Note moyenne
4,0
28 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Chronic'art.com
La splendeur graphique, l'aura du témoignage suffisent à remplir le film, voire à sublimer les principes de mise en scène qui le régissent. Grand film.
Ciné Live
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L'Express
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L'Obs
Mémoires de nos pères est un film de guerre, et même un extraordinaire film de guerre.
Le Monde
Mémoires de nos pères rejoint la grande fiction hollywoodienne qui a souvent interrogé les principes fondateurs de l'Amérique et la définition de la démocratie.
Le Point
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Les Inrockuptibles
(...) Monsieur Eastwood nous livre tout simplement un nouveau chef-d'oeuvre.
MCinéma.com
Les scènes de débarquement et autres bombardements sont bluffantes techniquement, mais ce qui fait la vraie valeur du film, c'est sa richesse narrative et émotionnelle.
Mad Movies
(...) Eastwood ramène le débat sur l'exploitation des valeurs américaines à une échelle humaine et sensitive, loin des artifices généralement employés.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télé 7 Jours
Alternant scènes de batailles ultra-réalistes, retour au pays et séquences plus intimistes, il signe une réflexion teintée d'amertume sur l'héroïsme et son exploitation politicienne. (...) Maginifique démonstration (...)
Brazil
Clint Eastwood a réussi son film. Et son plus grand respect va jusqu'au générique final, simple et poignant comme un recueillement sur une tombe.
Cahiers du Cinéma
(...) ce film d'homme, ce film de vieux, ce film de père, donc, trouve là, tout paradoxe accepté, le moteur de sa liberté.
Elle
Si le propos est ici de dénoncer les horreurs de la guerre. Clint Eastwood n'en tire pas moins un bonheur évident à aligner les bateaux, les tanks et les petits soldats sur le gigantesque terrain de jeu qu'il s'est offert.
Fluctuat.net
(...) un film imparfait mais objectivement critique et profondément humain.
L'Humanité
Chef-d'oeuvre . Clint Eastwood a réalisé un film somme sur la guerre, sa représentation et le patriotisme.
Le Figaroscope
Mémoires de nos pères est encore plus poignant d'être inspiré par des personnages réels. Avec eux, l'héroïsme et le patriotisme sont vécus de l'intérieur. Non pas reniés, certes, mais crucifiés.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur s'offre son Soldat Ryan et filme la guerre en sépia, avec un mélange d'esthétisme élègant et de brutalité.
Positif
Eastwood entrelace avec maestria les divers fils de son récit, multipliant les effets de montage aussi déconcertants qu'efficaces (...).
Première
Eastwood s'en sort avec les honneurs, même si l'ambition du film lui joue quelque tours (mineurs) et malgré une tendance à la répétition.
Télérama
(...) Eastwood réussit à faire apercevoir non plus seulement la tragédie du soldat revenu de l'enfer, mais aussi celle de tout survivant.
Libération
Si le film invite à se méfier des messages officiels, il ne dit rien sur le sens historique de cette guerre précise contre un Japon expansionniste et dangereux.
Ouest France
Entre spectacle et émotion, il affirme son propre style et sa propre personnalité pour exposer, un peu longuement, l'effroi, l'absurdité, la sauvagerie d'affrontements sanglants autour de la possession de quelques arpents de terre chargés de symbole.
Paris Match
(...) Clint Eastwood nous livre une fresque pataude et démonstrative, ponctuée de scènes de bataille convenues mais efficaces.
Rolling Stone
Clint Eastwood joue la double et paradoxale carte du spectaculaire et de la démythification du héros dans ce beau film à patine.
aVoir-aLire.com
Eastwood, en vieux briscard, évite les crosses, et marque l'exercice de sa patte, hésitante, pas toujours heureuse mais avec juste ce qu'il faut d'originalité.
Le Parisien
Bref, si l'on ne sombre pas dans l'ennui, on le frôle souvent, ce qui est déja trop.
Télérama
(...) peu de suspense dans les scènes de guerre, interrompues brutalement, peu d'empathie pour des personnages à peine esquissés – et assez mal servis par des interprètes fadasses.