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Synopsis
Interdit - 12 ans
À l'aube du XXème siècle, dans une maison close à Paris, une prostituée a le visage marqué d'une cicatrice qui lui dessine un sourire tragique. Autour de la femme qui rit, la vie des autres filles s’organise, leurs rivalités, leurs craintes, leurs joies, leurs douleurs... Du monde extérieur, on ne sait rien. La maison est close.
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Chronique d'une maison close parisienne cossue de 1900, "L'Apollonide" n'a pas réellement d'intrigue. Le film se centre sur les prostituées, et dévoile en détails leur quotidien : les relations plus ou moins amicales entre elles, les rapports aux clients souvent sophistiqués, leur devoir face à leur patronne, etc. Le tout avec un aspect très contemplatif, qui désarçonnera à coup sûr ceux qui n'adhèrent pas au cinéma visuel et/ou ...
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chrischambers86
13 695 abonnés
12 418 critiques
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4,0
Publiée le 23 octobre 2011
Une maison close parisienne du dèbut du XXème siècle, une fille dèfigurèe au regard triste, des filles de joie entre rivalitès et complicitès, des rêves, des dèsillusions...Avec "L'Apollonide", Bertrand Bonello signe une oeuvre admirable d'un siècle finissant, une danse douloureuse avec de jeunes prostituèes qui laisse apparaître bien des fêlures! Inutile de chercher un èrotisme coquin, il n'y en a pas ici! Le film a la beautè ...
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septembergirl
602 abonnés
1 069 critiques
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3,5
Publiée le 23 mai 2014
Un drame français raffiné et délicat qui offre une magnifique esthétique. Les décors, costumes et plans sont superbes et parfaitement soignés, tout comme la BO. Une œuvre artistique, d’une rare splendeur, qui joue avec la beauté, la sensualité, et qui propose une poésie inattendue. Une chronique d’une maison close à l’aube du 20e siècle qui présente une très belle peinture de l’époque !
Patrick Braganti
91 abonnés
407 critiques
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5,0
Publiée le 28 septembre 2011
La maison close, qui connait ici ses derniers feux, constitue le théâtre du fantasme qui prend corps et réalité par le biais de l’argent, vecteur de la puissance et du désir. Comme l’énonce un des clients : « Je peux faire ce que je veux puisque je paye ». Dès lors, on ne peut raisonnablement passer à côté de l’opposition séculaire entre domination masculine et soumission féminine. Derrière les ors, les parfums et les ...
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