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    Les Moissons du ciel
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    Dodeo
    Dodeo

    90 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2011
    Pour faire court je trouve ça très bon. C'était le seul Malick qu'il me manquait à voir et c'est exactement ce à quoi je m'attendais. Lorsque je suis allé voir The Tree of life je parlais d'une évolution dans le cinéma de Malick qui puise de plus en plus dans la passion et se laisse aller de plus en plus dans l'excessif. Les moissons du ciel c'est donc cette première étape après un Badlands certes très bon mais bien différent de ce que Malick propose aujourd'hui car maintenant rares sont les plans fixes, neutres, qui ne recherchent pas la poésie de tout instant au point d'en étouffer l'oeuvre (Oui j'ai un peu de mal avec The tree of life...).
    Donc comme promis c'est très beau visuellement, la caméra de Malick se balade parmi les âmes, entre les récoltes sous l'observation constant du coucher de soleil qui apporte un magnifique teint à la photographie. Sur le fond Les moissons du ciel est une épopée calme, dirigée par la voix off de cette jeune fille, assez détachée des évènements présents, sans réelle implication malgré sa présence.
    Dans Les moissons du ciel le temps passe, des choses marquantes arrivent, on tente de poursuivre, de repartir, dans un élan d'optimisme néanmoins teinté de mélancolie... Pour au final se faire rattraper par le juste retour des choses et tenter de repartir de nouveau si il en est encore possible. Pour quoi faire, vers quel objectif ? Personne ne le sait, mais il faut néanmoins continuer.
    Malick réalise donc un très beau film tant plastiquement que psychologiquement, il garde cette sobriété enchanteresque tant dans la mise en scène que dans la narration, ce qui ne manque pas de donner une certaine noblesse à l'oeuvre.
    felix-cobb
    felix-cobb

    16 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2014
    L'image est saisissante, tant par la béatitude que par l'animosité qu'elle inspire. Sur un air du Carnaval des Animaux de Camille Saint-Saëns reconduit par Ennio Morricone, le temps coule lentement pour faire figurer le message rempli de grâce de Terrence Malick. Avec patience, celui-ci parvient à montrer (par le biais d'un simple mouvement de caméra, par un regard, une lumière) l'arrivée à la fois paisible et douloureuse du mécanique dans le naturel, et analogiquement de la colère dans l'amour. La caméra, en mélancolique témoin de l'unité de la Nature, révèle au spectateur la dualité artificielle entre l'homme et la nature, et de l'homme en lui-même. Lorsque la voix-off du film se fait entendre, on reçoit par la parole d'une enfant insoucieuse la belle philosophie de Malick. On l'entend dire par exemple que tout homme est en lui-même "moitié-diable, moitié-ange". Puis, dans un dernier acte où l'intrusion confuse de l'homme dans la Nature est punie par la faute commise comme par le déluge, entre le ciel et le feu, la terre et le sang, le film atteint son apothéose, autant dans la petite ballade sauvage qui se termine plus tragiquement que dans le précédent film du même nom que dans la passion sauvage de la modernité.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 6 août 2010
    Une chose est sur après le visionnage du film de Terrence Malick, ce dernier excelle dans son domaine. C'est un tableau du Texas du début du XX siècle qui nous est offert et ce dans deux sens. Premièrement, car on est dans une description précises et juste des moissons à cette époque. Deuxièmement, c'est une oeuvre artistique qui se trouve devant nos yeux. Tous les plans ont l'impression d'avoir étudié avec minutie et détail. Les paysages sont magnifiques et d'une perfection éblouissante. Aucun accroc à l'écran et pourtant tant de détail! Le cinéma comme 7ème art tient là un de ses exemples le plus criant. Le scénario quant à lui, n'est pas très original mais suffit à nous faire regarder le film jusqu'au bout même si il met du temps à démarrer. Il en est de même du jeu des acteurs, peu de dialogue et donc peu mis en avant.
    À voir.
    Clingo
    Clingo

    48 abonnés 128 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 février 2012
    Spoilers sur La Ligne Rouge, The New World et Days of Heaven

    Ce qui me séduit le plus dans le cinéma de Malick, c'est sa simplicité. Bien sûr il ne s'agit que d'une simplicité apparente, on n'arrive pas à un tel résultat aussi facilement que ça. Malick ingère des tonnes de références, qu'elles soient liées à la peinture, au cinéma, à la religion ou à l'Histoire, et parvient à destructurer cette matière complexe en quelque chose d'accessible, réduisant le tout à un ensemble auquel se connecte aisément le spectateur. Il y a un échange évident entre le film et ceux qui le voient, parce que ceux qui le voient retrouvent ici des sensations pures, de celles qu'il n'a pas vraiment l'habitude d'expérimenter au cinéma. Et surtout parce que tout paraît simple, sans fioritures, direct. Ainsi, Les Moissons du Ciel, film au scénario anodin, qui ne fait que prouver qu'au cinéma, on peut avoir 150 fois la même histoire, ce qui fera la différence est la vision et l'âme du metteur en scène. Celles de Malick sont d'une profondeur rare.

