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En quelques plans frappants, on sent peu à peu le dégoût monter chez elle, de son mari, de ses enfants et d'elle-même. Dominic Savage filme le burn-out de mères de famille au foyer, qui reste souvent un tabou (...).
Est-il sûr dès lors que l’échappée que le personnage espérait belle pour calmer sa mélancolie aura bien l’effet thérapeutique qu’elle en attend ? C’est toute la subtilité entêtante de “The Escape” de tracer tout en douceur minutieuse cet itinéraire d’une errance existentielle, pour mieux en faire ressentir in fine la dureté.
Ce drame poignant se situe à un cap important de la dépression, quand la psychologie de l’épouse dépressive a franchi le rubicond, au moment où celle-ci estime qu’il est trop tard et qu’elle n’est plus en position de changer d’existence.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La première partie du film est lente, la deuxième, plus gratifiante. A condition de se prêter au jeu, le spectateur est pris par la quête de cette femme à la fois désespérée et révoltée. Gemma Arterton, formidable, donne au film tout son sens.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Si l’aventure dans les bras de Jalil Lespert à Paris tient un peu de la gentille carte postale, voici tout de même un drame intimiste à portée universelle.
Il s'agit à la fois d'un portrait de femme et d'une complexe réflexion sur le sens de la vie. Dommage que la dernière partie, à Paris, sombre dans un romantisme de pacotille.
Passées ses premières séquences, le film atteint rapidement ses limites, comme pris à son propre piège. Son actrice centrale est d’une beauté certes très photogénique, mais la caméra de Dominic Savage entièrement centrée sur son visage finit par y noyer ses propres images.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Filmés au naturel presque sans maquillage, Gemma Arterton et Dominic Cooper semblent improviser de maigres dialogues et le temps s’étire dans un climat pesant, rythmé par des images de paysages vu d’un train en marche, symbolisant cette fuite à laquelle Tara aspire de tout son être.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
L'actrice, qui a produit l'affaire, ne quitte pas l'écran dans cette suite de clichés filmée (trop) joliment et que ne sauve pas la brève et miraculeuse apparition de Marthe Keller.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le film est juste dans sa chronique d’une vie anesthésiée. Mais le finale déçoit, avec une escapade à Paris, balade romantique aux Tuileries et french lover inclus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Un film d'une justesse et d'une subtilité bluffantes, porté par Gemma Arterton, bouleversante.
BIBA
En quelques plans frappants, on sent peu à peu le dégoût monter chez elle, de son mari, de ses enfants et d'elle-même. Dominic Savage filme le burn-out de mères de famille au foyer, qui reste souvent un tabou (...).
Dernières Nouvelles d'Alsace
Est-il sûr dès lors que l’échappée que le personnage espérait belle pour calmer sa mélancolie aura bien l’effet thérapeutique qu’elle en attend ? C’est toute la subtilité entêtante de “The Escape” de tracer tout en douceur minutieuse cet itinéraire d’une errance existentielle, pour mieux en faire ressentir in fine la dureté.
La Voix du Nord
Femme au foyer, Tara (Gemma Arterton) ne suppporte plus sa vie rangée. Un film porté par une belle complicité entre un réalisateur et son actrice.
Le Parisien
Porté par une Gemma Arterton au plus proche des émotions, un drame intimiste qu’on n’oublie pas.
Marianne
Dominic Savage dépeint avec sensibilité le quotidien de cette Mme Bovary d'aujourd'hui.
Télé Loisirs
Un mélo intimiste, troublant, et une mise en scène épurée.
Voici
Un film sensible et bouleversant.
aVoir-aLire.com
Ce drame poignant se situe à un cap important de la dépression, quand la psychologie de l’épouse dépressive a franchi le rubicond, au moment où celle-ci estime qu’il est trop tard et qu’elle n’est plus en position de changer d’existence.
L'Obs
La première partie du film est lente, la deuxième, plus gratifiante. A condition de se prêter au jeu, le spectateur est pris par la quête de cette femme à la fois désespérée et révoltée. Gemma Arterton, formidable, donne au film tout son sens.
Le Journal du Dimanche
Si l’aventure dans les bras de Jalil Lespert à Paris tient un peu de la gentille carte postale, voici tout de même un drame intimiste à portée universelle.
Les Fiches du Cinéma
Un film qui évitera peut-être à certains de ne pas voir leur relation de couple imploser, mais qui ne marquera guère l’histoire du cinéma.
Rolling Stone
La performance d'Arterton, dont la caméra est très amoureuse et sur qui tout repose, de la première à la dernière scène.
Télé 7 Jours
Il s'agit à la fois d'un portrait de femme et d'une complexe réflexion sur le sens de la vie. Dommage que la dernière partie, à Paris, sombre dans un romantisme de pacotille.
Bande à part
Passées ses premières séquences, le film atteint rapidement ses limites, comme pris à son propre piège. Son actrice centrale est d’une beauté certes très photogénique, mais la caméra de Dominic Savage entièrement centrée sur son visage finit par y noyer ses propres images.
La Croix
Filmés au naturel presque sans maquillage, Gemma Arterton et Dominic Cooper semblent improviser de maigres dialogues et le temps s’étire dans un climat pesant, rythmé par des images de paysages vu d’un train en marche, symbolisant cette fuite à laquelle Tara aspire de tout son être.
Le Figaro
L'actrice, qui a produit l'affaire, ne quitte pas l'écran dans cette suite de clichés filmée (trop) joliment et que ne sauve pas la brève et miraculeuse apparition de Marthe Keller.
Télérama
Le film est juste dans sa chronique d’une vie anesthésiée. Mais le finale déçoit, avec une escapade à Paris, balade romantique aux Tuileries et french lover inclus.
Libération
Trop conventionnel, le film à l’eau de rose de Dominic Savage est plombé par un enchaînement de poncifs.
Positif
(...) à force de multiplier les très gros plans sur l'héroïne, on transforme une fiction en documentaire sur l'épiderme tavelé et grêlé de la vedette.
Première
Restent le magnétisme d'Arterton et le charme canaille de Dominic Cooper en mari beauf. C'est très peu. Autant dire rien.