Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Chronic'art.com
par Jean-Sébastien Chauvin
Voici venu le temps est l'une de ses plus belles réussites. Situé au confluent de ses deux moyens métrages (...), Voici venu le temps est l'oeuvre de la maturité, s'affirmant esthétiquement un peu plus que les précédents.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Alors qu'une large part du cinéma contemporain le plus excitant est proche du muet, recherchant l'immersion sensorielle, il est stimulant de voir un jeune cinéaste se démarquer du courant dominant et se réapproprier un cinéma de la parole (...). Stimulant et surtout très beau.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
MCinéma.com
par Marc Kressmann
Dire que Voici venu le temps sort des sentiers battus du cinéma français est une évidence ! Son rapport à la sensualité, sa manière de filmer le corps des hommes sont (...) à part, bien loin du cinéma gay esthétisant. Ses acteurs, dont le prometteur Eric Bougnon, ont aussi un phrasé bien à eux, qui n'est pas sans rappeler Eric Rohmer.
Studio Magazine
par Thomas Baurez
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
Télérama
par Jacques Morice
L'imprévisible est ici chez lui, et derrière chaque buisson on peut tomber nez à nez avec n'importe quoi, anachronismes savoureux - tiens, une prise de téléphone creusée dans la roche ! - ou sexualité décomplexée. Marx, Queneau et Eros main dans la main ou ailleurs ? Ah ! enfin un projet, enfin de l'utopie...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Emmanuel Burdeau
En dépit de belles embuscades en nuit américaine, en dépit d'une scène de fête, les paroles y vibrent davantage que l'action.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Ciné Live
par Grégory Alexandre
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Deux remarquables moyens métrages (...) ont révélé Alain Guiraudie (mais) le passage au long métrage est plus délicat. On y retrouve pourtant les principaux ingrédients de son cinéma - poursuites, distanciation, épure, mise en jeu des rapports sociaux -, mais comme délayés et rebondissant avec de moins en moins d'effet.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Philippe AZOURY
Guiraudie a la force incroyable de faire un cinéma de couleuvre, il nous ferait avaler n'importe quoi. C'est filmé à l'oreille, pour ainsi dire. Qui fait ça en France ? A chaque film, on n'en finit pas de constater son originalité. Avec ce que cela compte d'effort, de bravoure, mais aussi de manque de retours, de ressassements, de délires en solo.
Ouest France
par La Rédaction
Un scénario inénarrable qui déambule dans un temps improbable. De quoi agacer le plus grand nombre mais séduire le club de ses fans. Parce qu'il apporte de la fraîcheur stimulante et dérangeante au conformisme du cinéma ordinaire. Avec, derrière l'humour et la dérision, quelques thèmes qui donnent à réfléchir.
Paris Match
par Christine Haas
Derrière cette échappée vers un ailleurs plein de poésie, il confronte l'idéal et le réel, l'individuel et le collectif, sur un ton faussement désinvolte. A la fois divertissement et réflexion, son film est un fouillis aussi imparfait que sympathique.
Positif
par Adrien Gombeaud
Guiraudie a su créer ses héros, il a négligé les monstres et les sorcières, une goutte de perversion rendrait son étrange décoction vraiment originale.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Sophie Grassin
Guiraudie prend le temps de regarder ce qu'il filme, c'est rare. Pour le reste c'est à vous de voir.
La critique complète est disponible sur le site Première
TéléCinéObs
par Jean-Philippe Guerand
Dans le cinéma d'Alain Guiraudie, les hommes sont virils mais aussi homosexuels. En filigrane, court un message politique assez diffus sur l'utopie. Guiraudie a inventé une sorte d'altercinéma de phalanstère qui sombre parfois dans un ennui incoercible ponctué de jaillissements trop brefs.
Zurban
par Eric Quéméré
(...) Un royaume d'opérette constitue ici le réjouissant miroir de notre société, entre exploitation des masses et aliénations affectives. Certes, le film aurait sans doute gagner à davantage de rigueur, mais le réalisateur y fait montre une nouvelle fois d'une bienfaisante singularité.
L'Express
par Laurence Liban
Voir la critique sur www.lexpress.fr
aVoir-aLire.com
par Romain Le Vern
Sa nouvelle fiction, sorte de téléfilm France 3 Aquitaine très gay sur fond de fantasmes étranges, de symbolisme pataud, de vaudeville campagnard et de déambulations guerrières, ne ressemble qu'à elle-même. Les dialogues, égrillards et obsolètes, psalmodiés par des acteurs sinistres (...) valent à eux seuls le déplacement des plus masos.
