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Clairement inspirée par le néoréalisme italien de l'après-guerre (un extrait du "Voleur de bicyclette" en fait foi), mais à distance raisonnable de toute condescendance ou sensiblerie, la réalisatrice pose un regard à la fois tendre et lucide sur une réalité misérable. (...) c'est un sentiment optimiste (singulièrement "léger" par moments) qui prévaut jusqu'à la conclusion pourtant pas folichonne.
Encore un film iranien dépressif et chiant ? Partez pas : "Chiens égarés" évite le misérabilisme pour un onirisme entêtant et décrit la balade surréaliste, proche du fantastique, de deux enfants abandonnés (...)
La critique complète est disponible sur le site Première
La mise en scène, souvent fade et hésitante, peine à faire vibrer autour des personnages, même de manière suggestive, un réel encore brûlant. Elle ne s'avère intéressante que lorsqu'elle ouvre son champ et capte, surgissant dans un étrange mirage, une marée humaine organisant des combats de chiens.
Entre la violence des combats de chiens et la douceur des paysages enneigés, l'errance des personnages se poursuit dans un monde halluciné et proche du fantastique.
La construction de l'intrigue a la rigueur d'une démonstration (...). Seule ombre au tableau (noir) : la tentation permanente de la mise ne scène d'embellir la misère dans la joliesse des images (voir la travail sur les éclairages).
La critique complète est disponible sur le site Positif
Porté par Gol-Ghotai, fillette au visage intense, le récit hésite entre douleur brute et symboles pesants (...) Mais ce penchant pour l'explication de texte tire-larmes est heureusement compensé par un finale suspendu, sobrement poignant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Peinture sans concession d'un Afghanistan gangrené par la misère et encore marqué par les Talibans, le film tire sa force d'un récit tendu, même si la noirceur peut rebuter.
L'Afghan Marziyeh Meshkini n'est pas le premier à dénoncer l'absurdité de la guerre et la cruauté décérébrée du régime des mollahs. Il n'est pas le premier à exploiter le filon attendrissant de l'enfance pour camoufler la vacuité de son propos. Il a inclus dans son film un long extrait du Voleur de bicyclette de Vittorio De Sica, dont la pureté de mise en scène contraste cruellement avec le reste.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
La réalisation et le montage, désespérément figés, apparaissent comme un réel manque de savoir-faire et empêchent de se passionner pour la quête des deux enfants. Pire, la cinéaste ne semble jamais apporter un véritable regard d'auteur sur son histoire : la situation afghane, la condition et les droits de l'enfant (et de la femme) ou la misère des pays en développement ne sont jamais abordés, si ce n'est superficiellement.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaroscope
Un film déchirant en forme de cri, où l'ombre des talibans rôde toujours dans les décombres ; où les enfants orphelins ne peuvent que voler ou mourir.
Libération
Clairement inspirée par le néoréalisme italien de l'après-guerre (un extrait du "Voleur de bicyclette" en fait foi), mais à distance raisonnable de toute condescendance ou sensiblerie, la réalisatrice pose un regard à la fois tendre et lucide sur une réalité misérable. (...) c'est un sentiment optimiste (singulièrement "léger" par moments) qui prévaut jusqu'à la conclusion pourtant pas folichonne.
Première
Encore un film iranien dépressif et chiant ? Partez pas : "Chiens égarés" évite le misérabilisme pour un onirisme entêtant et décrit la balade surréaliste, proche du fantastique, de deux enfants abandonnés (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
La mise en scène, souvent fade et hésitante, peine à faire vibrer autour des personnages, même de manière suggestive, un réel encore brûlant. Elle ne s'avère intéressante que lorsqu'elle ouvre son champ et capte, surgissant dans un étrange mirage, une marée humaine organisant des combats de chiens.
Paris Match
Entre la violence des combats de chiens et la douceur des paysages enneigés, l'errance des personnages se poursuit dans un monde halluciné et proche du fantastique.
Positif
La construction de l'intrigue a la rigueur d'une démonstration (...). Seule ombre au tableau (noir) : la tentation permanente de la mise ne scène d'embellir la misère dans la joliesse des images (voir la travail sur les éclairages).
TéléCinéObs
C'est dans la deuxième partie, celle des vols, (...) que le film convainc vraiment.
Télérama
Porté par Gol-Ghotai, fillette au visage intense, le récit hésite entre douleur brute et symboles pesants (...) Mais ce penchant pour l'explication de texte tire-larmes est heureusement compensé par un finale suspendu, sobrement poignant.
Zurban
Peinture sans concession d'un Afghanistan gangrené par la misère et encore marqué par les Talibans, le film tire sa force d'un récit tendu, même si la noirceur peut rebuter.
Le Monde
L'Afghan Marziyeh Meshkini n'est pas le premier à dénoncer l'absurdité de la guerre et la cruauté décérébrée du régime des mollahs. Il n'est pas le premier à exploiter le filon attendrissant de l'enfance pour camoufler la vacuité de son propos. Il a inclus dans son film un long extrait du Voleur de bicyclette de Vittorio De Sica, dont la pureté de mise en scène contraste cruellement avec le reste.
MCinéma.com
La réalisation et le montage, désespérément figés, apparaissent comme un réel manque de savoir-faire et empêchent de se passionner pour la quête des deux enfants. Pire, la cinéaste ne semble jamais apporter un véritable regard d'auteur sur son histoire : la situation afghane, la condition et les droits de l'enfant (et de la femme) ou la misère des pays en développement ne sont jamais abordés, si ce n'est superficiellement.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com