Avis : Goal II la consécration - Page 2

bon film, mais j'ai moins apprécié que le 1er...
mais c'est une bonne suite. on voit comment la célébrité, l'argent peut vite monter à la tête.
la partie "petit frère" était à mon sens pas utile.

Je n'ai pas aimé le premier : pourquoi voir le deuxième ? Parce que je l'avais en DVD, j'imagine, et pas grand-chose d'autre... Cela écrit, si l'on pouvait avoir une vague sympathie pour son prédécesseur et le club choisi pour voir notre héros s'épanouir (Newcastle), cette suite se vautre de bout en bout dans une vulgarité souvent effrayante. Comment les producteurs ont-ils pu croire qu'en nous balançant pendant quasiment deux heures du pognon, du clinquant, des bombasses et des soirées bien arrosées, on allait trouver ça beau et émouvant ? Et puis bon, le Real Madrid, quoi... Il n'y avait vraiment pas d'autres clubs que celui incarnant le plus puissamment le foot business sur la planète ? Ravi pour l'équipe de tournage que celle-ci se soit amusée au plus près des joueurs de l'époque, s'offrant tous des apparitions, mais en plus de n'être absolument pas réaliste, cette immersion est juste moche, indigentes dans ses sous-intrigues comme sa morale bas du front (ébloui par le prestige de son nouveau maillot, Santiago va évidemment devenir un petit prétentieux s'éloignant de ses proches, avant de revenir, tout aussi évidemment, dans le droit chemin et comprendre les vraies valeurs de l'amour et de l'amitié : au secours), même la façon dont est résumée la saison des Merengue et surtout le scénario des matchs, aussi grotesque que prévisible, faisant peine à voir. Quant à la « mise en scène » des rencontres, elle parvient à faire encore pire que précédemment, assumant une dimension jeu vidéo absolument infâme, le sans génie mais habituellement plutôt efficace Jaume Collet-Serra nous ayant habitués à mieux. Seul le casting, pourtant bien moins exploité, garde un semblant de dignité, notamment Rutger Hauer, très convaincant en coach, ou encore le choix spoiler: de ne pas faire marquer au jeune mexicain le but de la victoire finale
... Ah, et la chanson du générique n'est pas mal du tout. Plus qu'insuffisant pour cette véritable parodie de football et de cinéma, se vautrant lamentablement dans ce qu'il était censé dénoncer. Pour la grandeur du sport le plus important d'Europe, on repassera.

La Premier League ne lui suffisant plus, Santiago Munez s'attaque à la Ligue des Champions sous les couleurs du Real Madrid. Les nostalgiques du Real de 2005-2006 seront ravis de retrouver les Galactiques : Beckham, Zidane, Ronaldo, Raul, Robinho tous là pour quelques jongles. Hors du terrain, Goal II fait dans le classique. Comme tout film sur le sport, il faut affronter les paparazzis intrusifs, l'argent qui coule à flot, la vie privée tumultueuse. Des passages convenus mais obligatoires. Sinon, les non fans de football décrocheraient très vite si on ne voyait que des matchs. Dans tout ça, je me demande si ce n'est pas Harris qui a raison. Lui a compris que le foot n'était pas une fin en soi. Qu'une carrière était courte. D'où sa mentalité de tout prendre à la rigolade. Et de multiplier les investissements (même si son agent était véreux) histoire d'être tranquille après. Munez, lui, vit au jour le jour. Quand on voit les relations avec sa copine et la fin abrupte, je me dis qu'on est parti pour en prendre encore une bonne rasade dans le troisième et dernier épisode.

Très clairement deux crans en dessous du premier volet. Trop cliché, trop long, trop simpliste. Décevant en résumé.

Un message "L'argent ne fait pas le bonheur" ? On sait tous qu'il faut juste le dépenser intelligemment ;) Ici, c'est frime et niaiseries. Plus Santiago a d'argent, plus il le dépense en Lamborghini et autre superflu au détriment des siens : Son frère qu'il ne reconnaît pas, sa femme qu'il délaisse, sa mère qu'il ne voit plus. Il commence les caprices de stars avant de se souvenir d'où il vient. Cliché, mais aussi distrayant que le premier. Une suite avec les mêmes personnages assez réussie dans l'univers du foot, même si je n'ai pas vraiment apprécié non plus.

Volet nettement moins bon que le premier car il est vrai que là, l'histoire est moins humaine, moins touchante, moins intense... mais ca n'empêche que ça reste prenant pis que c'est agréable de suivre des matchs comme si on y était (avec des joueurs qui nous ont fait rêver à l'époque) et moi je dis oui ! Et je dis même vivement le 3ème volet pour voir ce qu'il va arriver à notre prodige Santi !

Le premier film était vraiment sympa, mais cette suite c'est vraiment moyen. Kuno Becker reprend son rôle de Munez qui part poursuivre sa carrière de footballeur au Real Madrid. Les seconds rôles sont pas mal : Alessandro Nivola, Stephen Dillane, Anna Friel, Leonor Varela et Rutger Hauer. Et avec encore plus de guest-stars footballeurs : David Beckham, Zinédine Zidane, Raúl González, Roberto Carlos, Iker Casillas ou encore Ronaldo. Les scènes de matches reste corrects, mais l'histoire perd en magie : un joueur qui connait la gloire et qui perd la tête sa devient lourd par moment, dommage.

