalité plutôt sombre. Mais il bifurque bientôt vers un fantastique cocasse avant de se clore sur un autre enterrement beauc
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Un tournage en quatre parties
Le tournage de Les Jours où je n'existe pas s'est déroulé en quatre fois, ce qui a amené l'équipe à se rendre sur les mêmes lieux en plusieurs saisons. Pour Jean-Charles Fitoussi, l'expérience procura "un plaisir particulier à voir comment le temps modifie les lieux, à donner à voir la diversité non plus seulement à travers l'espace mais à travers le temps."