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Mulder13
21 abonnés
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4,0
Publiée le 20 janvier 2009
Ce dernier Rambo laisse de côté l'apologie du patriotisme américain des épisodes 2 et 3 pour montrer de façon crue la réalité de la guerre (un peu à la façon d'un "Full Metal Jacket"). Le spectacle souvent difficilement regardable a au moins le mérite de ne pas idéaliser la participation à un conflit armé.
.... ......-_-'........-_-'....apres 20 min de visionnage je me demandais si il fallait que je continue ou pas...j'aurais peut etre du arreter...premiere fois que je vois un rambo et j'en conclue que ce qui marche ds les annees 80 ne marcge pas forcement mnt le gore debile les repliques caricaturales les persos creux et surtout et non pas des moindres john rambo le guerrier invincible au look impropable ne passe pas il manque le kitsch de l'epoque pr ns faire avaler ste ...bref...et mais au fait where is the scenario ?...in the kitchen ? Ok *touche accelérer*
TROP COURT!! BEAUCOUP TROP COURT!! car il y'avait largement matière à reussir un vrai chef d'oeuvre du genre... chapeau tout de même et merci Mr. Stallone de ne pas nous avoir livré/baclé un navet à la sauce Hollywoodienne
John Rambo... voilà un sacré film d'action, violent, sanglant, prenant ! Comparé aux épisodes d'avant cela n'a rien à voir. L'ambiance est pas mal surtout la phase d'infiltration de nuit. La final du film est plus sanglant que le premier épisode de Saw... Pour les amateurs de films d'action saignant pur et dur. On voit aussi que Stallone à pris un sacré coup de vieux !
Rambo IV est un de ces films de saga qui nous font oublier les pires épisodes, ici le II et le III, pour nous redonner l'ambiance et une histoire digne du meilleur opus, ici le premier. Aussi après le dernier Rocky, "Sly" nous reprouve que certaines saga sont éternelles à condition qu'on y mette du sien, de la passion et du talent !
rambo nous revient en très grande forme du très grand stallone (après son superbe : rocky balboa) stallone a confirmé que rambo reviendra pour une 5emes aventure (afaire a suivre...)
scénario en béton images photos musique excellente je me suis fait la série des 4 épisodes aujourd'hui pour voir enfin le dernier volet en date last blood. celui qui m'as scotché est bien John Rambo forcément car la technologie à bien évolué depuis 1988. il y a de l'inovation et une lutte de groupe. très difficile de ne pas plonger dans l'action de ce combat jusqu'au dénouement final . impeccable pour moi c'est limite un chef-d'œuvre dans cette catégorie de film . le pied ! moi qui ne suis pas film et jeux videos de guerre je suis entré dans l'histoire et dans ce besoin de justice....
Le choix du coté sanglant et horrible de la guerre a je pense été une bonne idée, sinon ça allait tomber dans la caricature du vieux film avec son héros qui sauve tout le monde... Là justement c'est dur d'en sortir indemne car c'est un coté très réaliste que nous propose stallone, alors les corps explosent dans tout les sens, les mutilés se comptent par dizaines et ... stallone est toutefois un peu trop impressionnant au niveau de son habileté à manier les armes :-/ Quand il rate c'est vraiment qu'il a glissé des 2 pieds, avec 2 menottes dans le dos et qu'il n'a pas réussis à ajuster la mitrailleuse entre ses dents avec la seconde mollaire :-P Sinon au niveau des armes c'est sur qu'entre quelques films, on est passé d'armes qui font des trous de 5mm à des balles qui explosent les têtes, et coupent les corps en deux parties égales ^_^ Niveau réalisme je ne m'y connais pas en arme, mais je trouve ça tout de même un peu gros lol.
Le Rambo le plus bourrin des 4. Impressionnant, surtout sur la fin. L'histoire a un aspect "Apocalypse Now" grâce au bateau. Une bonne histoire, dure, avec de nombreuses scènes crues et réalistes. Attention aux personnes sensibles car il y a des giclées de sang, énormément de violence gratuite et inattendu. Le film dénonce.
