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    La Griffe du passé
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    4,2
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    53 critiques spectateurs

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    Abvwyl
    Abvwyl

    1 abonné 51 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2024
    Un film noir-lumière, sombre et lumineux comme une toile de Soulages. Le chef d'oeuvre absolu de Jacques Tourneur.
    Y Leca
    Y Leca

    22 abonnés 918 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juillet 2023
    Bon. Il y a Mitchum avec l'imper de Bogart il y a l'ambiance du film noir. Mais le scénario à la Chandler est complexe et, pour tout dire, capillotracté et le montage laisse à désirer. Trop de décontraction désabusée du héros nuit. On n'y croit pas.
    Dora M.
    Dora M.

    50 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 octobre 2022
    Jeff Bailey (Robert Mitchum) a été engagé par Whit (Kirk Douglas) pour retrouver la jeune femme (Kathie - Jane Greer) qui lui a tiré dessus et lui a volé une grosse somme d’argent. Le problème c’est que Jeff tombe amoureux de cette femme et ne remplit pas sa mission. Plusieurs années plus tard, Whit retrouve la trace de Jeff.
    Le mode de narration est intéressant entre passé et présent. L’intrigue s’installe petit à petit, tout est bien pensé, crédible.
    Malheureusement, sur la fin, l’intrigue se déchaîne, tout va trop vite et se complexifie. Le rythme de la dernière demie heure n’a rien à voir avec le reste du film où on avait pris le temps d’installer les personnages, l’histoire. Tout ceci donne l’impression que la fin a été un peu "bâclée", c’est dommage.
    pierrre s.
    pierrre s.

    365 abonnés 3 243 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 novembre 2021
    Un grand Film noir, qui n'a pas pris une ride et se regarde avec un grand plaisir. Tout est là, amour, trahison, manipulation. On a juste à s'assoir et à regarder.
    Thomas B
    Thomas B

    1 abonné 202 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2021
    Doté d'un casting quatre étoiles, où l'on retrouve notamment les excellents Robert Mitchum et Kirk Douglas ainsi que les charmantes Jane Greer et Rhonda Fleming, ce film noir nous fait passer un très bon moment de cinéma. Il faut dire qu'en plus la mise en scène de Jacques Tourneur est très belle et que le scénario propose pas mal de surprises. A découvrir pour les fans du genre.
    Gérard Delteil
    Gérard Delteil

    173 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2021
    Cet archétype du film noir des années quarante vaut avant tout par la présence de Bob Mitchum, la beauté perfide de Jane Greer, des dialogues incisifs et une photo splendide, grâce à des éclairages très travaillés. Kirk Douglas, qui n'en est qu'à ses débuts, n'a qu'un petit rôle mais compose néanmoins un excellent méchant. Tous les seconds rôles sont excellents. En revanche, le scénario est un peu faible et ne ménage pas de surprise. A voir et revoir donc pour son atmosphère et l'inimitable composition de Mitchum, avec son trench, son feutre et sa cigarette au coin des lèvres.
    JoeyTai
    JoeyTai

