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    Rosemary's Baby
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    4,1
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    358 critiques spectateurs

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    Tony Morestin
    Tony Morestin

    8 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 mai 2021
    Totalement surcoté comme son réalisateur d'ailleurs qui n'est juste qu'un petit metteur en images .
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 4 mai 2021
    On peut à peine décrire ce film comme un film d'horreur. Plus que tout c'est une blague et une mauvaise blague en plus. J'aime les films lent mais il ne se passe rien dans cette histoire. Il n'y a qu'un ou deux développements significatifs de l'intrigue et ils sont si espacés qu'au deuxième on s'en moque. Le pire est qu'il est raconté du point de vue d'une personne totalement impuissante. Elle est mise dans une situation désastreuse. Mais elle a le QI d'une enfant de 12 ans pour ne pas être capable de s'en sortir. Littéralement chaque fois qu'elle fait quelque chose de bien elle se retourne et fait cinq choses de mal. Et comme si cela ne suffisait pas, après avoir assisté à ce film incroyablement frustrant il vous offre une fin qui n'apporte aucun bénéfice. Tout ce qu'elle fait c'est renforcer la nature du personnage principal et tout ce qui n'allait pas avec le film pour commencer. Pour que Rosemary's Baby soit considéré comme un classique je ne peux que supposer qu'il y a un tas de gens qui se souviennent du bon temps et qui vivent dans le déni de films comme celui-ci. J'étais excité à l'idée de regarder ce film avec tout le battage médiatique qu'il a suscité et je ne suis pas opposé aux vieux films. Mais c'était tout simplement mauvais...
    JCADAM
    JCADAM

    3 abonnés 366 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 avril 2021
    Bonne surprise, un film bien construit envoûtant où le rêve et la réalité s'entremêlent du coup on ne sait jamais sur quel pied danser. L'angoisse monte crescendo et on en vient à en être mal à l'aise tellement le film est bien réalisé. Les performances de John Cassavetes et Mia Farrow sont monstrueuses, de plus la musique angoissante dès le début donne le ton. Moi qui ne suis pas fan de ce genre, j'ai été épaté par celui-ci même s'ils subsistent quelques longueurs et que la fin est un peu bâclée à mon goût par rapport au reste.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    113 abonnés 1 582 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 avril 2021
    Avec « Répulsion », Roman Polanski avait, avec son talent de metteur en scène majeur du 7ème art, déjà sondé les arcanes de l’épouvante et de la paranoïa. Abordé comme jamais, il est devenu au fil de sa filmographie une référence en la matière. Il n’use pas des facilités du genre avec ses clair-obscur (ici tout est clair et blanc), ni ses ombres ou ses zones d’ombre, ni ses lieux inquiétants. Et c’est bien ce degré élevé d’épure qui condamne le spectateur de se poser des questions sur la santé mentale de Rosemary. Vit-elle un gigantesque complot ou est-elle victime de problèmes psychologiques dus à sa grossesse. Polanski instille un malaise permanent et une sensation d’inconfort par petites touches et durant 2 heures15 sur un faux rythme qui pourrait être bien ennuyeux. Il s’évertue à mettre en place une atmosphère malsaine. Pourquoi ces voisins sont si prévenants ? Pourquoi son mari a un comportement si étrange ? Comment est-il devenu si soudainement un comédien à succès ? Lui veut-on du mal à elle ou à son bébé ? Menace sataniste ou psychose, son espace privé est envahi par les voisins, les minces cloisons, un fœtus au comportement étrange. L’invasion progressif de son espace physique et mental va jeter un immense voile sur sa démence clinique ou à l’inverse, de sa seule vaillance d’esprit face à une communauté. Les lettres roses du générique tout comme la gentille berceuse en fond sonore laissent bien à penser que tout va bien dans le réel. Mais dans ce film, c’est le possible que l’on suspecte être réel, et qui s’avère in fine être la seule et unique réalité : Rosemary porte en son ventre l’antéchrist, et ses voisins sont des satanistes qui ont convaincu son mari de laisser sa femme se faire violer pour s’assurer du succès dans sa carrière d’acteur ? Il n’y a qu’une réalité et elle est effrayante. La dernière scène est un must du cinéma et lève tout ambigüité : le cauchemar est devenu réalité et fait de ce film un chef d’œuvre absolu d’horreur suggestive. Drame faustien au travers du mari, condamnation des croyances ; mais aussi une réflexion sur nos sociétés. En couverture du Times, on peut lire « Dieu est-il mort ? ». Avec l’émergence de la société de consommation, la mise au pilori des valeurs judéo-chrétienne, certains croyants comme Rosemary voie leurs croyances ébranlées et ne savent plus s’orienter.
    Un incontournable du 7ème art par un réalisateur majeur.
    tout-un-cinema.blogspot.com
    stans007
    stans007