Pour ce second volet de la saga footballistique « Goal », on reprend les mêmes ingrédients que dans le premier à savoir une trame classique et un peu naïve sur fond de football. Alors, effectivement si le film fait en sorte, comme dans le premier, de ne pas exclure les non-amateurs de ballon rond c’est au détriment d’une intrigue un peu plus solide sur cet univers qui est cantonné aux clichés des magazines : joueurs starifiés, fêtes pleines de jolies filles, griserie de l’argent qui leurs fait prendre la grosse tête… Le tout accessoirisé d’une histoire de cœur et d’un drame à caractère familiale, ce dernier étant troussé de façon expéditive et peu réaliste. Bon cela dit contrairement au premier j’ai trouvé les séquences de matchs plus réalistes et l’incrustation de vraies stars du ballon rond vraiment bien fait, on y croirait presque. Une suite au niveau du premier, donc, qui fait le pari du « à suivre… » pour teaser jusqu’au troisième volet les spectateurs, ce qui donne au film une fin un peu abrupte et plus téléfimique que cinégénique. Le seul vrai argument pour le regarder reste, comme dans le premier, de guetter l’apparition des stars de ce sport, pour le reste le scénario sans être bon et cependant moins mauvais que le précédent et permet de passer un moment pas trop désagréable, même si l’on peut sourire de la vision un peu candide du monde du foot. À voir vite fait pour se détendre sans prise de tête.

Largement moins réussi que le premier volet, cette suite à beau donner un petit côté dramatique, elle n'arrive pas à rivaliser avec la réalisation de Danny Cannon qui si elle était très féérique était aussi et surtout prenante ! Les scènes ou les acteurs sont censés être sur le terrain sont moyennement réussies, le scénario et les dialogues ne sont pas très adroits, en résumé ce second opus à tout juste de quoi satisfaire les amateurs du ballon rond (dont je fais partie) pour son cachet foot.

Quelle idée m'a traversée l'esprit quand j'ai acheté la place? N'étant pas fan du premier volet, j'aurais dû me douter que ça allait mal se terminer... peut-être le fait que le réalisateur nous avait sorti un des meilleurs films d'horreur de ces dernières années (La Maison de Cire). peut-être le fait d'acheter l'Equipe avant d'aller au cinéma voir ce qu'ils y passent... en tous cas, j'aurais dû m'abstenir! il n'y a rien à sauver dans ce film écrit en deux jours par un agent Marketing pas bien finnaud. Un peu de Beckham de loin, quelques autres joueurs madrilènes de passage, des dialogues écris par ma petite soeur de dix ans, des péripéties qui n'ont rien d'excitantes, un suspense néant... bref, la totale quand on sait que c'est mal monté, filmé n'importe comment et que tout le monde a l'air d'en avoir rien à foutre. un grand film! nivelé par le bas...

Suite de "Goal:La naissance d'un prodige" qui était très bien foutu, ce volet présente plus l'aspect "coulisses" du foot business. On découvre les difficultés, les choix, mais aussi les joies
et les facilités d'un footballeur de haut-niveau. Je déteste le foot et j'avais regardé le premier volet par curiosité et avait été enchanté. Ce n°2 n'est pas aussi bon mais il reste dans la veine du premier et nous montre une véritable suite, c'est agréable. A quand le n°3 avec la déchéance de la fin de carrière précipitée par une blessure par exemple...

Quand on fait un film sur le football, on a tendance à en faire vite le tour. Et Jaume-Collet Serra ne déroge pas à la règle. C'est un véritable spot publicitaire pour tout amateur (je dis bien amateur) de football et en quête de super-héros sportif. La déception est immense, les coulisses du football sont traités en surface, le glamour, les strasses & paillettes qui y sont autour ressemblent à une boulimie de toque. Que dire de la réalisation des matchs, complètement irréaliste. Je veux bien que le football soit un sport magnifique, des émotions incroyables que le ballon rond peut nous procurer en tant que spectateur, mais parfois il faut savoir s'arrêter.

Par contre le film dépeint quelque chose : le faux. Et pour ça, le réalisateur s'est attardé à un sujet qu'il a l'air de connaitre, avec ses fausses idées reçues.

C'est dans la lignée du 1er, mais les scènes des buts de Santiago Muñez sont exagérées à outrance, dommage. Pour le reste, ça reste bon, même niveau scénario où cela semble plausible.

Une suite forte en émotion à l'image du premier volet, ou l'on peut suivre le parcours de ce jeune footballeur hors du commun. Dommage cependant que cet opus se consacre au show biz plutôt qu'aux prouesses footballistiques.

Beurk ! Le premier volet se laisse regarder, mais le second, qui va sans doute trop loin dans la surenchère, est absolument indigeste.