Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
Chronic'art.com
par Guillaume Loison
(critique cannoise)(...) musicalité sensuelle des dialogues tout en rondeur poétique, beauté d'un cadre bourgeois cossu, avec feu dans la cheminée et terrasse sur le couchant, plastique irréprochable d'Amira Casar. Rien ne manque, mais l'alchimie de la mise en scène donne un film diablement charnel et suave.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
La critique complète est disponible sur le site Ciné Live
Elle
par Elisabeth Quin
Il y a là un regard sur les personnages et les situations qui ignore le scabreux ou la vulgarité. Merci aux Larrieu pour cette ode drôlissime à la curiosité, au bonheur d'être soi.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Humanité
par Jean Roy
(...) ce film jouit de la plus voluptueuse bande-sonore ouïe depuis des lustres (...) Il y a là une grâce naturelle qui ne doit rien au mot d'auteur dans les dialogues et, encore moins, à des effets de composition interne.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Toute la réussite du film, dénué de la moindre vulgarité, consiste à faire passer pour naturel cet affranchissement des entraves et des contraintes de la morale. Tout y conspire dans la mise en scène, qui semble n'avoir d'autre but que de suggérer l'inéluctabilité de ce doux hédonisme à la façon d'un climat, d'une atmosphère.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Monde
par Jean-Luc Douin
(critique cannoise) (...) le film, une comédie enchantée, est drôle autant que délicat. Il oppose le comique involontaire des dialogues quotidiens à l'émotion authentique que distillent les chansons ou poèmes (...) Le basculement des corps dans l'euphorie sexuelle est à ce point intime, sacré, divin, qu'il constitue un défi de cinéma. Il n'appartient qu'au cinéaste de savoir le rendre beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Film merveille sur le désir, son usure et son retour.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Philippe Azoury
Les frères signent un film tactile et délicat sur deux quinquagénaires en pleine redécouverte charnelle avec leurs voisins. (...) l'improbable de la rencontre de ces comédiens-là avec l'hédonisme ébouriffant des Larrieu est un très beau signe, tombé au bon moment.
Libération
par Philippe Azoury et Didier Péron
(critique cannoise) (...) ce duo solaire (...) a appris à fertiliser le substrat renoirien en un vaste champ lumineux, apaisant, relevant de l'art des coloristes et d'une poétique virgilienne (...) le film produit un effet d'aurore lustrale et nous abandonne une heure et demie plus tard, affolé (...) Sans trop d'illusion, c'est une palme d'or souhaitée.
Télérama
par Frédéric Strauss
(critique cannoise) L'atmosphère est croustillante, mutine et un brin philosophique, comme le titre le suggère peut-être (...) Les Larrieu appliquent magnifiquement ce programme à leur propre cinéma : jamais ficelée, légère et piquante comme un flirt qui peut s'encanailler, leur comédie sentimentale semble s'inventer devant nous, avec une grâce tombée du ciel.
Chronic'art.com
par Jean-Philippe Tessé
Cette histoire est filmée par les Larrieu, c'est-à-dire des cinéastes parmi les plus doués du cinéma français, qu'on admire au moins d'avoir su garder fraîcheur au package vieux chic qu'ils ont volontairement choisi (acteurs à filmo-mammouth, maison de riche, sujet usé).
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
MCinéma.com
par Philippe Descottes
(critique cannoise) (...) le nouveau film des frères Larrieu recèle bien des charmes. Imprévisible dans sa première partie, Peindre ou faire l'amour est à la fois une comédie de moeurs et une ode à la nature où les sens sont perpétuellement mis en éveil. La beauté des images fait écho à celle des somptueux paysages du Vercors.
