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    Frankenstein
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    Napoléon
    Napoléon

    123 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 janvier 2022
    Une mise en scène et des décors d'une certaine qualité. Après même si le scénario adapté conserve un côté engagé efficace l'histoire manque d'ambition. Pour finir, le film a très mal viellit.
    matt240490
    matt240490

    73 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2013
    Célèbre dans le milieu du septième art pour avoir présenté au monde entier la créature du Docteur Frankenstein, le film de 1931 présente déjà beaucoup de caractéristiques propres au cinéma d'épouvante. La créature, interprétée par un génialissime Boris Karloff, dégage un charisme incomparable, faisant frémir les monstres actuels. A travers l'analyse manichéenne du film, dans lequel le savant jongle entre expériences morbides et quête du bonheur, James Whale use d'une photographie sombre et angoissante, mais se permet d'y incorporer de jolies scènes d'extérieur, où la créature échappe malgré lui à une fin pleine de tendresse. Court dans sa globalité, le métrage n'en reste pas moins fort, notamment pour la mise en scène tragique qui s'y applique (la père traverse le village, sa fille morte dans ses bras, le monstre se retrouve coincé et connaît une fin bouleversante). Tant de bons points qui viennent donner à Frankenstein le statut de classique du cinéma.
    zhurricane
    zhurricane

    72 abonnés 1 336 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 10 mai 2017
    Il n'est même plus besoin de présenter le personnage de Frankenstein que tout le monde connait. L'acteur jouant le rôle du monstre est parfait. Pour le film il faut avouer que c'est lent, bien que certaines scènes sortent du lot, la scène de la création du monstre,comme celle du moulin, ou celle de la rencontre avec la petite fille. J'ai bien aimé que le monstre qu'on nous présente n'est pas celui que l'on croit, mais plutôt spoiler: la population, jolie métaphore sur le racisme au passage
    . Mais après cela, le film est relativement ennuyant.
    cris11
    cris11

    48 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 septembre 2013
    Voici un classique du cinéma d'horreur. Il fait sans aucun doute parti de ces films précurseurs dans un genre. L'idée de montrer une histoire concernant un docteur un brin taré assemblant des morceaux de cadavres afin de donner vie à un monstre était un petit peu osé à l'époque (1931). Il est certain que pour le spectateur d'aujourd'hui, il a vu nettement plus effrayant et il connait sur le bout des doigt l'histoire de la créature de Frankenstein. Il reste cependant, une très belle interprétation de Karloff très poignante et des décors imposant un certain charme à ce cinéma d'une autre époque. Frankenstein est un film à voir, ne serait-ce que pour son statut de classique.
    Julien D
    Julien D

    1 127 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 mai 2013
    Indémodable depuis son succès en 1931, cette première adaptation du roman gothique de Mary Shelley par James Whale, qui en modifia quelque peu la fin, posa, avec le Dracula de Tod Browning sorti la même année, les bases du cinéma fantastiques et confirma la mainmise des studios Universal sur ce genre. Dans la peau de cette créature revenue des morts, et sous les maquillages impressionnants concoctés par le talentueux Jack C. Pierce, l'acteur hongrois Boris Karloff (non-nommé dans le générique d'ouverture) est tout simplement mythique. Des scènes cultes passés dans l’imaginaire collectif et source d’un nombre incalculable de remakes, tel que la naissance de la créature ou sa rencontre avec la petite fille, se déploient avec poésie pour nous offrir une réflexion sur des thèmes devenus aussi des poncifs du genre tels que les limites de la science et la peur de l’inconnu.
    Shephard69
    Shephard69

    291 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 octobre 2018
    Sur une recette basique de savant fou confronté à sa créature, un classique absolu dans le genre du cinéma d'horreur notamment avec cette réplique culte "It's alive". Dans le gotha des monstres mythiques, peut-être celui qui me fascine le moins mais j'ai découvert là une oeuvre qui demeure prenante même si l'ensemble a beaucoup vieilli et ne s'avère que peu effrayant par rapport aux films d'épouvante actuels. Un long-métrage qui vaut avant tout le détour pour le jeu de Boris Karloff impressionnant de charisme. Une référence en la matière.
    dougray
    dougray

