Dans son lycée, Christine est professeure principale d’une classe de seconde. Pour ses élèves, un seul objectif : passer en “générale”. Plus qu’une filière, c’est un passeport social. Mais Christine a vu, année après année, son métier se transformer. Entourée d’une bande de profs, elle va se battre pour arracher ces “gosses” au déterminisme social.
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Un film saisissant ou chaque moment semble pris sur le vif. Les personnes sont vrais et tellement percutantes , réelles. Un moment plein de tranches de vie qui donne envie de vivre !
Un film ni documentraire ni story, juste une réussite narative : cela crée une atmosphère fraîche et saisissante.
Bravo!
Un film ni documentraire ni story, juste une réussite narative : cela crée une atmosphère fraîche et saisissante.
Bravo!
Superbe film/reportage. Drole, juste et touchant. Bravo à l'equipe du film qui a réussi avec brio cet exercice.
Film très touchant, montrant la voile cachée des lycées. Super ! Je recommande. Une dose de rire et d’émotions, tout ce dont nous avons besoin.
Film très intéressant.
On n'y voit le revers du généreux, système éducatif français : des élèves, totalement inconscients, voire suicidaires.
En Russie, en Chine, au Japon, les élèves sont avides d'apprendre.
Sans parler de l'Afrique ou des classes de 120 élèves ou plus sont totalement disciplinées. Ainsi, le dur labeur des enseignants largement représenté dans ce film ne représente pas forcément la situation de la profession.
On n'y voit le revers du généreux, système éducatif français : des élèves, totalement inconscients, voire suicidaires.
En Russie, en Chine, au Japon, les élèves sont avides d'apprendre.
Sans parler de l'Afrique ou des classes de 120 élèves ou plus sont totalement disciplinées. Ainsi, le dur labeur des enseignants largement représenté dans ce film ne représente pas forcément la situation de la profession.
Genèse
Valentine Varela a rencontré Christine à un cours de gymnastique. Pendant des années, celle-ci lui racontait ses cours et sa méthode d'enseignement. La réalisatrice se souvient : "la façon dont elle en parlait m’interpellait beaucoup. Je la trouvais non conventionnelle et j’appréciais son franc-parler. Christine a longtemps travaillé pour Médecins sans frontières à Madagascar, elle a toujours été très engagée dans des associations et l’est toujou
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Un titre polysémique
Le titre La Générale renvoie à la classe de première générale à laquelle les élèves de seconde espèrent accéder. Mais il renvoie aussi à la dernière représentation d'une pièce de théâtre avant la première représentation publique. Un milieu que Valentine Varela connaît bien, pour avoir beaucoup joué au théâtre : "En tant que comédienne, ce titre me plaisait, bien sûr, car les profs sont sur scène. Ils essayent, eux aussi, de convaincre leur public
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Faire oublier la caméra
La réalisatrice et le cadreur ont essayé d'être aussi discrets que possible dans la classe pour se faire oublier par les élèves. Pour cela, ils tournaient à une seule caméra. Valentine Varela se souvient que "le seul capitaine à bord dans une classe est l’enseignant, et que j’avais le statut d’élève. Dans le regard des jeunes de quinze ans, celui qui compte, c’est le prof. C’est lui qu’on doit écouter, qui a l’autorité, qui note et rien d’autre n
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Nationalité
France
Distributeur
Nour Films
Année de production
2020
Date de sortie DVD
-
Date de sortie Blu-ray
-
Date de sortie VOD
10/04/2023
Type de film
Long métrage
Secrets de tournage
4 anecdotes
Box Office France
1 486 entrées
Budget
-
Langues
Français
Format production
-
Couleur
Couleur
Format audio
-
Format de projection
-
N° de Visa
154153
