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    Les Rôdeurs de la plaine
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    Véronique I
    Véronique I

    145 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 décembre 2009
    Ce bon petit western avec mon idole Elvis Presley est tout simplement magnifique. J'ai vraiment aimé ce film. Pour une fin Elvis y joue un rôle vraiment profond et rechercher : celui d'un métisse entre un blanc et une peau-rouge. Et je pense que notre cher Elvis y incarne son meilleur rôle, car j'aime mieux le voir en véritable acteur quand acteur/chanteur dans des comédies musicales juste faite pour y faire apparaître Elvis et faire plus de fric avec la bande son (je dis ça mais j'ai beaucoup de BO de ses films xD). Hélas le succès du film est bien trop absent à l'époque et même aujourd'hui. Il est mon film préféré de mon idole et le restera. A voir franchement pour les fans d'Elvis et pour ceux de westerns.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    588 abonnés 2 765 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 février 2019
    Avec Les Rôdeurs de la plaine, l’Amérique questionne son rapport à l’autre par le biais du sang. N’appartenant stricto sensu ni au peuple blanc conquérant ni aux peaux rouges, notre héros se retrouve sans famille, sans groupe d’appartenance à partir duquel se définir, trouver une identité et une place dans la société. Car c’est sur un double ostracisme que repose le film, tout entier consacré à la peinture en miroir des revendications ethniques qui n’ont d’autres fondements que physiques : Pacer n’a pas la bonne couleur et, par définition, ne s’intégrera jamais. On le montre du doigt, on l’insulte, on met à mort sa famille prise en étau au cœur d’une guerre entre peuples qui se rejoue – et là se tient toute la subtilité du film – dans le microcosme intime. Pour incarner notre héros tourmenté, Elvis Presley rayonne d’une justesse qu’on ne lui soupçonnait guère ; pour consacrer son dilemme sans résolution, Don Siegel livre une mise en scène aux plans magnifiques et hautement symboliques : on retiendra les derniers souffles d’une mère perdue dans la tempête ou encore l’enterrement de celle-ci. Les Rôdeurs de la plaine constitue un western de très grande qualité injustement mésestimé et qui mériterait plus ample reconnaissance.
    AMCHI
    AMCHI

    5 102 abonnés 5 934 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 mars 2014
    L'histoire des Rôdeurs de la plaine bien que classique est pas mal avec ce jeune métis (une mère Indienne et un père Blanc) -joué par Elvis Presley qui ne chante pas ici à part la chanson du générique-tiraillé entres ses 2 origines mais le ton mélodramatiques au traitement un peu grossier (trop simpliste et vite fait dans les sentiments des personnages) et un jeu d'acteurs manquant de puissance font de Les Rôdeurs de la plaine juste un western bien fait et plutôt dynamique grâce à la réalisation de Don Siegel.
    Henrico
    Henrico