Première
par Olivier de Bruyn
Au gré d'une fantaisie douce et sereine, les Larrieu scrutent le couple et son utopie dans tous ses états. Singulier et universel, assurément.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Magazine
par Michel Rebichon
Voir la critique sur www.studiomag.com
La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine
The Hollywood Reporter
par Ray Bennett
(critique cannoise) Une oeuvre farfelue et d'une grande beauté plastique autour d'un couple marié de longue date qui découvre les joies de l'échangisme. Que la femme, Madeleine, soit interprétée par la belle et élégante Sabine Azéma et le mari, William, par le séduisant homme mûr qu'est Daniel Auteuil, aide beaucoup.
TéléCinéObs
par Alain Riou
(...) Peindre ou faire l'amour a choqué une partie du Festival de Cannes (...) Raison de plus, à mes yeux, pour adorer cette apologie de l'échangisme, où brillent Azéma, Auteuil et un Lopez aveugle pénétrant, et qui part, littéralement, dans tous les sens, tout en livrant une subtile réflexion sur l'union libre, entre libertinage et liberté.
Télérama
par François Gorin
[POUR] Cette fluidité, dérangeante et harmonieuse à la fois, joue sans jamais trancher des ombres et des lumières, de l'apollinien comme du dionysiaque - et ça ne s'improvise pas. C'est du travail, du beau, où il entre à parts égales malice, courage et douceur.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Variety
par Todd McCarthy
(critique cannoise) Les acteurs, de différentes génératIons, sont très bien choisis, et la réalisation limpide permet d'apprécier les décors bucoliques. Les chansons (...) offrent un contrepoint ironique.
Zurban
par Charlotte Lipinska
Avec ce titre singulier aux airs de promesses, le film des frères Larrieu surprend. (...) Le style a beau être superbe, certains risquent toutefois de ne pas le voir en peinture.
Cahiers du Cinéma
par François Bégaudeau
Soit les Larrieu se désolidarisent là de leurs personnages, les peignant incapables de sauts romanesques (...) Soit s'énonce le dépit de n'avoir pu donner à ce projet théoriquement ambitieux un horizon autre que celui du film de moeurs à la française (...) Aveu de faiblesse pas inélégant, mais le film n'est qu'à moitié (la première) pardonné.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Fluctuat.net
par Anne-Laure Bell
Une fois lancés dans le vif du sujet, après être passés par l'introduction pesante, les Larrieu deviennent justes, précis et limpides. Et là réside la beauté du film.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
par La rédaction
Comédie faussement provocatrice. (...) Mais on accordera aux deux réalisateurs de travailler leur tableau dans la recherche d'une mise en scène qui sait s'habiller d'élégance et de subtilité.
Paris Match
par Alain Spira
L'hédonisme béat qui enveloppe cette fable échangiste lui donne un charme discret, renforcé par le jeu au second degré des acteurs. Interprété par des comédiens moins célèbres, ce film coquin aurait sans doute gagné en crédibilité.
Brazil
par Caroline Vié
Cette histoire de citadins qui découvrent que le bonheur est dans le pré et dans l'échangisme ne donne envie de prendre en main ni un vit, ni un pinceau. Ennuyeux, n'est-il pas ? Il est !
L'Humanité
par Dominique Widemann
(critique cannoise)-[Dans Un homme, un vrai], les montagnes qu'ils filment si bien ne perdaient rien de leur intensité dans les décalages et les fausses maladresses. On peut apprécier les références picturales et musicales qui ponctuent les odes à l'amour que chacun peut lancer. Mais le tableau de cette noce chez les petits-bourgeois sent le conservateur.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
(...) En fait, le film brasse un peu tout (...), il mélange, touille, tambouille, lance tout ça en l'air et attend que ça retombe. Ça retombe en effet, comme une crêpe molle (...) Alors, peindre, faire l'amour, peindre l'amour en train de se faire, ne plus voir l'amour en peinture, aller se faire peindre ailleurs, c'est vous qui voyez.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Pierre Murat
[CONTRE] Des réalisateurs pas suffisamment brillants, en tout cas, pour manier le charme et l'insolence. Sur ce sujet plutôt plaisant et tendre, qu'ils sont donc sages, appliqués, apprêtés, prudents ! C'est leur académisme propret qui, pour l'instant, les tire vers l'insignifiance.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Catherine Le Ferrand
Un sujet périlleux qui ne parvient pas à décoller du cliché et entraîne dans son sillage des comédiens au bord du dilettantisme.