    La mise en scène des Moissons du Ciel n'a qu'un défaut, qu'elle partage avec le montage du film : la rapidité avec laquelle les choses se déroulent. Je dirais que cela est plus problématique d'un point de vue global, quand on constate que Malick a décidé de faire de l'ellipse une récurrence des Moissons. Il y a dans ce film une manière précipitée de faire se passer les choses, et cela empêche sûrement la mise en place d'une certaine émotion. Les Moissons peut paraître un peu froid quand il décrit les sentiments de ses personnages, tout simplement parce qu'il ne prend pas vraiment le temps de les ausculter. Plus tard, La Ligne Rouge et Le Nouveau Monde répareront cette erreur en scrutant plus en détail les états d'âme de leurs personnages. Quand on compare la relation entre Adams et Gere à celle qui unit Farrell à Kilcher, on ne peut s'empêcher de constater que la seconde est un des moteurs principaux du film quand la première n'a l'air que d'un prétexte. Malick, déjà cinéaste de la nature dans les années 70, oui. Mais pas encore totalement de la nature humaine, même si les germes sont bien présentes.

    C'est donc là le seul défaut d'un film, qui n'a l'air que d'un détail quand on s'aperçoit, les yeux grands ouverts, ce qu'il nous propose d'autre. Soit une lecture dense et riche de l'Histoire américaine - malgré l'apparente simplicité du projet - enveloppée dans une mise en scène somptueuse d'intelligence et d'audace. Ce qui frappe fort dans les Moissons, c'est la sensation de toucher à la grâce et au sublime par le biais d'une mise en scène esthétiquement bouleversante, spirituellement déchirante parce que, de plus, on a la sensation de ne jamais avoir vu ça. Mieux - et non pas " pire " - on a surtout l'impression qu'on ne reverra plus jamais ça chez aucun autre cinéaste, faisant de nous les témoins privilégiés de ce qui n'arrive qu'une fois ou deux par siècle dans le septième art : un véritable miracle. Clairement, la mise en scène chez Malick se passe de commentaire analytique, et c'est proprement le genre de choses qu'il faut voir de ses propres yeux au lieu d'en chercher des explications ici et là. Et quand on l'a vue, pourquoi perdre son temps à tenter de trouver les mots puisqu'on sait qu'aucun d'entre eux ne sera assez fort et précis pour en déceler la moindre subtilité ?

    Je finis sur l'histoire, hyper classique donc ( et légérement décevante ). Sauf que Malick a l'intelligence de proposer une somme de références. Références à la peinture donc, à la littérature américaine, à la Bible, qui confèrent au film une dimension supplémentaire, un aspect plus fouillé, complexe, beaucoup plus mythique, concluant un discours sur la fatalité ( la reprise de la pluie de sauterelles de la Bible, magnifiquement filmée de haut l'espace d'un instant. Il y a quelque chose de plus puissant que l'être humain...) qui accompagne intelligemment la vision dans le film d'un paradis basé sur le vice et le mensonge, et qui irrémédiablement finira par s'écrouler. Parlez-en à Jim Caviezel et Colin Farrell...
    thethythy
    thethythy

    13 abonnés 434 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2012
    Terrence Malick sait jouer avec nos sens et c'est bien dans un océan de sensation que le réalisateur veut nous faire entrer, et c'est avec tout son talent qu'il y parvient et qu'il ne nous reste plus qu'à y glisser avec plaisir. Tout d'abord sensation du temps qui passe donnée par le rythme des saisons. Ensuite sensation de vivre avec la nature et les éléments : la pluie, le vent, la chaleur, l'eau, la terre, le feu, le froid. C'est par de très belles atmosphères et une superbe photographie que Terrence donne à voir de superbes images. Le traitement de l'intrigue est également du même acabit, tout en finesse et en touches successives grâce à des successions de plans courts et naturels qui donnent, plus que de longues séquences, une idée juste de l'instant. Pour moi Terrence Malick côtoie Stanley Kubrick.
    Mephiless s.
    Mephiless s.

