Note moyenne
3,5
24 titres de presse
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MCinéma.com
Si SUNSHINE n'est pas à proprement parler un film d'action, il s'avère d'une efficacité redoutable. (...) La mise en scène impressionne, toujours à deux doigts du tape-à-l'oeil, sans jamais y tomber.
Première
Sunshine est le candidat le mieux placé pour le titre de film de science-fiction de l'année. On peut même affirmer qu'on a rien vu de plus novateur depuis Alien.
Score
Exceptionnel techniquement (...) Sunshine recycle les vieux mythes (...) multiplie les appels d'air poétiques (...) et les concepts dialectiques (...) avec une réelle virtuosité.
Télé 7 Jours
A des années-lumière de grosses machines sans âme (...), cette odyssée spatiale intense, dotée de personnages très forts et d'effets spéciaux chauds bouillants, vous brûlera les rétines !
aVoir-aLire.com
D'une beauté rare. D'une limpidité visuelle éclatante. D'une perfection esthétique bouleversante (...) il mérite amplement sa place au panthéon de la science-fiction aux côtés de 2001, l'odyssée de l'espace et de Solaris (...) Absolument bluffant !
20 Minutes
(...) un conte métaphysique aussi passionnant que visuellement impressionnant (...)
Brazil
(...) une belle réussite.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Mad Movies
Une invitation à l'ultime voyage qu'il serait dommage de décliner.
Ouest France
[Danny Boyle] dispose ici d'un scénario riche et habile, qui réactive tous les ingrédients obligés du genre (...) Avec en toile de fond, mais sans verser dans le pensum démonstratif, des pistes de réflexion existentielles sur le pourquoi et le comment de notre monde. Ca peut valoir le voyage.
Paris Match
Avec la beauté de ses images et son suspense (...) ce film de science-fiction philosophique est la plus émouvante et éprouvante odyssée de l'espace que l'on puisse voir actuellement, sous le soleil.
Rolling Stone
Parfaitement calibré, jusque dans son casting (...) Sunshine manque peut-être un poil d'originalité, mais confirme la facilité et le bonheur avec lesquels Danny Boyle varie les genres.
TéléCinéObs
Le film est prenant, d`une facture technique assez impressionnante.
L'Ecran Fantastique
Sunshine est donc à réservé en priorité aux aficionados des combinaisons spatiales, des voûtes étoilées et des vaisseaux futuristes. Les autres risquent de trouver le temps un peu long...
Le Figaroscope
[Danny Boyle] est allé voir du côté des classiques avec 2001, l'Odyssée de l'espace de Kubrick, Solaris de Tarkovski ou encore Alien de Ridley Scott. Son aventure, à suspense, se révèle également très métaphysique.
Le Journal du Dimanche
(...) rien de neuf sous le soleil donc. En revanche, le traitement est plus novateur grâce à une mise en scène esthétisante, qui multiplie les effets.
Les Inrockuptibles
Grosse machinerie SF lourdement menée par Danny Boyle mais bénéficiant du regard magnétique et bleu perçant de Cillian Murphy.
Metro
Efficace, distrayant, et un peu plus que ça.
Positif
Jouant sur les conflits entre la force et la faiblesse des huit membres de l'équipage, le scénario tire profit du contraste entre les extrémités du chaud et du froid.
Cahiers du Cinéma
Pour un banal slasher, Sunshine installe une tension pas inintéressante (...) Au-delà de cette idée fixe, Boyle (...) ne se passionne pour rien, et surtout pas pour les détails de mise en scène qui font la clarté d'un récit.
Chronic'art.com
Boyle n'est pas plus à l'aise avec l'enfance (pas assez naïf) qu'avec l'âge adulte (trop simplet), c'est un cinéaste adolescent dans tout ce que cela peut comporter de belle envolées et de poussées purulentes d'acné. Résultat : la chrysalide a de charmants atours, mais le papillon qui en sort est obèse.
Le Parisien
On sort (...) déçu. Mais les amateurs de SF pourront y trouver leur compte de même que les fans d'effets spéciaux, car ils sont spectaculaires.
Libération
Hélas, dès que le film abandonne l'habituel bazar catastrophiste inhérent au genre (...) c'est pour se précipiter tête la première dans une réflexion philosophique embarrassante de mièvrerie.
Télérama
Huis clos entre un petit groupe d'astronautes, confrontés à un cocktail claustro d'angoisses métaphysiques et d'avaries diverses (...) Malgré les efforts de comédiens plutôt inspirés (...) chaque situation ou presque a un goût de déjà-vu.