    139 abonnés 1 270 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 mars 2024
    Avoir traduit "Flaming Star " par "Les Rôdeurs De La Plaine" restera à jamais étonnamment stupide. Premièrement, il n'y a pas de "rôdeurs" dans le film. Les "traducteux" ne pouvaient pas songer aux deux chasseurs infâmes qui reçoivent une correction bien méritée. En effet, ces derniers ont un rôle très accessoire dans le film, et n'y apparaissent que 5 minutes. C'est donc aux indiens qu'ils pensaient. Or ces indiens, sur le sentier de la guerre, ne sont pas des "rôdeurs". Ils sont sur leur territoire. Un territoire qui ne se limite, d'ailleurs pas, à la "plaine", mais comprend les montagnes, les forêts, les lacs, les espaces de chasse, bref, tout ce qui représente l'espace vital dont ces indiens voyaient, chaque année, se voir peu à peu priver, à mesure que le nombre de familles immigrées augmentaient de manière exponentielle. Ce message est clairement énoncé par les personnages indiens dans le film, et à ce titre, il est extraordinairement avant-gardiste, pour l'époque. En 1960, et pendant des décennies, peu, pour ne pas dire aucun film ne parlait de la Conquête de l'Ouest sous cet angle. Deuxièmement, le fait de ne pas reprendre, dans le titre, le concept de l'étoile qui brille, revient à passer à côté du deuxième message essentiel du film. Ce message est énoncé dans la chanson du générique. Il est censé être une croyance Kiowa, selon laquelle on voit l'éclat de cette étoile lorsqu'approche le moment de sa mort. Ce qui est le cas de deux des personnages principaux du film. Autre élément important à propos de ce film, est son destin doublement frustrant. D'abord, il est souvent considéré comme un "bon petit western", c'est à dire, un film mineur, alors qu'il est un western majeur. Majeur dans la résonnance prophétique qu'auront les dialogues qui résument les problématiques liées à l'immigration qu'ont connues, et connaît encore l'Amérique. Le film est majeur aussi pour l'histoire même du cinéma américain. Et ce, en raison de la présence en même temps, de deux monuments que sont Elvis Presley, et Barbara Del Rio. Dans le cas d'Elvis, que l'on a souvent cantonné dans le rôle de chanteur, crooner et rocker, il révèle, ici le jeu très complexe qu'il pouvait déployer, et dément magistralement tous ceux qui pouvaient douter de son talent d'acteur de composition. Quant à l'actrice mexicaine Barbara Del Rio, si elle rend son personnage extrêmement intense, et parfaitement crédible, ce n'est pas en raison de l'étrange maquillage dont on l'affuble dans le film. C'est par le magnétisme, qui se verra tout au long de sa carrière bien remplie, à la fois à Hollywood, mais aussi au Mexique. Il est affligeant qu'une carrière, si riche en rebondissements ne fasse même pas l'objet de quelques lignes de biographie sur le site Allociné. En fait si elle n'est pas entrée dans le panthéon des grands acteurs de Hollywood, c'est précisément pour ses prises de position "engagées", qui lui ont valu bien des ennuis durant le Maccarthisme, entre autres. Alors que la religion Woke domine partout dans les média, il est incompréhensible, que ses positions féministes, et multiculturalistes ne fassent pas d'elle une égérie du cinéma mondial. Enfin, ce qui est également frustrant avec "Flaming Star", c'est qu'il est évoqué comme film désuet, un simple western, un symbole du passé. Or, son traitement du quotidien, d'amis qui fêtent un anniversaire, se quittent, se raccompagnent, sont inédites pour un western. Quant aux dialogues, aux thématiques, et surtout aux personnages, tout cela est d'une grande modernité. Aucun personnage n'est un "flat character", traduire, simpliste. Ils sont tous "round", c'est à dire, complexes. Tous, ils sont torturés, en proie à des choix difficiles. Ils semblent tous animés par des motivations sincères, mais ne peuvent rester neutres. Ils prennent tous des positions qui changent, dans un contexte historique qui avance irrémédiablement, telle une machine infernale, et qui finalement décide pour eux.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 125 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 février 2017
    Don Siegel ètait un spècialiste des films policiers noirs! Mais il ètait ègalement l'auteur de deux westerns non nègligeables, "The Duel at Silver Creek" avec Audie Murphy, et surtout "Flaming Star" avec Elvis Presley qui ne sait pas à quel peuple il appartient! Dans ce classique de la 20th Century Fox, le King incarne un Indien mètis qui doit choisir son camp lorsque la tribu de sa mère s'engage sur le sentier de la guerre! Si "Flaming Star", à ma surprise a si peu vieilli depuis sa sortie en 1960, cela tient à une raison! A son acteur principal qui dèlaisse son jeu de jambes (mais certainement pas sa guitare) pour jouer avec conviction un fils de fermier mètis qui va devoir affronter une violence qu'il ne connaissait pas, et en prendre part! L'efficacitè et le mètier de Siegel font le reste! De plus, son histoire à la frontière des Texans prèsente tous les ingrèdients d'un bon western avec de l'action, de la violence, du mèlo et deux chansons dont le fameux "Flaming Star" qui donne son titre au film de Siegel...
    Acidus
    Acidus