Chronic'art.com
(critique cannoise)(...) musicalité sensuelle des dialogues tout en rondeur poétique, beauté d'un cadre bourgeois cossu, avec feu dans la cheminée et terrasse sur le couchant, plastique irréprochable d'Amira Casar. Rien ne manque, mais l'alchimie de la mise en scène donne un film diablement charnel et suave.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Il y a là un regard sur les personnages et les situations qui ignore le scabreux ou la vulgarité. Merci aux Larrieu pour cette ode drôlissime à la curiosité, au bonheur d'être soi.
L'Humanité
(...) ce film jouit de la plus voluptueuse bande-sonore ouïe depuis des lustres (...) Il y a là une grâce naturelle qui ne doit rien au mot d'auteur dans les dialogues et, encore moins, à des effets de composition interne.
Le Monde
Toute la réussite du film, dénué de la moindre vulgarité, consiste à faire passer pour naturel cet affranchissement des entraves et des contraintes de la morale. Tout y conspire dans la mise en scène, qui semble n'avoir d'autre but que de suggérer l'inéluctabilité de ce doux hédonisme à la façon d'un climat, d'une atmosphère.
Le Monde
(critique cannoise) (...) le film, une comédie enchantée, est drôle autant que délicat. Il oppose le comique involontaire des dialogues quotidiens à l'émotion authentique que distillent les chansons ou poèmes (...) Le basculement des corps dans l'euphorie sexuelle est à ce point intime, sacré, divin, qu'il constitue un défi de cinéma. Il n'appartient qu'au cinéaste de savoir le rendre beau.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Film merveille sur le désir, son usure et son retour.
Libération
Les frères signent un film tactile et délicat sur deux quinquagénaires en pleine redécouverte charnelle avec leurs voisins. (...) l'improbable de la rencontre de ces comédiens-là avec l'hédonisme ébouriffant des Larrieu est un très beau signe, tombé au bon moment.
Libération
(critique cannoise) (...) ce duo solaire (...) a appris à fertiliser le substrat renoirien en un vaste champ lumineux, apaisant, relevant de l'art des coloristes et d'une poétique virgilienne (...) le film produit un effet d'aurore lustrale et nous abandonne une heure et demie plus tard, affolé (...) Sans trop d'illusion, c'est une palme d'or souhaitée.
Télérama
(critique cannoise) L'atmosphère est croustillante, mutine et un brin philosophique, comme le titre le suggère peut-être (...) Les Larrieu appliquent magnifiquement ce programme à leur propre cinéma : jamais ficelée, légère et piquante comme un flirt qui peut s'encanailler, leur comédie sentimentale semble s'inventer devant nous, avec une grâce tombée du ciel.
Chronic'art.com
Cette histoire est filmée par les Larrieu, c'est-à-dire des cinéastes parmi les plus doués du cinéma français, qu'on admire au moins d'avoir su garder fraîcheur au package vieux chic qu'ils ont volontairement choisi (acteurs à filmo-mammouth, maison de riche, sujet usé).
MCinéma.com
(critique cannoise) (...) le nouveau film des frères Larrieu recèle bien des charmes. Imprévisible dans sa première partie, Peindre ou faire l'amour est à la fois une comédie de moeurs et une ode à la nature où les sens sont perpétuellement mis en éveil. La beauté des images fait écho à celle des somptueux paysages du Vercors.