    18 abonnés 432 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 août 2021
    C'est un film de qualité, bien interprété et bien maîtrisé. Je ne mets toutefois pas la note maximale car le poids des années se fait sentir, surtout au niveau de la mise en scène. Un homme riche et dangereux ayant échappé à la tentative d'assassinat de son amante et s'étant fait voler une forte somme d'argent charge un détective privé et son acolyte de retrouver et de lui ramener la dame. Cette dernière est interprétée avec grand talent par Jane Greer. Tous ceux qui croisent sa route ont du souci à se faire. Son machiavélisme et son cynisme sont cachés sous une solide couche de charme. Le film, très sombre, ne laisse pas beaucoup de place à l'espoir. L'amante montrera au fur et à mesure du récit son potentiel vénéneux. De façon artificielle - ou par pur masochisme - chaque fois qu'un homme pourrait stopper définitivement cet archétype de femme fatale, il lui laisse systématiquement le temps de retourner des ennemis et de contre-attaquer. J'entends encore Robert Mitchum, qui a pourtant toutes les cartes en main, annoncer "Je vous laisse une heure" et quitter les lieux. Grossière erreur...
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 029 abonnés 4 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 août 2021
    Quand il est choisi par la RKO pour diriger l’adaptation de « Build my gallows High » (paru en 1946) écrit par Daniel Mainwaring sous le pseudonyme de Geoffrey Homes, Jacques Tourneur qui a abandonné son compagnonnage fructueux dans le genre fantastique avec Val Lewton, cherche à se diversifier pour mettre son talent à l’épreuve. Il vient justement de réaliser pour Universal « Le passage du Canyon », sublime western avec Dana Andrews. Quand le père désormais reconnu de « La féline » aborde le genre noir, celui-ci a déjà largement vu ses canons établis avec les films séminaux que sont « Les mains qui tuent » (Robert Siodmak en 1943), « Assurance sur la mort » (Billy Wilder en 1944), « Laura » (Otto Preminger en 1944), « La femme au portrait » (Fritz Lang en 1944), « Le roman de Mildred Pierce » (Michael Curtiz en 1945) ou encore « Le dahlia bleu » (George Marshall en 1946). La femme fatale en particulier, la trajectoire souvent inéluctable des personnages comme marqués par leur destin et la complexité de l’intrigue sont devenus des éléments incontournables. Comme l’avaient fait avant lui John M. Stahl (« Péché mortel » en 1945), Robert Siodmak,(« Les tueurs » en 1946) ou Tay Garnett, (« Le facteur sonne toujours deux fois » en 1946), Jacques Tourneur quitte résolument l’univers urbain qui avait marqué les débuts d’un genre cherchant à trouver dans l’architecture des gratte-ciel et des bureaux enfumés, les angles lui permettant des références explicites à l’expressionisme allemand. C’est dans le petit village où il avait l’habitude de se rendre pour pêcher que Tourneur, toujours pratique, pose sa caméra. Jeff Bailey (Robert Mitchum), ancien détective, cherche à se faire oublier à Bridgeport où il tient une station-service et flirte avec une fille de bonne famille (Virgina Huston) qui l’accompagne à ses parties de pêche. Mais comme l’indique le titre français, la griffe du passé vient saisir Jeff Bailey jusque dans ce coin perdu. Dès lors, son destin fatal entamé avec une mission confiée par un truand arrogant et sans scrupule (Kirk Douglas) lui ayant confié la tache de retrouver Kathie Molfatt, sa compagne (Jane Greer), va finir de s’accomplir, aspirant le pauvre bougre dans un engrenage fatal. Un flash-back superbement fondu avec l’action en cours, pose les personnages et leur psychologie. Jeff Bailey comme d’autres avant lui est prisonnier de la toile qu’a subtilement tissée autour de lui une mante religieuse dont il ne cherche que mollement à se défaire, sachant visiblement ses efforts vains. Si certaines invraisemblances narratives sont parfois perceptibles, Tourneur les contourne avec aisance grâce à son sens du rythme et à la tension qu’il sait instaurer entre les personnages, tous liés pour le pire les uns aux autres. Robert Mitchum qui est arrivé sur le projet après que Pat O’Brien, John Garfield et Dick Powell aient été envisagés pour le rôle, donne ici l’élan définitif à sa carrière en imposant sa haute stature un peu lourde et surtout son air désabusé masquant une fragilité enfouie qui sera désormais sa marque de fabrique. Kirk Douglas, dans un rôle plus concis, teinte son personnage d’un mélange particulièrement savoureux de rouerie vacharde, de cynisme et de sauvagerie contenue. Jane Greer âgée d’à peine 22 ans campe avec une économie de gestes, l’une des femmes fatales les plus coriaces du genre qui n’hésite à mettre la main à la pâte avec pas moins de quatre cadavres à son palmarès. La suite de sa carrière, assez quelconque, reste donc un mystère. Enfin le chef opérateur, Nicholas Musuraca, que Jacques Tourneur connaît bien pour l’avoir pratiqué sur « La féline », adapte de manière très opérante sa photographie aux situations et à leurs décors. Offrant la synthèse parfaite de tous les codes d’un genre déjà largement ancré dans l’imaginaire du public, « La griffe du passé » fait partir incontestablement des chefs d’œuvre du film noir. Quant à Jacques Tourneur sa capacité à s’adapter à tous les univers est encore une fois au rendez-vous.
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 768 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 novembre 2020
    Le film noir absolu: la femme fatale manipulatrice, le cynique héros taciturne, le suspense des rebondissements, la sobre mise en scène léchée, le méchant charismatique...et l'absence d'implication émotionnelle - pour ma part en tout cas.
    que du cinéma
    que du cinéma

