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Ce polar nerveux s'inscrit en bonne place dans la filmographie du réalisateur d'Ennemi d'Etat en faisant l'effet d'un Retour vers le futur sous stéroïdes.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Même la manière de Tony Scott, qui n'en est pas vraiment une, puisqu'il se conforme toujours aux canons publicitaires du moment (...) ne fait pas obstacle à l'émotion naïve qui naît de Déjà vu, film qui dément sans cesse son titre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Quand il met son savoir-faire au service du film, et non l'inverse, le réalisateur de Top Gun reste une des valeurs les plus sures du divertissement hollywoodien. Déjà vu ne prétend pas à autre chose, et s'en acquitte avec une aisance à la limite de l'insolence.
La critique complète est disponible sur le site Première
Denzel Washington y met une tendresse absolument fondante sans cesser d'être un flic constamment sur le coup et un cerveau brillant. Avec lui on fait une virée assez excitante dans l'espace-temps.
(...) ce thriller high-tech à la Philip K. Dick garantit le divertissement. Paradoxalement, si le scénario semble complexe, on ne perd jamais le fil de l'intrigue grâce à la mise en scène au cordeau de Tony Scott.
Une fois digéré le charabia scientifique et la révélation du voyage dans le temps, le long-métrage se révèle très classique (...) Seule la forme " scottienne " entretient le mythe de l'innovation cinématographique (...)
Pourtant, s'il s'appuye pour démarrer sur des données fantastiques et (ou) futuristes, cet habillage ne cache pas grand-chose de vraiment original. Le propos revient peu à peu dans le canevas d'un récit d'aventures prévisibles, dont le suspense s'évente trop vite.
Le flic Denzel Washington ne parle évidemment pas des états d'âme de son pays. Il fait juste son boulot de héros. Mais, derrière ce spectacle qui peut faire un honnête passe-temps, tout l'inconscient américain est au travail.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) Déjà vu porte plutôt bien son nom tant il compile des effets inutiles, un scénario insipide et des acteurs poseurs. Reste - aurait-on rêvé ? - qu'il laisse voir par trop courts moments la capacité qu'aurait Tony Scott de faire un blockbuster de meilleur goût s'il revenait aux bases du cinéma et ravalait son instinct increvable de frimeur de la réalisation...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
[Tony Scott] ne tire hélas que maigrement parti de son excitant concept : le scénario est laborieux (que d`explications avant d`en venir au fait !), et la réalisation chichiteuse de Scott n`arrange rien. Le happy end, révoltant de malhonnêteté, achève de rendre le film déplaisant.
(...) une question se pose : (...) serait-il possible de balancer par "la fenêtre temps" ce mélange inepte de romance à rebours, d'action antiterroriste, d'essai métaphysique, de pamphlet politique, et de l'expédier au fin fond d'un "tunnel temporel" ? Ca serait du super jamais-vu !
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
20 Minutes
Ce polar nerveux s'inscrit en bonne place dans la filmographie du réalisateur d'Ennemi d'Etat en faisant l'effet d'un Retour vers le futur sous stéroïdes.
L'Ecran Fantastique
Un cocktail savoureux dopé par quelques scènes d'action explosives au caractère résolument original.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Même la manière de Tony Scott, qui n'en est pas vraiment une, puisqu'il se conforme toujours aux canons publicitaires du moment (...) ne fait pas obstacle à l'émotion naïve qui naît de Déjà vu, film qui dément sans cesse son titre.
Mad Movies
Déja vu a tout du divertissement euphorisant tel que Jerry Bruckheimer n'en a plus produit depuis un moment.
Première
Quand il met son savoir-faire au service du film, et non l'inverse, le réalisateur de Top Gun reste une des valeurs les plus sures du divertissement hollywoodien. Déjà vu ne prétend pas à autre chose, et s'en acquitte avec une aisance à la limite de l'insolence.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
On ne boude pas son plaisir devant un film de science-fiction, pour peu qu'il nous procure des sensations inédites (...) Joli paradoxe temporel.
L'Humanité
Le paquet est bien ficelé, mais l'esbroufe technique a tendance à éclipser les personnages.
Le Figaroscope
Denzel Washington y met une tendresse absolument fondante sans cesser d'être un flic constamment sur le coup et un cerveau brillant. Avec lui on fait une virée assez excitante dans l'espace-temps.
Le Journal du Dimanche
(...) ce thriller high-tech à la Philip K. Dick garantit le divertissement. Paradoxalement, si le scénario semble complexe, on ne perd jamais le fil de l'intrigue grâce à la mise en scène au cordeau de Tony Scott.
MCinéma.com
Une fois digéré le charabia scientifique et la révélation du voyage dans le temps, le long-métrage se révèle très classique (...) Seule la forme " scottienne " entretient le mythe de l'innovation cinématographique (...)
Ouest France
Pourtant, s'il s'appuye pour démarrer sur des données fantastiques et (ou) futuristes, cet habillage ne cache pas grand-chose de vraiment original. Le propos revient peu à peu dans le canevas d'un récit d'aventures prévisibles, dont le suspense s'évente trop vite.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le flic Denzel Washington ne parle évidemment pas des états d'âme de son pays. Il fait juste son boulot de héros. Mais, derrière ce spectacle qui peut faire un honnête passe-temps, tout l'inconscient américain est au travail.
Cahiers du Cinéma
(...) Déja Vu s'essoufle, fonce en pleine aberration scénaristique (...)
Chronic'art.com
(...) un aperçu mainstream de l'air du temps, une manière d'en saisir toute la dimension crapoteuse et spectaculaire sans jamais se positionner.
Le Parisien
On s'y perd ! Seuls les fondus du genre y trouveront leur plaisir.
Metro
On reste sans voix devant cette histoire tirée par les cheveux. Heureusement, il y a Denzel Washington, impeccable.
Télé 7 Jours
(...) un thriller bancal : nerveux mais creux.
aVoir-aLire.com
(...) Déjà vu porte plutôt bien son nom tant il compile des effets inutiles, un scénario insipide et des acteurs poseurs. Reste - aurait-on rêvé ? - qu'il laisse voir par trop courts moments la capacité qu'aurait Tony Scott de faire un blockbuster de meilleur goût s'il revenait aux bases du cinéma et ravalait son instinct increvable de frimeur de la réalisation...
L'Obs
[Tony Scott] ne tire hélas que maigrement parti de son excitant concept : le scénario est laborieux (que d`explications avant d`en venir au fait !), et la réalisation chichiteuse de Scott n`arrange rien. Le happy end, révoltant de malhonnêteté, achève de rendre le film déplaisant.
Paris Match
(...) une question se pose : (...) serait-il possible de balancer par "la fenêtre temps" ce mélange inepte de romance à rebours, d'action antiterroriste, d'essai métaphysique, de pamphlet politique, et de l'expédier au fin fond d'un "tunnel temporel" ? Ca serait du super jamais-vu !