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Luuuuuuuuc
10 abonnés
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0,5
Publiée le 13 octobre 2023
« May I kiss you again ? »
Ce dernier volet de la franchise Police Academy est notable à plus d’un titre : alors que les précédents épisodes s’espaçaient d’un an, il s’est écoulé 7 ans entre celui-ci et le sixième et c’est le seul qui propose au casting deux stars, chacun étant un acteur culte dans son registre, Ron Pearlman (dont c’est seulement le 10ème film en 13 ans de carrière) et Christopher Lee, qu’on ne présente plus, tous deux figurant dans des films cultes et de grands classiques, comme dans de nombreux nanars. Comme les épisodes antérieurs, le réalisateur et les scénaristes sont des inconnus en dehors du milieu de la télé et des séries B et hélas condamnés à le rester.
Des personnages attachants qu’on suit depuis le premier opus (1984), il n’en reste que 5 : Larvell Jones/Michael Winslow, Eugene Tackleberry/David Graf, Debbie Callahan/Leslie Easterbrook, Thadeus Harris/G.W. Bailey et le Commandant Eric Lassard/George Gaynes.
Pour le reste, c’est mauvais, rien ne tient, ni l’interprétation exécrable, ni le scénario indigent, ni les gags prévisibles, répétitifs et pas drôles, ni la réalisation nullissime, ni les bruitages dignes d’un dessin animé mal foutu, rien. C’en est presque malaisant pour les acteurs et actrices qui se sont fourvoyé·es dans cette ultime déclinaison des aventures du Commandant Lassard et de ses subordonné·es.
Ça n’est pas seulement débile, c’est carrément débilisant.
Même moi qui aime beaucoup cette série (il en faut bien... quoi je pense) malgré son côté plus nanardesque qu'autre chose je ne vois rien pour la défense de ce film qui ne parvient vraiment plus à masquer son côté cheap malgré l'utilisation de quelques pointures... Désolant, mal foutu et ressemblant plus à une compil de gags rejetés lors de brainstormings de fin de soirées pour les épisodes précédents, ce film est à fuir comme la peste... D'ailleurs si vous avez le choix, prenez la peste ça peut pas être pire
Sorti cinq ans après le précédent opus, soi en 1994, ce septième épisode de la saga "Police Academy", cette fois réalisé par Alan Metter, n'est malheureusement pas terrible. Non pas que j'en sois très surpris ni déçu car je n'ai jamais vraiment été fan de cette saga mais je m'étais dit malgré tout que ce film aurait pu être sur la même lancée que les deux premiers films qui étaient, à mon sens, plutôt bons. Nous retrouvons donc notre bande de célèbres policiers qui doivent cette fois aller en Russie afin de déjouer les plans d'un chef de grand banditisme. Bon, on remarquera que le scénario n'est toujours pas très original et est encore une fois un prétexte aux gags. Le problème, c'est qu'au bout du septième film, les gags s'épuisent et les scènes en deviennent donc un peu longues et ennuyantes, ce qui est assez dommage pour un film d'à peine une heure et demie. Nous avons malgré tout quelques scènes plutôt réussies mais qui ne marquerons pas les esprits et qui feront au maximum juste sourire. En ce qui concerne le casting, nous retrouvons le groupe d'acteurs avec quelques absents et le film se paye ici en plus Ron Perlman (qui n'était cependant à l'époque qu'au début de sa carrière) et Christopher Lee qui jouent assez bien. "Police Academy 7 : Mission à Moscou" n'est pas le plus mauvais de la saga mais ne restera certainement pas marqué dans les annales.