    18 abonnés 1 245 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 avril 2021
    Comment tirer le maximum d’un scénario ! Le génie de Polanski dans ce film est de nous confiner (un mot d’actualité !) dans une atmosphère perpétuellement dérangeante et malsaine sans qu’il n’y ait une seule scène gore. J’ai adhéré totalement aux méfiances puis aux inquiétudes grandissantes de l’adorable Rosemary superbement incarnée par Mia Farrow.
    Yalfy
    Yalfy

    1 abonné 90 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2021
    Un film d' horreur psychologique sans gore, tout se passe dans l' imaginaire de l' héroïne.Le meilleur rôle de Mia Farrow hallucinée.un John Cassavetes inquiétant à souhait
    Santu2b
    Santu2b

    219 abonnés 1 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 février 2021
    Après quatre long-métrages entre la Pologne, la France et le Royaume-Uni, Polanski traverse l'Atlantique en 1968. Premier film hollywoodien du cinéaste, "Rosemary's Baby" fut déterminant dans sa carrière. Sa traversée s'avère en effet un coup de maître. Adapté du roman de Ira Levin, il s'agit certainement de l'un des plus grands films sur la suggestion. Le cinéaste signe plusieurs coups de génie nous faisant croire à la paranoïa comme à l'incroyable. Avoir su instiller autant le doute au sein du spectateur est donc l'un des points forts de "Rosemary's Baby". Polanski dresse en outre un portrait terrible de la famille et du rêve américain, au milieu duquel trône Mia Farrow, merveilleuse de candeur. Un film qui est également une date pour un sous-genre : celui des films sataniques qui vont pulluler la décennie suivante, "L'Exorciste" en tête.
    Louis C
    Louis C

    13 abonnés 193 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2021
    Film a voir si vous l'avez zapper ,film ou on se pose des questions, de l'intrigue, du stress...Les acteurs jouent bien bien réalisé reste tout de même un classique ,avec une fin étonnante et prévu pour certain.
    Bien ,ma note 3.5
    Denedrae
    Denedrae

    1 abonné 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 février 2021
    Le film est à remettre dans le contexte de l'époque, il ne faut pas l'oublier. Evidemment qu'il a vieilli il a plus de 50 ans mais reste assez efficace malgré tout. Le scénario est bien, un peu obscure toute cette histoire en y réfléchissant bien mais ça fonctionne. Le mari est à baffer du début à la fin. Et d'ailleurs je n'ai pas vraiment aimé la fin que je trouve assez décevante au vu de la trame générale du film. Pas un chef d'oeuvre mais pas mal.
    Fabien S.
    Fabien S.