    629 abonnés 3 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 septembre 2014
    "Flaming Star" est un western de correct facture mais qui doit sa petite renommée uniquement à la présence d'Elvis Presley au casting. Effectivement, si l'ensemble se tient, le long métrage demeure néanmoins tout ce qu'il y a de plus conventionnel. Juste de quoi passer un bon moment mais sans plus.
    rogertg2
    rogertg2

    24 abonnés 762 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2007
    Un bon western dans lequel Elvis Presley est employé en tant qu'acteur (pour une des rares fois de sa carrière -et il est d'ailleurs très bon même si parfois ses traits et réparties sont un peu exagérés-) et non en tant que chanteur (il n'interprète que la chanson du générique en voix "off"). Il est en plus entourré de vedettes connues, comme Dolorès Del Rio, John Mc Intire, Steve Forest, etc... et non, comme dans la plupart de ses autres films, d'inconnus ou quasi-inconnus pour éviter qu'ils lui fassent de l'ombre.
    RitchieGueko
    RitchieGueko

    8 abonnés 363 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2022
    Les Rôdeurs de la Plaine (Flaming Star, 1960) est un petit western convaincant, et fait partie des bons films d'Elvis Presley. Le chanteur y est très convaincant, d'autant qu'il a un rôle vraiment consistant, il ne sert pas juste de faire-valoir qui doit chanter des chansons ici et là (il ne chante que la chanson du générique et une fois au tout début du film).
    Le reste du casting est également à souligner, notamment Dolores del Rio qui joue la maman de Pacer (le personnage joué par Elvis Presley). Le film est également intéressant par rapport aux questions qu'il pose, notamment le fait de trouver sa place au sein d'une communauté lorsque l'on est un enfant métis en pleine guerre de Sécession.
    Ce film est vraiment recommandable pour les fans d'Elvis et pour les fans de western en général.
    sebvde
    sebvde

    4 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 août 2008
    Encore une fois Elvis Presley nous prouves qu'avec un bon scénario et un bon metteur en scène, il n'est pas aussi mauvais acteur que l'on pouvait lire dans les magazines ......
    Une histoire qui fut d'abord proposé et ensuite refusé par Marlon Brando.
    C'est un bon western à petit moyen avec une histoire de vengeance et de racisme. Une famille américaine et une tribu d'indiens en guerre dont un fils métis (Elvis) devra choisir son entre ses deux familles.
    Pour les amateurs de chansons, seulement 2 dont 1 au générique.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 février 2010
    un bon film, le meilleur d'elvis. Une belle histoire certes, mais fade et sans grand intérêt... A voir une fois mais pas plus...
    Pourquoi 3 étoiles? Tout simplement grâce a la présence du king!
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    4 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2022
    Elvis Presley chante juste au début (pendant la séquence d'ouverture), puis il fait l'acteur, plutôt bien, dans le rôle d'un métis, tiraillé entre des Indiens Kiowas qui en ont assez d'être maltraités par les blancs, et sa famille avec sa mère indienne (Dolores Del Rio) et son père blanc (John McIntire). La famille métissée suscite craintes et sollicitations des deux camps (les blancs racistes, les Indiens sur le sentier de la guerre): il leur est demandé de choisir un camp, ou alors ce qui arrive (une famille de fermiers blancs est massacrée par le nouveau chef des Kiowas) est de leur faute. Le film montre bien les problèmes de cohabitation et racisme.
    Le scénario fait monter progressivement la tension et utilise les tiraillements possibles ce qui conduit Elvis Presley à choisir son camp et à mal finir (il est clair qu'il était difficile de faire chanter Elvis Presley pendant le film compte tenu du sujet). Ses motivations et son changement subit de camp sont assez rapides et moyennement préparés par le scénario, mais il est vrai que sa situation est difficilement tenable.
    Sur le plan technique, le CinemaScope est superbe: Don Siegel sait l'utiliser tout à la fois dans sa largeur, mais aussi sur la profondeur de champ. Les acteurs sont tous bons, et la direction d'acteur est subtile avec des acteurs comme Steve Forrest dans le rôle du frère (bien blanc lui), Dolores Del Rio dans le rôle de la mère indienne, John McIntire dans le rôle du père de famille, tous très bons.
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