Dans la foulée de À travers le miroir sorti en 1961, Bergman poursuit avec Les communiants son travail d’épuration. Il aborde une fois de plus la remise en question de l’existence de Dieu mais cette fois sans artifice. Même si l’approche symbolique demeure présente à l’image, il se contente de capter le cheminement intérieur des personnages et grâce au talent exceptionnel de chaque membre de la distribution, le spectateur demeure ...
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Anaxagore
127 abonnés
135 critiques
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5,0
Publiée le 29 septembre 2006
Un chef-d'oeuvre immense! Second volet de la trilogie sur Dieu, «Les communiants» (1962) fournit ce qui est peut-être la clef d'élucidation de tout l'édifice bergmanien. On la trouve dans la scène centrale de l'ouvrage, quand le pasteur médite les paroles du Christ: «Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné»? Bergman, fils de pasteur, les comprend à la lumière de l'interprétation de Luther. Celui-ci, à l'encontre de la ...
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Plume231
3 906 abonnés
4 639 critiques
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4,0
Publiée le 15 janvier 2011
C'est surtout pas avec ce film qu'il faut lâcher les confettis et sortir les langues de belle-mère. Il était pas gai le père Bergman quand il a fait ce film. D'habitude, il y a toujours une toute petite touche d'espoir ou de fraîcheur mais là rien. C'est une oeuvre totalement désespérante. Il suffit d'entendre le pasteur interprété par Gunnar Björnstrand dire d'un ton sec ses quatre vérités à une Ingrid Thulin les mains bouffés par ...
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Un visiteur
3,5
Publiée le 31 mars 2012
Un bel ensemble. Réflexion interessante et passionnée sur la religion.