Attraction 2 - Invasion

Mais quelle daube .... pourtant de très bon effet, mais il y a tellement d’incohérence. Comme l’autre qui ce libère pile poil devant son armure.... bref ceux qui aime les histoires bateau et incohérente, faite vous plaisir.

Bon bah j'ai rien dit. Je viens de louer le Attraction premier du nom histoire de comprendre un peu mieux l'histoire globale, et je vous le donne dans le mile.. c'est une BAUNE GRAUSSE DOBE !!! Un bon conseil, ne regardez que le 2, je vous fais un résumé rapide du premier film pour vous éviter le calvaire des 2 heures que je viens de passer : Un couple. Une gamine (qui semble être au lycée dans le film), fille du colonel des armées Russes, sort avec une espèce de Ksos 30tenaire qui vit dans un squat avec 3 compères du même niveau (ce 30tenaire est celui qu'elle retrouve handicapé de ce Attraction 2). Un vaisseau spatial alien (qui n'a qu'un but d'observation) est stationnaire en orbite haute autour de la Terre. Coup de pas de bol (parce que se manger un caillou dans l'espace faut quand même le faire vu la facilité à prévoir les trajectoires), ce vaisseau spatial se prend un météorite. Les dégâts l'obligent à descendre dans la stratosphère terrestre pour utiliser une technologie alien permettant de s'autoréparer grâce à une espèce de photosynthèse aquatique (que l'on va retrouver dans ce Attraction 2 et qui est franchement bien vue). La grande intelligence scénaristique de ce premier film est d'envoyer des militaires torpiller ce vaisseau dont on ne sait rien. Résultat, crash sur Moscou (avec une superbe 3D, la seule vraie scène valable du Attraction 1). C'est là que nos génies (les 4 du squat + la gamine) décident d'aller renvoyer eux même le vaisseau spatial dans l'espace à coup de lampe torche et battes de baseball. Il tombe sur l'alien (qui a en fait l'apparence exacte d'un terrien lambda, et que l'on va aussi retrouver dans ce Attraction 2) qui est dans une armure mécanique quasiment indestructible car elle bénéficie également de l'autoréparation par l'eau. L'alien, en voulant sauver la gamine d'une chute, tombe d'un immeuble et se blesse. Il sort de l'armure et le 30tenaire et ses potes la récupèrent. Maintenant que vous avez les bases, je vous la fais courte : la gamine tombe amoureuse de l'alien et lui sauve la vie en lui faisait une perfusion avec son propre bras dans un hôpital public (sans problème de compatibilité organique et surtout sans que personne ne se rende compte de rien, un scénario plein de réussites comme je vous disais). Du coup le 30tenaire et ses potes prennent la tête de la révolution anti-alien (qui n'a aucun sens vu que, à part les problèmes d'eau générés à Moscou à cause de l'autorégénération du vaisseau, l'alien et son vaisseau ne représentent absolument aucune menace). La gamine est blessée lors de l'assaut des anti-alien sur le vaisseau (et le 30tenaire aussi, ce qui explique son handicap dans ce Attraction 2), et cette fois ci c'est l'alien qui sauve la vie de la gamine en l'emmenant dans le vaisseau pour utiliser un cocon de régénération entre lui et elle. Le père de la gamine (le colonel) entre dans le vaisseau et une IA nous explique à ce moment que rien de tout cela n'était prévu, que notre planète a encore 600ans maximum à survivre vu que nous ne faisons que de nous auto-détruire depuis plus de 5000ans, et que l'alien va sûrement mourir afin de permettre à la gamine de survivre. Et voilà, clap de fin.. De rien. Et bon film pour ce Attraction 2 qui vaut vraiment le coup !! (pas comme ce Attraction premier volet, nullité interstellaire) ;)

Très bon film d'action / SF de nos amis soviétiques qui fait plaisir à voir. Les effets spéciaux sont superbes et bien dosés, le casting impeccable, la VF excellente (j'avais très peur sur ce point). Le scénario est simple, intense, efficace, et intelligent sur les risques du futur du numérique. Il est conseillé de voir le premier film avant de voir cette suite afin de bien comprendre l'histoire (ce que je n'ai malheureusement pas fait à mon grand regret). Je suis rassuré de voir que les Russes tiennent une vraie relève face à la sauce Quotas & LGBT que nous sert le cinéma américain et français depuis quelques années..