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    The Wrestler
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    962 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 octobre 2010
    bon film et une superbe histoire,avec un mickey rourke inépuisable.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 016 abonnés 4 093 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2020
    "The Wrestler" marque le grand retour de Mickey Rourke après 20 ans de galère. C’est un catcheur au bout de la route que Mickey Rourke qui a tâté de la boxe professionnelle en plein milieu de sa carrière cinématographique a accepté d'interpréter sous la houlette de Darren Aronoksky. La première partie du film décrit par le menu la vie un peu glauque de ces gladiateurs des temps modernes une fois que la gloire s’est enfuie en même temps que leur jeunesse. Aronofsky projette sans ménagement le spectateur dans l’envers du décor, là où se discute la chorégraphie des combats entre ces hommes solidaires qui tentent de faire le mieux possible un travail éreintant pour un public devenu de plus en plus exigeant au fil des ans. Les substances illicites circulent allègrement sous le manteau pour permettre à chacun de tenir le choc et d’entretenir sa musculature. Robin Ramzinski dit "The Ram" (Mickey Rourke) n’échappe pas à la règle. Ancienne gloire dans les années 80, il n’a pas su se construire une après-carrière convenable ce qui l'a amené à être le vétéran de la troupe. S spoiler: a fille ne lui parle plus et il n’arrive pas à nouer une relation suivie avec la stripteaseuse (très touchante et très belle Marisa Tomei) du bar où il se rend tous les soirs. Il essaie aussi avec peine de se reconvertir une fois remis d'une alerte cardiaque
    . Mais rien ne fonctionne pour ce pauvre hère qui ne parvient à donner le meilleur de lui-même qu’une fois sur un ring. Au moment où il tente de renouer les liens familiaux avec sa fille tout s’écroule à nouveau. La conclusion prévisible approchant, Aronofsky ne résiste pas à la facilité très tentante il faut l'avouer de nous resservir une version modernisée du «Champion » (1931) de King Vidor. Se met alors en place le suspense de savoir si The Ram parti comme au sacrifice dans l’arène va laisser comme Wallace Beery en 1931 son dernier souffle sur le ring. Aronofsky ne choisit pas et laisse le spectateur en suspens devant Rourke sautant une dernière fois du haut de la 3ème corde. Magnifiquement filmé par Maryse Alberti (directrice de la photographie française installée à Hollywood), "The Wrestler" parvient à être touchant malgré l'évidence du sujet, en partie grâce à l'identification naturelle du parcours du catcheur avec celui de Mickey Rourke, ex-gueule d'ange chérie d'Hollywood dans les années 90, cabossée par un parcours chaotique au sein de la Mecque du cinéma. On est toutefois assez loin de la force hypnotique que dégageait "Requiem for a dream", jusqu'alors le meilleur travail du réalisateur.
    Pleymo210
    Pleymo210

    45 abonnés 499 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 août 2011
    Quelle claque, moi qui est pourtant pas accroché à "Black Swan", "The Wrestler" est simplement superbe. La façon de filmé à la 3ème personne est vraiment intéressante, on nous donne l'impression de suivre le personnage c'est très prenant. L'histoire est touchante et très réaliste. La performance de Mickey Rourke est juste parfaite malgré que ce dernier nous offre la plupart du temps des rôles sans intérêt celui-ci n'en est pas moins terriblement bon. Une des grosse surprise de l'année.
    Laurent A
    Laurent A

    8 abonnés 48 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 mars 2010
    Que ce film est mauvais ! C'est un des pires films que j'ai vu ces dernières années. A croire que parce qu'il a eu une récompense à Venise, tout le monde se sent obligé de le couvrir de louanges. Comment peut-on dire que Mickey Rourke joue bien ? Il a la peau tellement tirée qu'il est difficile de percevoir la moindre émotion sur son visage. Et si vous êtes amateurs de catch, je vous conseille plutôt de regarder un mauvais match sur les chaînes du câble : Vous éviterez ainsi de perdre votre temps en essayant de trouver un quelconque intérêt à cette daube.
    alligatorcine
    alligatorcine