    56 abonnés 697 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 octobre 2015
    Après son premier film qui était formidable, voilà sa deuxième oeuvre qui bénéficie d'une photographie et d'une bande-son excellente, la musique de St-Saëns est très bien utilisée et correspond bien au film. Les dialogues et les personnages sont très bien écrits mais l'histoire est un peu trop molle, ce qui rend le film un peu ennuyeux par moment. Mais on voit bien la patte de Malick, un film qui est presque métaphysique et qui sort de l'ordinaire
    Lotorski
    Lotorski

    12 abonnés 588 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 novembre 2012
    Comme toujours dans les films de Terrence Malick, "Les moissons du ciel" propose une bande-son magnifique couplée avec des images sublimes. Tout ceci pour soutenir une histoire fort intéressante. A ne pas rater, donc !
    Angela Ki La
    Angela Ki La

    51 abonnés 586 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2012
    Voilà un jalon essentiel de l’Americana, un coup de maître auquel on ne s’attend jamais. On voit en plus les éléments qui reviendront souvent dans les futurs Malick. Une originalité assumée, un souffle poétique brutal, un montage d’une créativité formelle qui donne à penser qu’il y a plusieurs films en un seul. Le microcosme, (insectes, animaux, plantes), lié au macrocosme, (le vent, les moissons, les saisons). La voix off de la gamine qui raconte l’histoire, avec une certaine naïveté narrative, elle dédouble le récit, qui est fresque visuelle, et en même temps conte dramatique. C’est un mélodrame, car il y a une histoire d’amour contrariée, un drame car il y a meurtre, un manifeste, car on assiste à la mort symbolique de l’ancienne Amérique, la sédentarisation et la «mise à la raison» de la nature, celle des derniers espaces vierges, par l’industrialisation et les moissons justement. Il faut quand même reconnaître que la nature reprend ses droits de temps en temps. Et la encore, qu’elle nature? La nature humaine (passion, violence qui éclate) et la nature tout court, (catastrophe naturelle, instabilité des éléments). Il est des films dont le statut ne se discute pas ou très peu, et ça en moins d’une heure trente de temps cinématographique, comme quoi tout est une question d’équilibre. En bonus, il y a aussi Richard Gere qui joue le rôle de «Cheval fou», juste pour nous faire oublier tous les rôles glamour à venir, c’est pas beau ça?
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    70 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 août 2014
    "Les Moissons du Ciel" est une perle qui, malgré sa durée assez courte, explore l'âme de ses personnages en profondeur. La poésie dont sait faire preuve Terrence Malick est visible à chaque plan et la beauté transpire de cette dramatique histoire d'amour, imprégnée de mal sans qu'aucun des protagonistes ne cherche à le commettre. Linda Manz, qui récite la voix off durant tout le film, reste la figure de sagesse, un peu à l'écart du drame mais quasiment omnisciente. Le réalisateur accorde une attention particulière aux éléments naturels, c'est-à-dire à tout ce qui entoure les personnages mais n'influe pas sur eux, de façon à faire de son film le portrait vivant d'une Amérique prolétaire. Des plans sont ainsi consacrés aux visages des saisonniers, figurants de toutes origines, ou à des animaux avec lesquels la jeune Linda s'amuse. Ce sont ainsi de vraies scènes de vie qui émergent, sublimes dans leur innocence et leur optimisme. Les forces destructrices sont pourtant aussi présentes : elles s'expriment dans les doutes et les tourments de chacun, jusqu'à atteindre leur paroxysme dans l'apocalyptique scène de l'incendie.
    Ce film est aussi joyeux que triste ; c'est donc la mélancolie qui étreint le spectateur lors des derniers plans, filmés pendant l'heure bleue comme la majeure partie du long-métrage, période de la journée qui magnifie particulièrement les champs de blé l'été, rajoutant encore à la beauté générale de l’œuvre. Il n'y a d'ailleurs rien à redire dans les choix visuels de Malick. Par la seule maestria de ses cadrages, celui-ci exprime des émotions si puissantes que ce tourbillon sensoriel qu'est "Les Moissons du Ciel" ne peut que se graver pour toujours dans la mémoire affective.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 novembre 2011
    Que dire après la vision d'un tel chef-d'oeuvre ? Il m'a fallu deux jours pour me décider à écrire mon avis, chose que je fais d'habitude dans l'immédiat. La mise en scène (récompensée à Cannes) est tout simplement éblouissante. Chaque plan est plus beau que toute la filmographie de Michael Bay, les acteurs sont remarquables, de Richard Gere à Brooke Adams en passant par Sam Shepard. Comme à l'habitude de Malick, de nombreuses scènes font référence à la bible, en particulier celle de l'invasion de sauterelles (un des sept fléaux que Dieu infligea au égyptiens). Ce tout baigne dans une musique magnifique, mention spéciale au carnaval des animaux de Camille Saint-Saëns. Incontournable !
    Olivier Ferry
    Olivier Ferry