    216 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mars 2013
    Première apparition d’un des montres les plus célèbres du 7e art, "Frankenstein" restera sûrement comme le film le plus iconoclaste du jeune studio Universal. Il est, en tout cas, bien plus abouti que son prédécesseur "Dracula" (également sorti en 1931) et sa mise en scène statique. "Frankenstein" ne souffre pas de cette image figée à laquelle le film semblait promis en raison des défauts inhérents à son ancienneté (image en noir et blanc, pas de musique…) et c’est bien grâce à un homme : James Whale dont la réalisation si moderne en surprendra plus d’un. Whale utilise, ainsi, de nombreux travellings et des plans relativement courts pour l’époque qui donnent une fluidité inespérée à son film. Il a également su soigner ses décors et ancrer un univers très particulier dans l’imaginaire collectif avec, entre autres, le laboratoire du savant ou le fameux moulin de la scène finale, qui sont, depuis, indissociables du monstre de Frankenstein. Autre tour de force, Whale a su prendre ses distances avec le roman d’origine de Mary Shelley (un peu trop d’ailleurs puisqu’il fait l’impasse sur de nombreux moments-clés de l’histoire) pour venir greffer à l’intrigue certains élément qui sont devenus des passages quasi-obligés (l’électricité pour ramener le Monstre à la vie, l’assistant bossu…). Mais surtout, la formidable réussite du film (et, dans une certaine mesure, sa modernité aujourd’hui encore) réside incontestablement dans la représentation du Monstre. Le piège aurait été de se contenter de balancer une bête difforme beuglant vaguement et décimant tout sur son passage au grand dam de son créateur aimant. Mais Whale contourne cette difficulté en décrivant le Monstre comme une victime d’un savant fou qui n’assume pas sa création. L’intrigue va donc bien au-delà des postulats habituels des films d’horreur et pose des questions vraiment intéressant sur le sens des responsabilités et sur la frontière entre la Science et l’éthique. Les intentions du réalisateur sont donc parfaitement louables… et se voient transcendées par l’interprétation éblouissante de Boris Karloff. Outre un fantastique maquillage (qui fait référence aujourd’hui encore), Karloff apporte une incroyable humanité à son personnage sans pour autant atténuer la terreur qu’il inspire. Magnifique dans son désespoir et ses peurs (la peur du feu notamment est magnifiquement filmée), le Monstre suscite une empathie quasi-immédiate (il faut voir sa peine lorsqu’il sent abandonné et sa joie simple lorsqu’on s’intéresse à lui), qui n’est même pas égratigné lorsqu’il commet l’impardonnable (la mort de la petite fille est un très grand moment). Mais Karloff n’est pas seul puisqu’il est entouré de l’excellent Colin Clive qui apporte tout son charisme et ses démons intérieurs au personnage du Dr Frankenstein, du classieux Edward Van Sloane en mentor, du terrible Dwight Frye en en serviteur bossu (qui préfigure le futur Igor), de l’amusant Frederic Kerr en aïeul irascible ou encore de la décorative Mae Clarke en future épouse dévouée. Que dire de plus sur ce "Frankenstein", si ce n’est qu’il rebutera, bien évidemment, les récalcitrants aux vieux films et qu’il aurait, peut-être, gagné à se montrer moins abrupte dans sa conclusion. La suite ("La fiancée de Frankenstein") viendra corriger le tir.
    Terreurvision
    Terreurvision

    193 abonnés 505 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 mars 2013
    Malgré ses incohérences et les questions que cela suscite, Frankenstein demeure un classique que le temps à conforté dans son statut d'indétrônable. De par ses thématiques, sa portée historique, mais plus simplement parce qu'il est une vraie réussite artistique. Boris Karloff fascine toujours et semble éternellement associé à ce personnage. Lire notre critique complète sur le site terreurvision.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    141 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 juin 2015
    Un chef d'oeuvre. Une très belle adaptation du roman terrifiant de Mary Shelley. Boris Karloff , la créature est la révélation du film. James Whale réalisera ensuite l'Homme Insivible et la Fiancée de Frankenstein. Colin Clive joue à la perfection le docteur Henry Frankenstein . Mae Clarke interprète son épouse désespérée.
    real-disciple
    real-disciple