    5 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mars 2010
    j'ai bien aimé son coté apogée d'un catcheur en détresse, qui se donne corps et âme à sa seule passion et à son seul métier: catcheur.
    Et un Mickey rourke touchant et impressionnant dans son rôle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 septembre 2015
    Me voilà surpris, après Requiem for a dream, film glauque et pessimiste par définition, Aronofsky signe avec The Wrestler un film simple et humain. Le film repose énormément sur le personnage de Mickey Rourke et sur l'attachement que peut lui porter le spectateur : c'est au final un type incroyablement humain, un homme du passé, incapable d'avancer, incapable de dire adieu à ce qui fût sa vie : la lutte. Mickey Rourke est très touchant dans ce rôle, et les acteurs et actrices secondaires font bien le job. La mise en scène, avec une grande utilisation de caméra à l'épaule, met bien en valeur les personnages.
    Un film humain et touchant d'Aronofsky.
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    57 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 juin 2013
    "The Wrestler" est un film traitant le catch, un sport bien curieux, coincé entre le tapage de ses couleurs, de ses lumières, des cris du public, et la souffrance bien réelle des hommes qui s’ébattent sur le ring, est un sport considéré comme indigne, grosse montagne de kitsch, coup monté à ciel ouvert et dont personne n’est dupe, sa fausseté intégrale réclame pourtant le don de véritables lambeaux de chairs, versés en sacrifice. "The Wrestler" nous fait rentrer dans le sujet par la petite porte, en attaquant le catch par la voie dont on en sort : corps usé, esprit aliéné, par sa pente descendante. Randy « The Ram » Robinson, ancienne gloire du catch des années 1980 est tombé en désuétude. Suite à une traversée du désert de près de vingt ans, Randy écume les manifestations municipales pour reproduire tant qu’il le peut les gestes qui l’ont propulsé, à l’époque, à l’apogée de sa carrière. Pour joindre les deux bouts, il combine à ses performances du week-end des travaux de manutention au supermarché du coin. Le purgatoire commence quand cesse l’enfer de la saturation : à mesure que les matchs s’espacent, le monde extérieur et sa lumière crue refont surface. Quand, suite à un combat, l’icône déchue est frappée d’une crise cardiaque et qu’un médecin lui conseille d’arrêter la pratique trop violente du catch, Randy est mis face au vide abyssal de sa vie privée, à sa solitude presque totale, à tout ce qu’il n’a pas su construire à l’extérieur des salles de spectacle. L’histoire est bien connue : l’homme choisit l’autodestruction, l’imitation de la vie à la vie réelle, car c’est la seule existence qu’il connaisse, la seule où il soit encore capable d’un semblant de maîtrise. Même si elle a été maintes fois racontée, elle prend aux tripes avec une intensité inouïe, un peu comme dans le film "Fighter". Mickey Rourke prête ses traits à Randy, et signe l'une de ses plus belles performance. Mickey Rourke dont la carrière s’est soudainement interrompue, et qui s'était reconverti dans la boxe, remonte peu à peu dans l'industrie du cinéma. Refaisant surface dans quelques films sur les écrans, comme dans "Sin City", "Expendables" ou encore "Iron Man 2", on lui découvre un nouveau visage marqué par les excès, l’exercice du ring et la charcuterie esthétique. Une boursouflure où percent deux yeux, encore vifs, d’un noir profond, sur laquelle on retrouve, enfouis sous les irritations de la chair, les traits du gamin de l’époque. Rourke tire de ce masque de cire une expression fascinante, gonflée de douleur, pleine d’une révolte face au lisse totalitaire de ce qu’est devenu Hollywood. Quand Randy se bat, il y laisse des morceaux : déchirures, saignées, hématomes, vomissements, bris de verre incrustés dans la chair. Le public, devant cet autel moderne qu’est le ring, hurle et réclame un sacrifice. Pour continuer le spectacle, Randy doit à chaque fois y abandonner quelque chose de sa vie. C’est le contrat qui le lie à la scène, à la performance, ce qu’on lit sur le visage de Randy est le résultat direct de l’expérience réelle de Mickey Rourke. Toutes ces années passées en dehors des écrans de cinéma à se faire massacrer, il les offre en sacrifice au film, à la représentation qu’il donne de lui-même. A travers ce film, nous suivons parallèlement les relations houleuses entre un père et sa fille qu'il a abandonnée. Ces relation sont relativement bien traitée et crédibilisent ce drame profond. La BO est superbe, enfin un film qui ai pour bande originale des bons vieux morceaux de heavy metal comme Gun's N Roses ou encore Scorpions. La réalisation de Darren Aronofsky est irréprochable, s'appuyant sur une mise en scène soignée. Le rythme se veut haletant, sans aucune longueur ni temps mort. Peu de défauts, une morale remarquablement bien bien traitée et un casting exceptionnel où Mickey Rourke nous montre tout son talent d'acteur, font de ce "The Wrestler" un drame profond, émouvant, poignant et mémorable.
    softy76
    softy76