    472 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 janvier 2021
    Un bon film d'épouvante de Roman Polanski avec Mia Farrow et John Cassavets sur l'enfant du diable né d'un viol.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 juin 2020
    Rosemary’s baby est le premier film américain de Roman Polanski. Si les lettres roses qui agrémentent les titres du générique font ressortir une touche glamour, la mélodie entêtante de Mia Farrow et l’enchevêtrement des immeubles ternes et désolés apportent un sentiment paradoxal, entre la chaleur réconfortante et une inquiétude viscérale. Ce paradoxe concerne aussi l’appartement situé au septième étage de l’immeuble Bramford. Ses nouveaux locataires, Rosemary et Guy prennent plaisir à rénover cet univers spacieux avec les composants du modernisme, à réinvestir les lieux en faisant l’amour au milieu du salon ou en se projetant vers un avenir radieux. Cependant, derrière la fraicheur apportée par le couple Woodhouse se cache des façades au passé trouble, des longs couloirs oppressants, un sous-sol miteux et un mystérieux placard condamné par l’ancienne occupante de l’appartement. Dès les premières minutes, une ombre pèse sur le jeune couple. Le cadre peut-il corrompre une idylle ?
    Les débuts harmonieux de la vie conjugale sont vite menacés par une violation de leur intimité. Elle est personnifiée par le couple âgé demeurant dans l’appartement voisin, les Castevet. Polanski semble prendre un malin plaisir à corrompre l’un des espaces les plus protégés de « l’American way of life », à savoir le cadre privé. Le premier envahissement a lieu lorsque la voisine s’invite dans l’appartement réagencé des Woodhouse et met un point d’honneur à déambuler dans toutes les pièces. À cela, s’ajoute la présence de murs très mal isolés qui n’atténuent pas les bruits quotidiens ou parfois étranges des alentours. Ces derniers viennent perturber les discussions nocturnes entre Rosemary et Guy. À la fin du film, nous apprendrons que le placard condamné est en réalité un passage entre deux appartements. Le cadre privé est définitivement percé.
    Plus tard, les voisins imposeront, avec une politesse bien trop mielleuse, divers mets et mixtures concoctées pour les femmes enceintes. Polanski poussera même l’intrusion morale jusqu’à une violation physique au cours de la légendaire séquence onirique de la fécondation de l’héroïne. Sans trop en montrer, Polanski implique directement le pouvoir de suggestion du spectateur. Autre élément primordial au cœur de la stabilité du couple, la confiance entre les époux. Au cours de l’acte de mariage, cette notion se manifeste par le port de l’alliance. Lors de la séquence du viol, le mari retire son alliance. Tout un symbole. Juste avant cela, le lien de confiance avait déjà été rompu au moment où Guy pousse Rosemary à consommer un désert dont il connait parfaitement le contenu suspect.
    Au cours de la grossesse, la pression augmente sur Rosemary. Son mari souhaite prévenir les Castevet dès le premier jour de l’annonce. Ces derniers font en sorte que Rosemary change de gynécologue et recommandent, puis imposent l’une de leurs connaissances. D’un faible soutien, Guy s’enferme de plus en plus dans le mutisme. Un autre lien de confiance majeur est détruit au cours du film. Il s’agit de celui du médecin et de son patient, particulièrement lorsqu’il s’agit d’une patiente enceinte qui a besoin d’être rassurée. Il n’en est rien, le médecin mandaté par les Castevet laisse Rosemary souffrir durant tous les premiers mois de sa grossesse. Son objectivité sera même remise en cause lorsque Rosemary se rendra compte qu’il porte l’odeur de racine de tannis présente dans le pendentif offert à l’héroïne par Mme Castevet. Au fur et à mesure que le film avance, que la grossesse progresse, le cadre se resserre sur Rosemary. La douceur de la Lettre à Elise de Beethoven qui berçait l’arrivée, puis les premiers mois de grossesse laisse place à des airs cuivrés beaucoup plus angoissants.
    Le second aspect majeur du film est son lien avec la religion. En couverture du Time, nous pouvons lire : « Dieu est-il mort ? ». Cette sentence Nietzschéenne prend un sens nouveau au cours des trente glorieuses et de l’émergence de la société de consommation. À une époque où la cupidité et les idoles manufacturées remplacent progressivement les valeurs Judéo-chrétiennes, certains individus tels que Rosemary ne savent plus vraiment vers quel chemin s’orienter. À plusieurs reprises, Rosemary prie, mais Dieu reste silencieux et impuissant. En opposition, la figure du Diable s’impose et dispose de pouvoirs illimités. Personnifiée par le couple Castevet, la sorcellerie se pose comme une alternative à Dieu. Elle se nourrit des dérives du modernisme, mais utilise des procédés ancestraux. Dans le cas du religieux comme dans celui de la sorcellerie, il y a volonté de se détourner des produits industriels jugés inefficaces et nihilistes. Car comme le culte de Dieu, le satanisme repose sur la croyance.
    Lors du premier repas entre voisins, les Castevet n’hésitent pas à railler la religion en présence des nouveaux arrivants. Quant-au mari, il vend littéralement son âme au Diable dans le but de devenir célèbre. Par l’intermédiaire de la sorcellerie, son principal concurrent devient subitement aveugle. La sorcellerie est une affaire de reliques, Rosemary remarque les oreilles percées de M. Castevet ; le gant d’un ami bienfaiteur disparait, son porteur connait un sort funèbre ; la cécité du concurrent est rendue possible par l’intermédiaire d’un effet personnel échangé. Lors du rêve, la bague, ce symbole de l’unité sous le regard de Dieu, est ôtée. Un ami désigné comme catholique est évincé de la croisière lugubre. Rosemary a beau se réfugier sous le toit protecteur de la chapelle Sixtine, le doigt tendu de Dieu n’atteint pas celui d’Adam, Rosemary sera bien seule face à ses agresseurs. La notion de marquage est également prégnante. Des traits de pinceaux sont appliqués sur le corps de l’héroïne ; un supposé marquage a été appliqué sur le corps de Guy, car ce dernier se met subitement à revêtir un pyjama en présence de sa femme. Après l’accouchement, l’an 1 est annoncé. Il met fin à la civilisation Judéo-chrétienne. Rosemary adresse une ultime prière à Dieu. Ce dernier reste toujours silencieux.
    Enfin, l’efficacité horrifique du film repose sur sa capacité à stimuler nos peurs primitives, particulièrement féminines. La présence du corps étranger accompagnée d’une douleur aigue n’est qu’une accentuation de la peur de l’inconnu qui peut toucher toute femme enceinte. À cela s’ajoute l’angoisse de ne pas maîtriser ses propres actes. Spontanément, Rosemary consomme de la viande crue. Déformateur de réalité, le miroir met parfois l’individu face à ses propres actes. C’est le cas lorsque Rosemary voit son reflet sur le grille-pain. C’est aussi le cas lorsqu’un film majeur use pleinement de sa catharsis.
    Xavier D
    Xavier D

