Rares sont les films qui vous lient autant avec le personnage principal. Celui-ci est typiquement ce genre, on vit les émotions du protagoniste,
soniadidierkmurgia
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3,5
Publiée le 17 février 2020
Quand il entame le tournage du "Champion", en 1949 Mark Robson a surtout œuvré dans le domaine fantastique au sein de la RKO , tout d'abord comme monteur pour Jacques Tourneur sur "La Féline" (1942) et "Vaudou" (1943) mais aussi pour Orson Welles sur "La splendeur des Amberson". Passé à la réalisation, il a à son actif quatre films qui sont de très belles réussites qui permettent entre autres à Boris Karloff de retrouver un peu de son ...
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weihnachtsmann
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3,5
Publiée le 10 avril 2015
Un film étouffant centré sur le personnage de Midge dont l'ascension fulgurante a des effets détestables sur son entourage. Il devient froid calculateur et sans cœur. Un bon film avec Kirk Douglas formidable dans son ambition démesurée. Quelques moments assez forts et une dernière partie, qui cependant se laisse deviner, toute en tension et complètement recentrée sur le boxeur avec ses nombreux gros plans.
Santu2b
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3,0
Publiée le 11 mars 2020
En 1949, l'étoile montante Kirk Douglas, alors au tout début de sa carrière, choisit de tourner dans le modeste long-métrage "Le Champion" au lieu d'une superproduction proposée par la MGM. Le film est un succès inespéré qui révèle l'acteur, surtout connu à l'époque par le biais de seconds rôles. Le cinéaste est Mark Robson, ancien collaborateur de Jacques Tourneur dont la suite de carrière restera modeste. Comme on s'en doutait, ...
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Lors de la cérémonie des Oscars de 1950, Kirk Douglas fut nominé dans la catégorie Meilleur acteur, et Arthur Kennedy dans celle du Meilleur second rôle. Ils furent respectivement battus par Broderick Crawford (pour Les Fous du roi de Robert Rossen) et Dean Jagger (pour Un Homme de fer de Henry King).