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Synopsis
Le 11 janvier 2008, Josh Cohen et ses associés, avocats de la ville de Cleveland, assignent en justice les 21 banques qu’ils jugent responsables des saisies immobilières qui dévastent leur ville. Mais les banques de Wall Street qu’ils attaquent s’opposent par tous les moyens à l’ouverture d’une procédure.
Cleveland vs Wall Street raconte l’histoire d’un procès qui aurait dû avoir lieu. Un procès de cinéma, dont l’histoire, les protagonistes et leurs témoignages sont bien réels.
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Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Des vérités, des témoignages, des repentis, des gens sans scrupules... A voir absolument.
cineccita
46 abonnés
1 484 critiques
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4,0
Publiée le 6 septembre 2010
Un documentaire émouvant sur ces millions d'américains ruinés par les banques. Le réalisateur, Français reprend un procès opposant les habitants saisis contre les banques. Les témoignages sont saisissants.
Lotorski
17 abonnés
588 critiques
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4,0
Publiée le 17 octobre 2010
Bien sûr, le point de vue que défend ce film n'est pas forcément impartial. Mais donner pour une fois la voix aux premières victimes des subprimes, ces pauvres américains surendettés, c'était nécessaire.
velocio
1 300 abonnés
3 134 critiques
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4,0
Publiée le 16 août 2010
Vous connaissez les films de fiction, les documentaires et les docu-fictions. Et bien ce film n'est rien de cela, c'est un OFNI : objet filmé non identifié. Présenté à la Quinzaine des Réalisateurs de Cannes 2010, "Cleveland contre Wall Street" raconte en effet une histoire qui n'a jamais eu lieu, c'est donc une fiction, mais, comme cette histoire aurait pu, aurait dû se dérouler pour de vrai, c'est un documentaire. Reprenons les choses ...
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Le film repose sur un principe d’interrogatoire et de contre-interrogatoire, sur la confrontation de deux points de vue, par témoin interposé. L'équipe a tourné avec deux caméras montées sur de petits rails de travelling. Le principe qu'elle s'était fixée était d’être le plus possible dans l’axe du regard des protagonistes pour créer un effet de transparence entre eux et le spectateur.
Genèse du film
Pendant près d’une année, dans l’attente du «vrai» procès, Jean-Stephane Bron a effectué de nombreux voyages à Cleveland. Cela lui a permis de rencontrer beaucoup de monde, de connaître la ville et d'avoir du temps pour trouver les membres du jury et recruter les témoins. Le tournage proprement dit a pris trois semaines. Parfois, il y avait plus de 70 personnes sur le plateau, ce qui d'un point de vue logistique, était aussi lourd qu’une fiction
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Avant tout un documentaire
D'après le réalisateur, même si il y a une part de mise en scène évidente, le film se situe clairement dans le registre du documentaire : les protagonistes ne jouent pas un rôle, ils ne se sont pas mués en « acteurs ». Ils ne disent pas un texte, ils expriment leur vérité. Ils témoignent. Rien n'est prévu, écrit ou répété : ils découvrent les témoignages au moment du tournage.