    4 abonnés 196 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2016
    Je regarde ce film par hasard après l'avoir vue dans le "TOP 5 1979", je trouve qu'il manque cruellement d'action, je peine à m’intéresser à l'histoire malgré une mise en scène sublime.
    Après avoir consulter la page allociné du film, je constate qu'il s'agit du même réalisateur que "The Tree of Life" où je m'étais fait la même remarque, Terrence Malick semble donc privilégié l’esthétique pour accentuer la poésie de ses histoire, au détriment du rythme.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    131 abonnés 676 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mai 2012
    «Les Moissons du Ciel» est sans doute le film de Malick le plus maîtrisé et le plus condensé. En 1h35, tout son talent et nombre des thèmes qu'il affectionne se déploient. Sorte de Kurosawa occidental (pour le rapport à la Nature et l'intérêt porté à la tragédie), Terrence Malick filme les plus hautes aspirations humaines (amour et liberté) au sein des grands espaces nord-américains. La violence des sentiments n'a d'égale que celle de la Nature, et les personnages qui se débattent sous l'immensité du ciel vivent pour un temps le plus grand des bonheurs, avant d'être rattrapés par leur destin funeste. Histoire d'un jeune couple et d'une petite fille fuyant la ville industrialisée afin de survivre en travaillant dans les champs de céréales, «Les Moissons du Ciel» raconte comment un homme (bouleversant Sam Shepard) fait don de soi et de ses biens pour l'amour d'une femme (Abby, jouée par Brooke Adams), qui secrêtement voulait profiter de lui mais finit par l'aimer. Seulement entre les deux se trouve le jeune Bill (Richard Gere dans son meilleur rôle), au début amant et complice de la jeune Abby mais qui entrera dans une rage furieuse quand il verra les hésitations de son amante à suivre leur plan et retourner à ses côtés. Les conséquences seront alors désastreuses. Terrence Malick signe ici un long métrage d'une grande intensité, mais aussi d'une beauté formelle époustouflante. Le soleil, les nuages, le bleu du ciel, l'or des blés, la fumée du train, le rougeoiement du feu,... tout est magnifié par sa caméra. Les cadrages sont splendides et insufflent une impression de liberté à chaque plan, la lumière est extraordinaire, l'utilisation de la musique est parfaite et subtile, justement car elle est dépendante de l'image comme la réciproque est vraie (c'est l'essence même du cinématographe), la direction d'acteurs est comme toujours chez le texan impressionnante,... les qualités de ce long métrage sont indénombrables. Un chef-d'oeuvre, assurément. [3/4] http://artetpoiesis.blogspot.fr/
    brunocinoche
    brunocinoche

    69 abonnés 1 076 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mai 2017
    2ème long métrage de Terrence Malick qui confirmait ici, après "La ballade sauvage", son talent à filmer les paysages américains. D'une grande beauté formelle (quelle travail sur la prise de vue), l'histoire d'amour contrariée entre les 2 protagonistes qui pourrait nous laisser indifférent sr le papier nous touche ici profondément. La beauté physique du jeune Richard Gere est en osmose avec le travail soigné du metteur en scène. Sam Shepard est excellent en mari trompé. Seule Brooke Adams semble un peu en retrait dans cette belle et profonde aventure.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 décembre 2011
    Ca fait longtemps que je repoussais le visionnage de ce film culte par peur de me faire ch… Et au final, le scénario sur les inégalités est assez classique mais le film est très beau et intemporel. L’image est sublime, beaucoup de plans dans cette quiétude naturelle sont magnifiques.
    MSM
    MSM

    4 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2011
    Au lendemain de sa palme d'or, je me suis décidé à découvrir l'œuvre de Malick. De lui, je ne connaissais que "The Thin Red Line" qui m'a vraiment bouleversé. Las, "Les moissons du Ciel" n'est qu'un petit film dans lequel pourtant, transparaît de façon encore balbutiante le style inimitable de Malick. Il faudra pourtant attendre "Le Nouveau Monde" pour que le réalisateur exprime pleinement sa sensibilité.
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