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Synopsis
Le timide et solitaire Christian est embauché dans un supermarché. Bruno, un chef de rayon, le prend sous son aile pour lui apprendre le métier. Dans l’allée des confiseries, il rencontre Marion, dont il tombe immédiatement amoureux. Chaque pause-café est l’occasion de mieux se connaître. Christian fait également la rencontre du reste de l’équipe et devient peu à peu un membre de la grande famille du supermarché. Bientôt, ses journées passées à conduire un chariot élévateur et à remplir des rayonnages comptent bien plus pour lui qu’il n’aurait pu l’imaginer…
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Jeune réalisateur de 37 ans, originaire de l’ex-Allemagne de l’Est, Thomas Stuber n’est pas vraiment un débutant, Une valse dans les allées étant son 3ème long métrage. Aucun des ses 2 premiers longs métrages n’avait été distribué en salles dans notre pays, mais le deuxième, "Herbert", a été diffusé par Arte en début d’année. "Une valse dans les allées" est l’adaptation d’une courte nouvelle de 25 pages, écrite par ...
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traversay1
3 645 abonnés
4 878 critiques
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4,0
Publiée le 19 août 2018
Au cinéma, la poésie peut parfois se nicher dans des endroits incongrus. Comme au rayon confiserie d'un supermarché aux allures d'entrepôt. Et l'émotion peut surgir du côté des boissons. Pour un peu ce serait le bonheur près des chariots élévateurs. Et l'amour bien sûr, qui ne rime avec rien, mais qui est aussi partie prenante du magnifique Une valse dans les allées, jolie surprise de 2018, comme l'était Corps et âme l'an dernier. ...
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dominique P.
844 abonnés
2 027 critiques
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4,0
Publiée le 16 août 2018
C'est un film original qui m'a beaucoup plu.
L'histoire dans son ensemble est triste, dramatique mais il s'en dégage une douceur et une mélancolie que j'ai vraiment aimé.
On se met bien à la place du personnage masculin principal, célibataire, sans enfants, la trentaine, qui débute un emploi de manutentionnaire dans un supermarché.
On va le voir évoluer au fil des mois dans son poste, avec ses collègues, et on va bien comprendre tout son ...
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Un visiteur
4,0
Publiée le 15 août 2018
Magistral ! C'est le seul mot qui me vienne à la bouche. J'ai du rester 10 mn dans la salle après la fin. C'est un bijou.
Une Valse dans les allées est tiré d'une nouvelle, In the Aisles, issue du recueil All the Lights de Clemens Meyer. Dès sa lecture, le réalisateur Thomas Stuber est tombé sous le charme : "L’idée de cet homme solitaire qui se fond dans les allées d’un supermarché ne me quittait pas. Le bruit de l’autoroute près de l’aire de chargement, la pause cigarette, la machine à café, le gérant de nuit qui serre la main à tout le monde à la fin du service…
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Travail d'adaptation
Le récit dont est issu Une Valse dans les allées ne fait que 25 pages. Le réalisateur Thomas Stuber a collaboré avec l'auteur de la nouvelle, Clemens Meyer, pour adapter le texte et en tirer un scénario. Travailler à partir d'un matériau aussi épuré a été "un exercice aussi intéressant que difficile" pour Stuber. Il poursuit : "D'un côté, c'est évidemment commode d’avoir une base écrite que l'on n'a pas à inventer, mais d'un autre côté, ce n'est
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Influences
Thomas Stuber revendique l'influence du Suédois Roy Andersson et du Finlandais Aki Kaurismäki sur son film, deux cinéastes connus pour le ton absurde de leurs oeuvres. Mais c'est surtout dans les thématiques abordées par ces réalisateurs scandinaves que se reconnaît Stuber : "La solitude est un motif très important dans mon cinéma. Pour Kaurismäki aussi il me semble et j'adore la manière dont il combine cela avec l'amour. C'est pour cette raison
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