    68 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 décembre 2012
    Un grand classiqe du cinéma d'épouvante porté par l'excellent Boris Karloff à la fois sympathique et dangereux. Le décor est réussi et saluons le travail de Jack Pierce au maquillage. Bien que le film perd un peu d'intérêt au milieu, on est face à des plans inoubliables comme lorsque le docteur prépare son expérience dans son chateau isolé, la première fois qu'on voit le monstre ou encore quant il jette la petite fille dans l'eau sans comprendre qu'il la tue (un meurtre d'enfant à cette époque est osé). C'est surement le plus réussi des films de monstre de la Universal et allait entrer dans la légende du studio.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 avril 2014
    Classique du cinéma, Frankenstein de Whale, nous offre un bon film de science fiction qui ne prend pas une ride au fil des années. Peut-on le mettre encore dans la catégorie Epouvante-horreur? J'en doute. Mais l'oeuvre de Whale reste une des oeuvres majeures du genre de SF.
    Après plus de 80ans, Frankenstein charme encore surtout grâce aux bonnes interprétations de Boris Karloff (le monstre) et Colin Clive (Dr. Frankenstein) qui créa à lui seul une réplique culte du 7eme Art. "He's Alive"
    Yohan Marques
    Yohan Marques

    21 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 janvier 2012
    Une réussite spectaculaire orchestrée par le trés british James Whale. Et qui mieux qu'un anglais pour mettre en scène cette adaptation d'un chef d'oeuvre de la littérature européenne ? Difficile aujourd'hui d'imaginer un cinéaste américain à la manoeuvre lorsque l'on voit à quel point Whale, avec sa sensibilité britannique, s'est pleinement investit dans son film : l'élégance de la mise en scène au service du caractère immersif de l'atmosphère qu'il parvient à créer, une maîtrise de la dramaturgie exemplaire qui agira comme un modèle pour tous les fers de lance de la grande période de la "Hammer" et autres Terence Fisher. Si Whale maîtrise la technique, il se montre également virtuose dans la direction d'acteurs : si Boris Karloff impose une carrure imposante et charismatique, le reste du casting est également étonnament juste. Colin Clive joue le savant fou avec nuances, scientifique presque normal dont le dérèglement psychique ne transparait que par intermittences, accentuant le côté inquiétant de son comportement. Finesse des caractères, refus de tout manichéisme facile où le monstre, né de la folie des hommes, est à la fois victime et bourreau... Toute la puissance du film de James Whale est là, qui navigue dans une zone aux contours mal définis où le bien et le mal semblent se confondre. A travers les magnifiques coups d'éclat de ce film à jamais inscrits au panthéon du 7ème art (la naissance de la créature, la noyade de la petite fille, le climax dans le moulin en feu...), Whale a été l'éclaireur d'une terre à défricher : celle de l'ambiguité et de la complexité psychologique dans le cinéma fantastique. Son film est un phare, un pilier, un chef d'oeuvre...
    Acidus
    Acidus

    641 abonnés 3 666 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 octobre 2011
    Monument incontestable du cinéma horrifique, "Frankenstein" m'a néanmoins laissé un avis mitigé. Tout d'abord, je salue l'excellence des acteurs Colin Clive en Dr Frankenstein mais surtout Maitre Boris Karloff qui signe ici le rôle qui l'a rendu célèbre, c'est-à-dire le monstre de Frankenstein. Ensuite, le visuel demeure magnifique malgré les décennies: superbe maquillage, photographie réussite,... Malgré ces qualités, je trouve la seconde partie du film bourrés d'incohérences, la tension et l'ambiance sombre du début tombe trés vite à plat et la dernière scène m'a laissé franchement sur ma faim. La scène du moulin reste toutefois uen scène d'anthologie. A voire tout de même ne serait-ce que pour sa culture cinématographique.
    Ricco92
    Ricco92