Grâce au succès de Rocky Balboa, Sylvester Stallone est arrivé à remonter sur le devant de la scène en tant qu’acteur mais également en tant que réalisateur. Il en profite ainsi pour ressusciter son autre personnage fétiche : John Rambo. Après deux derniers épisodes s’éloignant du réalisme et ayant transformé le personnage en super-guerrier quasiment invincible à la psychologie assez mince, il décide, comme pour le célèbre boxeur, de revenir aux sources, c’est-à-dire un personnage traumatisé pour ce qui est du vétéran du Vietnam. On retrouve donc, comme pour le premier épisode, un personnage hanté pour ses expériences de guerre et rejetant le monde qui l’entoure ("Fuck the world").spoiler: Cette psychologie troublée apparaît pleinement dans la séquence du cauchemar réutilisant de manière impressionnante des extraits des précédents volets (et même la séquence finale alternative du premier épisode). Rambo est redevenu réellement un personnage torturé qui ne peut désormais s’accomplir pleinement que dans la violence bien qu’il rejette totalement cette partie de sa personnalité. On pourra d’ailleurs regretter que l’acteur-réalisateur ait coupé de la version cinéma une séquence de discussion de presque 5 minutes entre Rambo et Sarah précisant encore plus la psychologie de son héros et éclaircissant son choix d’aider la jeune femme et ses compagnons. Mais ce travail sur le personnage n’est pas le seul aspect de réalisme que Stallone cherche à traiter. En effet, il décide de montrer toute l’horreur de la guerre et du génocide du peuple Karen par la junte militaire birmane que le film permet de mettre en lumière, l'Occident le connaissant très mal. Ainsi, il fait preuve d’une crudité assez incroyable dans les scènes de massacres et n’épargne aucune abomination au spectateur : exécutions d’enfants par balles ou en étant jetés au feu, membres ou têtes arrachés ou découpés, corps déchiquetés par des mines… De plus, pour une fois, Rambo, tout en restant un combattant d’exception, n’est pas seul pour vaincre une armée entière, privilégiant la crédibilité au côté fun. L’aspect distrayant des précédents volets disparaît et laisse place à une violence nettement plus crédible qui perd tout aspect plaisant. Ce réalisme est d’ailleurs annoncé dès la première séquence puisque celle-ci adopte la forme du reportage (la version française emploie même Patrick Poivre d’Arvor dans les voix-off). En effet, d’un point de vue visuel, Sylvester Stallone (dont c’est l’unique passage derrière la caméra pour un Rambo) adopte une forme en rupture totale avec les précédents épisodes. Les séquences de guerre sont extrêmement découpées et utilisent beaucoup la caméra portée pour renforcer la crudité des images : on peut voir John Rambo comme une forme de prolongement de l’expérience d’Il faut sauver le soldat Ryan. Comme pour Rocky Balboa, le cinéaste s’autorise une utilisation du noir et blanc et des séquences proches de l’expérimentalspoiler: (la séquence du cauchemar citée précédemment) ou purement cinématographiquespoiler: (celle de la forge du poignard réactualisant une scène coupée de Rambo III) . Si le scénario ne cherche pas à offrir une multitude de rebondissements (et reprend au passage une structure proche de celle de l’épisode précédent), c’est qu’il cherche à privilégier cette vision d’un monde d’une grande dureté. Ainsi, comme pour le premier épisode, on peut retrouver un regard sans pitié sur l’humanité et la civilisation américaine mettant dos à dos des humanitaires pleins de bons sentiments mais complètement déconnectés de la réalité des terrains de guerre (c’est d’ailleurs cette connaissance de ceux-ci qui rend Rambo totalement désillusionné et qui le pousse à vouloir les éviter à tout prix) et des mercenaires représentés par un chef macho, raciste et totalement imbu de lui-même. Pourtant, c’est cette plongée en enfer qui permet au personnage de l’ancien béret vert de se sentir prêt à renouer avec ses origines dans une séquence finale qui semblait à l’époque être une conclusion parfaite à la saga.
L'évolution des technologie permet de se rendre compte de la différence de qualité entre les Rambo des années 80 et celui de la fin des années 2000. Peut être que cela influe les notes en sa faveur, la plupart des spectateurs prenant plus de plaisir à voir une image nette qu'un grain granuleux d'un autre temps. Mais si on se réfère à l'histoire, à part nous faire pleuvoir du sang, des têtes ou tout autre membre mal harnaché au corps humain, ce John Rambo ne vaut pas un kopek ! Alors oui c'est gore et trash et probablement assez réaliste de ce qu'il peut se passer dans les zones de guerre, mais bon dieu, à quoi bon ? Qu'apporte ces scènes à l'histoire et à la mythologie de Rambo ? Quel intérêt de faire ce film 20 ans après, si ce n'est relancer un héros d'un point de vue spéculatif ? Des histoires de sauvetage à l'autre bout du monde ont été vue et revue et avec de biens meilleurs acteurs !
Sylvester Stallone redonne de l’intérêt à cette franchise qui en manquer. Il reprend son rôle iconique à la bonne heure mais cette fois-ci, c'est lui qui prend les choses en main à la réalisation de ce quatrième volet. Un film d'aventure faisant preuve d'une réelle efficacité dans les scènes d'actions et qui fait preuve d'une violence sanglante totalement assumée pour notre plus grand plaisir. Le scenario est classique et déjà-vu mais le suspense se maintiens et " Sly " offre un beau final à son film.
Grande surprise pour moi . Film vraiment bien fait, Stallone repred du service avc rambo pour le plaisir de nos yeux .La fin est grandiose, moi qui apres avoir vu les épisodes 2 et 3 qui m'avais vraiment deçu cette épisode 4 ma reconcilier avec la saga rambo. Grand merci a Silvester Stallone.