Chronic'art.com
Voici venu le temps est l'une de ses plus belles réussites. Situé au confluent de ses deux moyens métrages (...), Voici venu le temps est l'oeuvre de la maturité, s'affirmant esthétiquement un peu plus que les précédents.
Les Inrockuptibles
Alors qu'une large part du cinéma contemporain le plus excitant est proche du muet, recherchant l'immersion sensorielle, il est stimulant de voir un jeune cinéaste se démarquer du courant dominant et se réapproprier un cinéma de la parole (...). Stimulant et surtout très beau.
MCinéma.com
Dire que Voici venu le temps sort des sentiers battus du cinéma français est une évidence ! Son rapport à la sensualité, sa manière de filmer le corps des hommes sont (...) à part, bien loin du cinéma gay esthétisant. Ses acteurs, dont le prometteur Eric Bougnon, ont aussi un phrasé bien à eux, qui n'est pas sans rappeler Eric Rohmer.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
L'imprévisible est ici chez lui, et derrière chaque buisson on peut tomber nez à nez avec n'importe quoi, anachronismes savoureux - tiens, une prise de téléphone creusée dans la roche ! - ou sexualité décomplexée. Marx, Queneau et Eros main dans la main ou ailleurs ? Ah ! enfin un projet, enfin de l'utopie...
Cahiers du Cinéma
En dépit de belles embuscades en nuit américaine, en dépit d'une scène de fête, les paroles y vibrent davantage que l'action.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Deux remarquables moyens métrages (...) ont révélé Alain Guiraudie (mais) le passage au long métrage est plus délicat. On y retrouve pourtant les principaux ingrédients de son cinéma - poursuites, distanciation, épure, mise en jeu des rapports sociaux -, mais comme délayés et rebondissant avec de moins en moins d'effet.
Libération
Guiraudie a la force incroyable de faire un cinéma de couleuvre, il nous ferait avaler n'importe quoi. C'est filmé à l'oreille, pour ainsi dire. Qui fait ça en France ? A chaque film, on n'en finit pas de constater son originalité. Avec ce que cela compte d'effort, de bravoure, mais aussi de manque de retours, de ressassements, de délires en solo.
Ouest France
Un scénario inénarrable qui déambule dans un temps improbable. De quoi agacer le plus grand nombre mais séduire le club de ses fans. Parce qu'il apporte de la fraîcheur stimulante et dérangeante au conformisme du cinéma ordinaire. Avec, derrière l'humour et la dérision, quelques thèmes qui donnent à réfléchir.
Paris Match
Derrière cette échappée vers un ailleurs plein de poésie, il confronte l'idéal et le réel, l'individuel et le collectif, sur un ton faussement désinvolte. A la fois divertissement et réflexion, son film est un fouillis aussi imparfait que sympathique.
Positif
Guiraudie a su créer ses héros, il a négligé les monstres et les sorcières, une goutte de perversion rendrait son étrange décoction vraiment originale.
Première
Guiraudie prend le temps de regarder ce qu'il filme, c'est rare. Pour le reste c'est à vous de voir.
TéléCinéObs
Dans le cinéma d'Alain Guiraudie, les hommes sont virils mais aussi homosexuels. En filigrane, court un message politique assez diffus sur l'utopie. Guiraudie a inventé une sorte d'altercinéma de phalanstère qui sombre parfois dans un ennui incoercible ponctué de jaillissements trop brefs.
Zurban
(...) Un royaume d'opérette constitue ici le réjouissant miroir de notre société, entre exploitation des masses et aliénations affectives. Certes, le film aurait sans doute gagner à davantage de rigueur, mais le réalisateur y fait montre une nouvelle fois d'une bienfaisante singularité.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
aVoir-aLire.com
Sa nouvelle fiction, sorte de téléfilm France 3 Aquitaine très gay sur fond de fantasmes étranges, de symbolisme pataud, de vaudeville campagnard et de déambulations guerrières, ne ressemble qu'à elle-même. Les dialogues, égrillards et obsolètes, psalmodiés par des acteurs sinistres (...) valent à eux seuls le déplacement des plus masos.