    23 abonnés 315 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2009
    excellent film avec le magnifique mickey rourke l'un des plus grands acteurs américain(angel heart, l'irlandais,l'année du dragon,animal factory)une scenario béton pour surtout je le répete une interprétation magistrale
    Benjamin A
    Benjamin A

    653 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 mars 2014
    Offrant à Mickey Rourke un incroyable come-back (sans compter Sin City), "The Wrestler" de Darren Aronofsky s'avère une bien belle réussite. Il nous raconte l'histoire de ce catcheur has-been, en déclin et menant une vie misérable, pris entre ses problèmes de santés, sa fille avec qui il ne parle jamais, sa relation avec une prostituée vieillissante et enfin lui, ce qu'il aime et ce pourquoi il est fait. Il le fait de manière assez classique mais très efficace, la mise en scène est impeccable, sa façon de filmé, la caméra à l'épaule rajoute une intensité et une profondeur pour le personnage principal, et le scénario est bien construit et intéressant. C'est le personnage du catcheur qu'il arrive à rendre passionnant, bien écrit, on est vite pris d'affection pour lui et ses combats réguliers, contre la vie ou sur le ring. Certaines scènes sont cru et saignante et les luttes sont toujours remarquablement filmé. Les interprétations sont impeccables, mais c'est bien évidemment Mickey Rourke qui casse la baraque, loin de ses rôles avec sa belle gueule dans les années 80 chez Coppola, Parker ou Cimino. Un très bon film, captivant, touchant, bien joué et très bien réalisé.
    mr. edward
    mr. edward

    143 abonnés 495 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 février 2013
    Darren Aronofsky donne le rôle de sa vie à un Mickey Rourke émouvant, époustouflant et déchirant non pas dans un simple film mais bien une tribune lui permettant de se mettre à nue et de montrer la véritable personne qu'il est. Chaque plan nous prend au tripes et nous donne l'impression de vivre les derniers heures de ce looser en voie de rédemption.
    beautifulfreak
    beautifulfreak

    93 abonnés 343 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mai 2011
    Darren Aronofsky est l'un des réalisateurs actuels les plus passionnants, changeant de registre à chaque film: sombre et expérimental avec Pi, romantique et merveilleux avec The fountain, lyrique et angoissant avec Black swan. The wrestler est son plus réaliste et il permet le grand come-back de Mickey Rourke, qui est à la fois impressionnant de puissance sur le ring et touchant de fragilité dans sa vie quotidienne. Aronofsky ne s'intéresse pas aux superstars du catch qui gagnent des millions mais aux losers de la profession. "Je ne sais faire que ça" déclare Mickey Rourke dans le film. Il ne parvient en effet ni à bosser en supermarché ni à communiquer avec sa fille. Le catch est sa passion, il en a vécu (difficilement), il en mourra sûrement. l
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 septembre 2014
    en 2009,la sortie de the wrestler marque le retour de deux grand nom du cinéma,celui de Mikey Rourke,star oublié des années 80 qui à fait subir à son corps à peu près tout les excès possible.
    Et celui de Darren Aronofsky,le réalisateur surdoué de requiem for a dream,mais à la suite du flop de the fountain sa réputation en avais pris un coup(je ne juge pas j'ai pas vu le film).
    parlons du cas Rourke,on peut dire que le point fort du film,c'est lui!! On sent vraiment qu'il c'est investit à font pour le film,déjà physiquement(l'acteur à du prendre 13 kg de muscle!) mais aussi émotionnellement,en sent vraiment Mikey Rourke à fleur de peau.
    Pour le coup,on ne reconnait pas forcement le style d'Aronofsky,car là il n'y a aucun effets visuel métaphorique n'y de plan épileptique,seulement une camera à l'épaule durant tout le film qui donnent un côté plus réaliste(et Lars Von Trier devrait en prendre de la graine!!!!!!) l'oeuvre et très touchant et honnête,et ça fait vraiment très plaisir de voir un si beau film avec un budget de seulement 6 000 000 de dollars,alors que le cinéma actuel nous pond des blockbusters au budget ahurissant sans aucun intérêts.

