Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Et si [Caton Jones] force parfois le trait de son héroïne, accumule les indices et les fausses pistes, charge l'intrigue, il y met une pincée d'humour, ce qui nous permet de mieux avaler cette histoire très tordue.
Vu comme un jeu sur les codes du film noir, en particulier les manipulations d'une femme fatale que Sharon Stone dote de tous ses charmes troubles (...), le film n'est pas désagréable à voir.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Sur un scénario moins ciselé, voire carrément bâclé dans son dénouement, le film reprend une musique, des costumes, des décors extravagants, un humour directement issus de l'original.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Finalement, dans ce fatras d'incohérences et de scènes érotico-"basic", réalisé par Michael Caton-Jones, il ne reste que Sharon. Elle ne manque pas d'audace, à défaut d'avoir fait le bon choix.
"Basic Instinct 2" ressemble à la déclinaison cinématographique de l'axiome marxiste selon lequel l'histoire se répète sous forme de mauvaise farce. Fabriqué à ce point d'artificialité et de manque d'inspiration, le salace, ça lasse.
[Un] spectacle navrant, écrit à quatre mains (...) et donc doublement imbécile, est orchestré par un Michael Caton-Jones aussi impersonnel qu'incapable de traverser l'épaisse couche de glamour de son interprète principal.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Recette de "Basic Instinct 2". Prendre le thriller sans culotte d'origine. En extraire l'outrance subversive de Paul Verhoeven. (...) Remplacer la lèvre pincée de l'Américain Michael Douglas par le regard éteint de l'Anglais David Morrisey. (...) Laisser agir. Et encaisser la monnaie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Quatorze ans après le fascinant thriller érotique de Paul Verhoeven, la divine Sharon revient dans une suite aberrante d'inutilité et de médiocrité. A new navet is born.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Le Figaroscope
Et si [Caton Jones] force parfois le trait de son héroïne, accumule les indices et les fausses pistes, charge l'intrigue, il y met une pincée d'humour, ce qui nous permet de mieux avaler cette histoire très tordue.
Le Monde
Vu comme un jeu sur les codes du film noir, en particulier les manipulations d'une femme fatale que Sharon Stone dote de tous ses charmes troubles (...), le film n'est pas désagréable à voir.
Positif
Sur un scénario moins ciselé, voire carrément bâclé dans son dénouement, le film reprend une musique, des costumes, des décors extravagants, un humour directement issus de l'original.
Chronic'art.com
Tout ce qui était à couper le souffle hier est devenu asthmatique aujourd'hui.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Elle
Au lieu d'être un film de serial killer, ce film est un spectateur killer !
Le Journal du Dimanche
Finalement, dans ce fatras d'incohérences et de scènes érotico-"basic", réalisé par Michael Caton-Jones, il ne reste que Sharon. Elle ne manque pas d'audace, à défaut d'avoir fait le bon choix.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Ouest France
Du thriller pointu on passe ici au suspense psychologique, mais sur une intrigue qui ne tient pas la route de ses prétentions.
Télé 7 Jours
Mise en scène sans génie, cette suite fait pâle figure en comparaison avec l'original.
TéléCinéObs
Franchement, la seule raison de voir "Basic Instinct 2", c'est Sharon Stone qui, à 48 ans, est sublime.
Télérama
(...) une suite involontairement (?) kitsch, qui part dans tous les sens.
Cahiers du Cinéma
Jadis à tomber, Sharon Stone succombe à une vulgarité évocatrice de la Française Régine.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Parisien
"Basic Instinct 2" (...) est une collection de clichés qui s'achève sur un dénouement grotesque.
Les Inrockuptibles
"Basic Instinct 2" ressemble à la déclinaison cinématographique de l'axiome marxiste selon lequel l'histoire se répète sous forme de mauvaise farce. Fabriqué à ce point d'artificialité et de manque d'inspiration, le salace, ça lasse.
Libération
Intégralement dépourvu d'âme, de sève, d'idées (...).
MCinéma.com
Grossière resucée du premier volet, la tension en moins, ce deuxième opus est aussi excitant qu'un épisode d'"Hollywood Night".
Mad Movies
Pire qu'un mauvais film, "Basic Instinct 2" est un sale produit mercantile et ne s'en cache même pas ... Remboursez !
Paris Match
[Un] spectacle navrant, écrit à quatre mains (...) et donc doublement imbécile, est orchestré par un Michael Caton-Jones aussi impersonnel qu'incapable de traverser l'épaisse couche de glamour de son interprète principal.
Première
Recette de "Basic Instinct 2". Prendre le thriller sans culotte d'origine. En extraire l'outrance subversive de Paul Verhoeven. (...) Remplacer la lèvre pincée de l'Américain Michael Douglas par le regard éteint de l'Anglais David Morrisey. (...) Laisser agir. Et encaisser la monnaie.
Zurban
(...) la nouvelle équipe plombe l'ensemble déjà noyé dans une esthétique porno chic qui parviendra, au mieux, à émoustiller les adolescents.
aVoir-aLire.com
Quatorze ans après le fascinant thriller érotique de Paul Verhoeven, la divine Sharon revient dans une suite aberrante d'inutilité et de médiocrité. A new navet is born.