Première
Au gré d'une fantaisie douce et sereine, les Larrieu scrutent le couple et son utopie dans tous ses états. Singulier et universel, assurément.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
The Hollywood Reporter
(critique cannoise) Une oeuvre farfelue et d'une grande beauté plastique autour d'un couple marié de longue date qui découvre les joies de l'échangisme. Que la femme, Madeleine, soit interprétée par la belle et élégante Sabine Azéma et le mari, William, par le séduisant homme mûr qu'est Daniel Auteuil, aide beaucoup.
TéléCinéObs
(...) Peindre ou faire l'amour a choqué une partie du Festival de Cannes (...) Raison de plus, à mes yeux, pour adorer cette apologie de l'échangisme, où brillent Azéma, Auteuil et un Lopez aveugle pénétrant, et qui part, littéralement, dans tous les sens, tout en livrant une subtile réflexion sur l'union libre, entre libertinage et liberté.
Télérama
[POUR] Cette fluidité, dérangeante et harmonieuse à la fois, joue sans jamais trancher des ombres et des lumières, de l'apollinien comme du dionysiaque - et ça ne s'improvise pas. C'est du travail, du beau, où il entre à parts égales malice, courage et douceur.
Variety
(critique cannoise) Les acteurs, de différentes génératIons, sont très bien choisis, et la réalisation limpide permet d'apprécier les décors bucoliques. Les chansons (...) offrent un contrepoint ironique.
Zurban
Avec ce titre singulier aux airs de promesses, le film des frères Larrieu surprend. (...) Le style a beau être superbe, certains risquent toutefois de ne pas le voir en peinture.
Cahiers du Cinéma
Soit les Larrieu se désolidarisent là de leurs personnages, les peignant incapables de sauts romanesques (...) Soit s'énonce le dépit de n'avoir pu donner à ce projet théoriquement ambitieux un horizon autre que celui du film de moeurs à la française (...) Aveu de faiblesse pas inélégant, mais le film n'est qu'à moitié (la première) pardonné.
Fluctuat.net
Une fois lancés dans le vif du sujet, après être passés par l'introduction pesante, les Larrieu deviennent justes, précis et limpides. Et là réside la beauté du film.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Ouest France
Comédie faussement provocatrice. (...) Mais on accordera aux deux réalisateurs de travailler leur tableau dans la recherche d'une mise en scène qui sait s'habiller d'élégance et de subtilité.
Paris Match
L'hédonisme béat qui enveloppe cette fable échangiste lui donne un charme discret, renforcé par le jeu au second degré des acteurs. Interprété par des comédiens moins célèbres, ce film coquin aurait sans doute gagné en crédibilité.
Brazil
Cette histoire de citadins qui découvrent que le bonheur est dans le pré et dans l'échangisme ne donne envie de prendre en main ni un vit, ni un pinceau. Ennuyeux, n'est-il pas ? Il est !
L'Humanité
(critique cannoise)-[Dans Un homme, un vrai], les montagnes qu'ils filment si bien ne perdaient rien de leur intensité dans les décalages et les fausses maladresses. On peut apprécier les références picturales et musicales qui ponctuent les odes à l'amour que chacun peut lancer. Mais le tableau de cette noce chez les petits-bourgeois sent le conservateur.
L'Obs
(...) En fait, le film brasse un peu tout (...), il mélange, touille, tambouille, lance tout ça en l'air et attend que ça retombe. Ça retombe en effet, comme une crêpe molle (...) Alors, peindre, faire l'amour, peindre l'amour en train de se faire, ne plus voir l'amour en peinture, aller se faire peindre ailleurs, c'est vous qui voyez.
Le Figaro
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Télérama
[CONTRE] Des réalisateurs pas suffisamment brillants, en tout cas, pour manier le charme et l'insolence. Sur ce sujet plutôt plaisant et tendre, qu'ils sont donc sages, appliqués, apprêtés, prudents ! C'est leur académisme propret qui, pour l'instant, les tire vers l'insignifiance.
aVoir-aLire.com
Un sujet périlleux qui ne parvient pas à décoller du cliché et entraîne dans son sillage des comédiens au bord du dilettantisme.