    4 abonnés 78 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2019
    Film noir des années 50 de très bonne facture. Robert Mitchum y incarne Jeff Bailey détective privé qui est sensé récupérer Kathie. Film tiré d'un livre de Mainwaring.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    529 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juillet 2017
    4 étoiles pour son climat noir de noir, sa mise en scène, ses photographies, le jeu de Mitchum et la super femme fatale qu’est Jane Greer. Par contre, ‘’Out of the past’’ ne mérite pas sa place au panthéon du genre, il est trop confus et demande trop d’efforts de compréhension pour suivre l’intrigue ce qui lui fait perdre son coté passionnant. Le dialogue anglais, fait de sous entendus, ne peut être rendu correctement par les sous titres ce qui aggrave les choses. Il est normal que Katty soit ambiguë mais pas à ce point, c’est parfois du n’importe quoi, comme Jeff qui laisse partout ses empreintes alors qu’il annonce lui même le piège qui lui est tendu. Le passage à San Francisco est vraiment de trop,
    il fait surajouté surtout à la seconde vision. Kirk Douglas dont c’est un des premiers rôle est décevant, de même que Virginia Huston est bien trop fade et Rhonda Fleming pas suffisamment mise en valeur. Bref, un beau film mais pas dans les 20 ‘’must’’ du genre.
    Shephard69
    Shephard69

    287 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2017
    Certainement l'un des tous meilleurs films noirs, un modèle du genre avec son intrigue complexe tout en étant facile à suivre, sa femme fatale impeccablement interprétée par Jane Greer et ses multiples rebondissements. Un polar porté par un duo de tête royal entre Robert Mitchum et Kirk Douglas. Une référence dans la lignée de classiques comme "Le faucon maltais".
    soulman
    soulman

    70 abonnés 1 157 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    Un des fleurons du genre, à partir d'une intrigue complexe du grand James Cain, dans lequel l'immense Bob Mitchum croise le jeune Kirk Douglas, la vénéneuse Jane Greer et l'épatante Rhonda Fleming.
    La photographie est à la hauteur, jouant admirablement des clairs-obsurs, aussi à l'aise dans les beaux décors naturels du lac Tahoe et de ses environs. La mise en scène de Jacques Tourneur, nerveuse, maintient le spectateur en éveil, égalant les plus belles réalisations de Dassin et de Siegel.
    La scène du premier baiser sur la plage au Mexique est aussi belle que brève et hantera longtemps tous les amateurs de films noirs.
    this is my movies
    this is my movies

    634 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 août 2016
    Un véritable chef d'oeuvre du film noir et du cinéma tout court. J. Tourneur réunit un casting assez incroyable et offre à R. Mitchum un rôle on ne peut taillé sur mesure. Le grand Bob était encore au début de sa starisation et son face à face avec J. Greer (qui compose un personnage de mante religieuse parmi les plus toxiques et dangereuses de l'histoire du genre) est tout simplement un classique. L'histoire offre une manipulation diabolique, qui enchaîne coups fourrés, rebondissements et morts violentes, le tout à un bon rythme et proposant une mise en scène parmi les plus maligne du cinéma. Utilisant beaucoup les symboles, les angles astucieux et les astuces visuelles, Tourneur en dit parfois avec les images qu'avec les mots, les dialogues étant par ailleurs assez brillant et eux-mêles plus suggestifs qu'instructifs. Quant au méchant, il est campé par un K. Douglas lui aussi débutant et qui démontre déjà de belles pré-dispositions. Un excellent film, tourmenté et brillant. D'autres critiques sur
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    946 abonnés 4 870 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 août 2016
    La rencontre des deux héros est tellement romantique : la mer, la lune, le baiser de la nuit et l'orage qui surprend les amoureux. Mais il n'est rien de tout cela tant la vérité des personnages apparaît vite. Une construction en forme de toile d'araignée qui se referme comme un piège autour de Mitchum, une mise en scène minutieuse, des éclairages fabuleux et un récit génial pour ce monument du film noir.
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