    le meilleurs film d' Aronofsky sans hésitation!! Avec un Mickey Rourke qui mérite amplement sa récompense et qui a su prouvé qu'il n'était pas fini. A noter la superbe musique de bruce springsteen écrite spécialement pour le film
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur
    Guide de Survie du Cinéphile Amateur

    15 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 septembre 2018
    Impossible pour moi de ne pas faire figurer ce film dans cette liste d’incontournables, tant ma passion pour le catch est immense depuis plus de 25 ans et tant l’histoire de cet anti-héros est bouleversante et criante de vérité. Ce film est pour moi un hommage à ce monde souvent incompris, une ode au respect absolu pour ces hommes qui se livrent corps et âme dans le seul but de divertir toujours plus, qui vivent leur passion pleinement mais ont conscience du danger, qui donnent tout et refusent souvent de se retirer du circuit. J’ai une profonde admiration pour ce monde, j’ai vu des centaines de combats depuis les abords du ring et je peux vous dire que ces mecs sont des héros modernes qui se sacrifient littéralement pour procurer des émotions…et ce serait vraiment ridicule et irrespectueux de réduire tout ça à du cinéma, du « pour de faux ». Bon voilà ce qu’il en est pour ma déclaration d’amour au catch…maintenant parlons du film et de ses deux atouts majeurs : un réalisateur de génie et un acteur exceptionnel, revenu des enfers, qui est fait pour ce rôle et qui l’incarne avec une justesse et une puissance rare.
    Commençons justement par Mickey Rourke, l’ancien beau gosse de « 9 semaines et demi », passé par une traversée de désert due à tous les excès possible, défiguré, au fond du gouffre et qui renait de ses cendres tel un phénix dans ce rôle sur mesure. Cette histoire c’est sa vie. Ce mec paumé en quête de rédemption qui en a pris plein la gueule, qui ne vit plus que pour sa passion, qui a tout perdu mais qui se bat, qui ne veut pas raccrocher. Rourke est impressionnant, magistral d’authenticité et de simplicité, il campe avec finesse et conviction ce catcheur has been qui a tout sacrifié pour sa carrière, délaissant femme et enfant pour vivre sa passion. Touchant dans son interprétation pleine de nuance et surtout dans sa faculté à intérioriser ses émotions, à les vivre à force mais pudeur, à vouloir rattraper ses erreurs et se racheter, à souffrir autant moralement que physiquement, pour au final comprendre que seul le spectacle compte. Une vraie claque que ce rôle qui l’aurait sorti un instant du trou et aura rappelé au monde que Mickey Rourke n’était pas encore à enterrer…
    Mais rien n’aurait vu le jour sans le génie d’Aronofsky, ce poète, cet ovni du cinéma qui nous régale à chacun de ses films. Ici encore il nous offre une œuvre intime, émouvante, pleine de pudeur. Filmé à la limite du documentaire, il fait pénétrer le spectateur dans les coulisses du show et dans l’intimité profonde de ces gladiateurs en quête de reconnaissance.
    Bref, un nouveau chef d’œuvre d’Aronofsky qui offre le rôle de sa vie à un Mickey Rourke sorti des enfers et une visibilité tellement mérité au plus beau (et ingrat) des sports, le catch.
    Auteur du livre "Guide de Survie du Cinéphile Amateur" (sortie janvier 2019)
    Flow43
    Flow43

    12 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 octobre 2009
    Un film excellent, rien a redire, Mickey Rourke est brillant dans ce film. Seul chose pour salir cette perle est la fin du film qui est je trouve un peu bâclé. Mais sinon a part cela c'est un bijoux !
    Gabriel B
    Gabriel B

    4 abonnés 359 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 septembre 2012
    Enfin le grand retour de Mickey Rourke dans un grand rôle ! Et quel rôle ! Un rôle remplit d'émotion pour un film éblouissant à la bande originale magnifique...
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