La Guerre d’Algérie – dont ils n’ont pu parler - a dévasté leurs jeunesses. Aujourd’hui, au moment de toucher leurs « retraites du combattant », ils disent :
« Cet argent, nous ne pouvons pas le garder, pour nous-mêmes. » Alors, ils le collectent et le redistribuent à des associations, en Algérie. Avec ces projets
solidaires, leurs cœurs ont rajeuni. Eux, qui s’étaient tus si longtemps, parlent enfin, rencontrent des jeunes… Et retournent en Algérie.