    48 abonnés 1 051 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mai 2020
    Non dénoué d'humour et avec la caméra habile de Polanski qui traite d'un appartement pour le moins douteux surtout leur voisin ceux de John Cassavetes qui crève l'écran, entre chien et loup, et Mia Farrow très belle et naturel, merveilleux couple célèbre du cinéma américain noyé dans une tension troublante qui commence à douter l'un de l'autre que le comportement à changer sur les événements étranges qui surviennent. De faux semblant et de rebondissements. Passionnant et frissonnant. Un bon petit chef d'œuvre d'épouvante. Ça fait froid dans le dos!
    Luke.S
    Luke.S

    15 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 mai 2020
    La bo est une berceuse, ça tombe bien le film est endormant ! Il n'y aucun suspens. Film culte pour certains, il n'en demeure pas moins ennuyeux. Un dénouement regrettable pour un début potable.
    David R.
    David R.

    1 abonné 36 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2020
    Comme dans d'autres films de ses débuts, à mon sens les meilleurs, Polanski nous parle entre autres de la folie. La folie est dans nous même, ou elle nous renvoie celle des autres, ou les deux, avec le même résultat au final, qu'elle nous rend tous fous ? Drame psychologique plutôt que film d'horreur, avec un final un peu décevant, le film est impeccable à tout point de vue, et il reste un classic indémodable, comme un vieil imperméable Burberry. A voir sans autre, mais préparez vous, c'est troublant du début à la fin….
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 16 avril 2020
    Le film démarrer bien ! Je comprends pas que ce film soit classé dans le genre horreur. C'est plutot un film Thriller Psychologique. La fin est incompréhensible.
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