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Un visiteur
0,5
Publiée le 7 juin 2008
Ce film est une pure daube... Mais vous allez dire:"Ouais c'est pas si nul que ça vu que le film a fait plus de 100Millions de dollard"...Et bien moi je répond:"Le film a été un succés a cause du cul de Sharon Stone".Car si vous demandez a quelqu'un ce qu'il a retenu du film,il vous dira la "la fameuse scéne de boules entre Sharon Stone et Michael Douglas"
Un excellent polar, bien réalisé, avec une intrigue tres subtile et tres torturée,mais qui tient tout a fait la route.Sans compter le petit plus qui fit toute la différence lors de sa sortie en salles:l'incursion du sexe.Sexe bestial,violent,morbide et torride. Sharon stone trouve là le meilleur role de sa carriere dans son role de manipulatrice bisexuelle et sans tabous.Les scenes du meurtre au pic a glace et de l'interrogatoire sont bel et bien devenues cultes. Michael douglas joue lui aussi tres bien son role de flic vulnerable et hanté par ses vieux demons. La femme fatale a desormais marqué l'histoire avec son pic a glace!
Basic instinct du hollandais Paul Verhoeven est un conte des Mille et Une Nuits à l’envers. En effet, ce n’est pas la femme mais l’homme qui est menacé de mort après la relation sexuelle.
C’est un film mené d’une main de maître qui rappelle les thrillers classiques du genre. Le réalisateur s’est certainement inspiré du maître du suspense lors des filatures en voiture à San Francisco et lors des scènes au bord de la nature sauvage. Le scénario est de qualité et garantit un suspense intense jusqu’au bout. Le réalisateur réussit à brouiller les pistes et à tromper le spectateur spoiler: alors qu’au final la vérité est évidente .
Ce film qui mêle sexe, sang et coke, très choquant pour l’époque (1992) a plutôt bien vieilli. Basic instinct est souvent présenté comme le film ayant lancé la mode du thriller érotique. Il renverse les codes du genre du thriller : à la place du flic, héros viril, c’est la femme qui porte la culotte - ou qui ne la porte pas dans une scène culte - et qui domine dans toutes les situations, aussi bien pendant l’interrogatoire qu’au lit.
Empreint de psychologie et de cas sérieusement pathologiques le film appuie son scénario bien ficelé de ce qui a fait son succès : la passion amoureuse, la pulsion sexuelle et de mort symbolisée dans le film par l’épectase (ou mort par orgasme, ici bien plus violente).
Le film est servi par un duo d’acteurs de très haute volée. Sharon Stone atteindra la consécration grâce à son rôle et Michael Douglas est excellent dans la peau d'un flic perdu et dévoré par ses pulsions.
Basinc Instinct est un film froid où les femmes dont Catherine Tramell incarnée par Sharon Stone ont un caractère affuté comme un pic à glace.
Qui peut, des années après avoir vu "Basic Instinct", citer une scène autre que la fameuse scène de l’interrogatoire. Tout le monde ne retient que ça. Parce qu’il n’y a rien d’autre à retenir.
je n'ai jamais compris l'admiration des fans de verhoeven pour ce film qui reste pour moi un rattage complet. L'histoire avance avec une mollesse redoutable. On a compris l'essentiel dès la première séquence et la suite accumule clichés et invraisemblances. Les scènes d'action très rares, sont filmés avec le talent d'un Terence Young... mais le hollandais poursuivra ensuite avec plus de virtuosité une surprenante carrière.
