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Synopsis
A 48 ans, Alain Evrard est obligé de retourner habiter chez sa mère. Cohabitation forcée qui fait ressurgir toute la violence de leur relation passée. Il découvre alors que sa mère est condamnée par la maladie. Dans ces derniers mois de vie, seront-ils enfin capables de faire un pas l'un vers l'autre ?
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
"Quelques heures de printemps" n'est pas un film facile ou léger et il vaut mieux se le dire avant d'entrer dans la salle... Et même dans ces conditions, on hésite encore ! À ce propos, les auteurs des quelques critiques négatives se sont, je pense, sans doute trompés de film...
Bien sûr, la toile de fond reste ce thème extrêmement intéressant et très bien traité, l'accompagnement du malade vers une mort choisie dans la dignité. Mais ...
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chrischambers86
13 942 abonnés
12 478 critiques
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4,0
Publiée le 3 février 2014
Avec retenue et sobriètè, Stèphane Brizè (à qui l'on devait dèjà les superbes "Je ne suis pas là pour être aimè" et "Mademoiselle Chambon") maîtrise de la première à la dernière minute un sujet pourtant casse gueule (l'accompagnement de fin de vie) en ècartant sans cesse la pathos et le larmoyant! Sans tomber dans le dèmonstratif, le cinèaste filme remarquablement (car tournè entièrement en plans sèquences afin de donner un ...
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conrad7893
305 abonnés
1 679 critiques
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4,0
Publiée le 9 octobre 2013
film grave montrant les derniers mois d'un fils avec sa mère atteinte d'un cancer du cerveau.
En effet celle-ci a choisi de mourir dans la dignité et d'opter pour le suicide accompagné avant de souffrir.
J'ai trouvé hélène vincent remarquable dans le rôle de cette femme , acariâtre, maniaque, qui héberge son fils à sa sortie de prison .
Je pense qu'elle aurait pu mériter un césar
Vincent lindon toujours très bon, dans un rôle de ...
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Sa R.
2 abonnés
1 critique
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5,0
Publiée le 2 avril 2013
Pour moi, "Quelques heures de printemps" est un chef d'oeuvre. Il y est question de la difficulté de communiquer, de l'extrême complexité du rapport filiale. Alain sort de prison et retourne chez sa mère. Leur silence respectif traduit cette incapacité à se dire qu'ils s'aiment et pourtant c'est un fils et sa mère qui s'aiment mais qui restent ancrés sur leur rancoeur. La maman d'Alain est atteinte d'un cancer incurable et ce qui m'a ...
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C'est après avoir visionné un film documentaire que le cinéaste Stéphane Brizé a eu l'idée de réaliser Quelques heures de printemps : "En 2004, j’ai vu un documentaire extraordinaire à la télévision : "Le choix de Jean". Ce film montrait les derniers mois de la vie d’un homme, Jean, atteint d’une maladie incurable, qui avait décidé de mourir avant d’arriver en phase terminale de la maladie. J’ai vu le film, il m’a bouleversé et puis il est resté
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La fiction reste la fiction
Le film repose sur un sujet fort : le choix de mettre fin à ses jours. Cependant, Stéphane Brizé ne désire pas délivrer de message sur cette pratique ni faire un film politiquement engagé : "Je ne défends aucune thèse. Je ne me sens aucune légitimité pour émettre un avis sur un sujet comme celui-là. C’est une décision qui appartient à chacun. C’est une question infiniment intime qui va toucher au plus profond de l’individu", déclare le réalisateu
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En plan-séquence
Le réalisateur de Quelques heures de printemps savait dès l'écriture que son film ne serait pas très découpé. Ce choix s'est encore davantage révélé lors du tournage : "Il y a pour moi, dans ces scènes qui se tournent sans aucune coupe, un espace d’où émerge une authenticité qui me touche profondément". Cependant, ces scènes en plans-séquences impliquent également des difficultés supplémentaires : "(...) les acteurs savent qu’ils doivent être bon
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