    186 abonnés 2 097 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 mars 2014
    Véritable chef-d’œuvre du cinéma fantastique, Frankenstein est le film qui a véritablement défini, plus que Dracula, l'esthétique des films d'horreur Universal des années 30. Celle-ci, très influencée par le cinéma expressionniste allemand et réussissant à l'adapter d'une manière plus "réaliste", arrive à créer une ambiance qui marquera longtemps l'imagerie fantastique.
    Ce magnifique travail de photographie est loin d'être l'unique réussite du film car tout, ici, touche à la perfection : la mise en scène de James Whale (jouant beaucoup sur la verticalité des décors, chose que le format 4/3 des film de l'époque permettait) est exemplaire; le travail sur le son est très élaboré et nous permet complètement d'oublier l'absence de musique (plus que le Dracula de Browning par exemple); les décors sont splendides; le maquilleur Jack Pierce fait une fois de plus des merveilles et signe sa plus célèbre création (80 ans après, les gens voient toujours ce maquillage quand on parle de Frankenstein); enfin, l'interprétation est parfaite et en particulier celle de Boris Karloff, tout juste extraordinaire. Ce dernier arrive effectivement à rendre le monstre touchant par son absence de parole et son innocence, notamment dans la magnifique séquence avec la petite Maria qui reste une des scènes les plus connues de l'histoire du cinéma.
    Toutes ces qualités sont renforcées par un scénario très efficace même si celui-ci risque de faire hurler les puristes du roman. En effet, à l'instar du Dracula de Browning, le film est plus basé sur la pièce de Peggy Webling que sur le roman de Mary Wollstonecraft Shelley. Il ne faut donc pas chercher la fidélité au roman ici car on trouvera plus de différences que de points communs, à commencer par les lieux, les actions, les noms des personnages (Victor Frankenstein devient Henry Frankenstein par exemple), le mutisme du monstre (dans le roman, il était très prolixe) et les motivations de ce dernier (chez Shelley, ses meurtres étaient voulus et motivés par la vengeance; chez Whale, ils sont le fruit d'instinct de survie et d'ignorance)... Le film garde plus l'idée de base du roman que la trame narrative, très différente.
    Juger le film à l'aune de sa fidélité au roman serait donc une gigantesque erreur car elle empêcherait de le voir pour ce qu'il est : un chef-d’œuvre toujours aussi éblouissant et qui marque une date dans l'histoire du cinéma.
    annatar003
    annatar003

    63 abonnés 852 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 septembre 2012
    Qualifier "Frankenstein" de classique serait un euphémisme en comparaison de ce qu'il est réellement et de ce qu'il restera à jamais. Précurseur et très osé pour l'époque, cette première adaptation cinématographique du roman de Mary Shelley pénètre dans les salles obscures des années 30 avec une introduction avertissant les âmes sensibles de passer leur chemin. Se frottant à la religion tout en marchant sur les sciences modernes, le Dr Frankenstein s'embarque dans le défit de sa vie : Créer la vie. Fort par son charisme et son jeu propre, Colin Clive représente l’égo de l'homme dans toute sa folie et ses différentes scènes lui permettent allègrement de développer chacune des facettes de son personnage. Bien que les seconds rôles soient également tous de qualité, on citera les belles performances de Mae Clarke et John Boles, celui qui ressort indubitablement du lot est Boris Karloff. Car sous ses épaisses couches de maquillages se cache un acteur qui est parvenu à donner une entière profondeur au monstre qu'il incarne. Entre tourmente et fureur, en passant par intrigue et destin funeste, la créature découvrira son nouvel environnement avec des pulsions contre lesquelles elle ne peut lutter.
    C'est donc en nous livrant cette expérience horrifique que le diabolique James Whale inscrit son nom dans les légendes de l'horreur. Insufflant une partie de l'âme humaine à son film, le metteur en scène permet à son "Frankenstein" de conquérir le monde tout en bâtissant les premières fondations d'un genre nouveau né.
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