De grands absents et des nouveaux pour ce dernier épisode de la saga des farfelus policiers académiciens avec un peu d’attente à l’accueil pour du renseignement comparé aux précédents années. Les personnages ont beaucoup évolués, de bonne facture et une comédie sérieuse tout en gardant ces recettes qui font son succès. Pas de dépôt de plainte mais une doléance d’intrigue venant de l’homologue policier russe post-soviétique, les élèves de l’académie américaine aux notes d’appréciations passables. Ils n’ont de compte à rendre à d’autre police perfectionniste névrosée caché derrière le code d’honneur en papier, apportant leur soutien pour rechercher « Hellboy », un rôle d’avant en chef mafieux profiteur de l’échec de la pérestroïka et de l’effondrement de l’URSS, la raison du délai dans la file comptoir cinéma. Sa main mise terrorise le monde du jeux vidéo, la décennie 80 florissante sur le marché du trafic d’arcade et plate-forme 2D finit par être achevée, la levée de l’embargo de gameboy contrefait, beaucoup de vilain délit délirant, ça fait sortir des sourires. Des superbes scènes à découvrir sur la culture russe, ce n’est pas seulement l’addiction à la vodka, la nostalgie bolchevique, une fierté nationale et le bel uniforme pour ce métier assurant la sécurité des ces concitoyens. Le spectacle du cirque centenaire avec ces réputés fantastiques gymnastes à l’œuvre d’un exercice complexe, le triple salto funambule sous un tonnerre d’applaudissements, l’imperfection touche ce qui rend humain dans l’humour, tout les corps de métier sont touchés. C’est le pays de l’opéra, du ballet et de la célèbre grande musique classique, des airs et hymnes diffusés, une inspiration culturelle. Les artistes cavaliers Cosaques font leurs acrobaties pour le restant des acteurs qui ont pu participer à cette conclusion formidable, le baiser immortalisé de dirigeant soviétique, une coutume locale sans ambiguïté et apriori. Les premiers de la classe de l’ecole de police ne veut dire systématiquement qu’après sortie directe de la machine à fabriquer du formatage en bons agents transformés, un ordre reçu hiérarchique sinon, ce sera le bâton télescopique du sanctionné. Les comédiens cancres réussissent mieux grâce à leurs imaginations prolifiques, un gage de divertissement, il n’y a pas d’inconvénient à voir une nouvelle approche en stand-by pour d’autre « Police Academy » suivant.
L'idée de départ est sympas mais hélas comme les précédent, c'est un ratage complet. L'idée de départ est sympa. Mettre de l'humour dans la Police.Hélas faut-il avoir un semblant de scénario. La chose qu'on retiendra c'est les affiche et l'Ost
Un début calamiteux ! Il n'y a même pas de cartouche dans la GameBoy ! Quelle faute énorme de montrer l'écran de la console allumé alors qu'il n'y a pas de cartouche ! Mais passé cela, arrivent au casting Ron Perlman et Claire Forlani en plus de l'excellent Christopher Lee ! Autant dire que les moyens sont là. Ce sera pourtant le pire volet qui met un terme (Définitif ?) à la saga. On sentait un coup de vieux chez Harris.
Sans aucun doute possible le pire épisode épisode de la saga aucun n'est droles (si il y'en n'a).Les bruitages a deux balles sont pourris et agacant.A éviter méme vous aimés le reste de la saga
J'ai regardé ce film après avoir vu les épisodes précédents et j'avoue ne pas être surpris par ma déception. Les gags sont du niveau d'une blague d'un gamin de 7 ans. Pour un film comique c'est assez problématique... Et puis il certaines scènes ne sont pas très...crédibles. Je n'en citerais pas pour éviter de spoiler. On est sorti à ce moment là de la guerre froide opposant les américains et les russes depuis belle lurette donc pourquoi est ce que ce film donne une image des russes aussi grotesque et ridicule? L'atout de ce film est qu'il a bien su ne pas être une simple copie de l'épisode précédent mais c'est tout. Si je devais donner une raison de voir ce film ce serait................. Non en fait je vois pas. Ce film n'a aucun intérêt!
Sans aucun doute possible le pire épisode épisode de la saga aucun n'est droles (si il y'en n'a).Les bruitages a deux balles sont pourris et agacant.A éviter méme vous aimés le reste de la saga