Je me rappelle surtout de "Basic Instinct" comme étant un des premiers films pour lequel j'ai outrepassé une interdiction aux moins de quelque chose. Les scènes de sexe et/ou de violence, et pas seulement la fameuse scène, avaient fait leur effet. Par contre, j'avais pas particulièrement trouvé que le scénario cassait trois pattes à un canard malgré quelques trucs intéressants comme la fin ambiguë. Ben aujourd'hui, et pas seulement à cause de l'âge (la période hollandaise de Verhoeven beaucoup plus audacieuse et le fait tout simplement qu'on soit plus blasé maintenant doivent aussi avoir leur part de responsabilité !!!), les scènes de sexe et/ou de violence ne m'ont pas spécialement marqué, choqué, ou je-ne-sais-quoi. Et mon impression première à propos de scénario est ici confirmée. De plus on peut regretter que l'excellente BO de Jerry Goldsmith soit un peu trop omniprésente, Paul Verhoeven l'a surement exploitée pour rendre hommage à Hitchcock mais on peut trouver ce dernier un peu lourdaud, et que certains éléments du scénario, comme par exemple le personnage d'épouse et de mère tueuse joué par Dorothy Malone, ne soient pas plus exploités. Autrement, il y a le duo d'acteurs... mais bon pour moi "Basic Instinct" est le film le plus faible de Verhoeven que j'ai vu. Sur quasiment le même thème, le beaucoup plus méconnu et certes imparfait "Le Quatrième Homme" du même Verhoeven m'avait fait une plus forte impression.
Première fois que je voyais "Basic Instinct" et franchement, je n'ai pas été subjugué. L'histoire en soit n'est pas mauvaise et il n'y a pas de temps morts. Bon, niveau acteurs, on a connu mieux mais pire aussi. J'aime toujours autant Michael Douglas mais Sharon Stone laisse clairement à désirer. Y a une chose que je trouve dommage cependant, c'est que de la première à la dernière minute, il n'y a aucun suspense, navrant pour un thriller. La bande originale est un peu faible et certains passages sont clairement clichés. Après, il faut avouer que l'ambiance n'est pas mauvaise, qu'on a des courses poursuites marrantes (même si c'est pas le but) et qu'on à le droit à des scènes torrides tous les quarts d'heure (c'est de l'humour). Donc en bref, un film très moyen qui se regarde pour passer le temps. 8/20.
Un chef d'œuvre du genre. Ce thriller érotique bien ficelé entraîne le spectateur sur des montagnes russes psychologiques. Du suspense, des dialogues incisifs, de l'humour, de la violence esthétisée, de la passion, du sexe... mais surtout un duo d'acteurs phénoménal. Sharon Stone irradie de beauté et de sensualité dans ce film. Elle incarne une la femme fatale : mystérieuse, sexy, dominatrice, manipulatrice, redoutable.
Génial ce film surtout la façon dont sharon stone endoctrine mickael douglas grâce à son charme. Quel homme pourrait y résister ????? ^^ De plus excellent scénario et musique.
Cette oeuvre diabolique lança la mode du thriller érotique,vénéneux,dangereux.Jamais on ne sait sur quel pied danser avec la romancière Catherine Trammell.Et c'est cela qui est fascinant.Ce mélange entre tension sexuelle latente,menace de mort douloureuse,et jeux de manipulation,qui est irrésistiblement attirant.Sharon Stone devint une star internationale du jour au lendemain grâce à "Basic Instinct"(1991).D'une beauté blonde ensorcelante,elle enivre nos sens et nous met en position d'infériorité,jouant sur nos fantasmes enfouis,au même titre que sur le flic sombre Nick Curren,auquel Michael Douglas donne une ambiguïté effarante.La mante religieuse est-elle la meurtrière que tout le monde imagine?Verhoeven laisse le doute jusqu'aù bout,avec la célèbre image du pic à glace sous le lit.Autre image indélibile:Trammell croisant et décroisant ses jambes durant l'interrogatoire,sans petite culotte...La ville de San Francisco,rendue spectrale,symbolise ces différents interdits bafoués.D'une sensualité et d'une sexualité époustouflante,ce thriller est aussi doté d'une intrigue policière touffue et passionnante.Jeanne Tripplehorn,dans le rôle-clé de la psychiatre Beth Garner,distille aussi son insidieux poison,sous des dehors impeccables.Inégalé et inégalable.