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Fincher en a fait un grand film de presque 3 heures, majestueux et baroque, assez vaste pour que coexistent les audaces numériques les plus folles et les plus désuets des rêves du cinéma muet, assez intime pour accueillir une histoire d'amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film de David Fincher est tout simplement un chef-d'oeuvre (...) Visuellement époustouflant, le film nous transporte dans une histoire d'amour sublime (...) Cate Blanchett est d'une grâce folle et Brad Pitt est (...) au sommet de son art.
La critique complète est disponible sur le site Metro
(...) Entre temps forts -plutôt la première moitié- et temps faibles -qui dominent la seconde (...), [une] réussite inégale. (...) [Fincher] a eu le mérite de réaliser un film qui sait et fait son âge.
(...) Fable romanesque foisonnante, souvent drôle, superbement photographiée, servie par l'interprétation magistrale de Brad Pitt et de Cate Blanchett (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
(...) Au-delà de l'idéologie affichée et donc apparente du film, assez mièvre, sur l'utilité de toute vie humaine, ce sont les méandres et les voies tourmentées de l'amour que décrit Fincher. (...)
Fincher, qui est tout sauf sentimental, réussit à émouvoir au moment où l'on ne s'y attend pas (...) C'est aussi avec une virtuosité discrète qu'il réalise sur ses interprètes des effets de rajeunissement et de vieillissement indétectables (...) Une performance pour résumer toute une vie.
La critique complète est disponible sur le site Première
Tout est suffisamment consensuel pour séduire un large public et c'est un peu le problème du film qui s'il ne manque pas de moments brillants, reste trop policé et manque de caractère.
La critique complète est disponible sur le site Dvdrama
(...) Fincher semble moins soucieux de traiter june histoire sur la différence et la solitude, que submergé par son désir obsédant d'images. De fait, sa photo est superbe. Mais il dilue trop son intrigue.
La critique complète est disponible sur le site Télé 7 Jours
Le projet laissait espérer, de la part de Fincher, une sorte d'odyssée mallarméenne et cosmique (...) : il s'apparente au final à une sorte de démonstration toute contrite de frigidité dont la tristesse et la mélancolie, elles-mêmes, s'imbriquent dans le strict organigramme de performance et de reconstitution dont le film fait sa prison de rides. Artificiel et tristounet.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
(...) Fincher signe ici une fresque ouatée et consensuelle qui, pendant près de trois heures, avance tel un paquebot sépia avec la torpeur d'un bulot (...) Un cauchemar de scénario, aggravé par l'utilisation de la voix off (...) comme un guide hasardeux d'un récit invertébré et sans émotions.
L'Express
Voir le site www.lexpress.fr
L'Obs
(...) Pour une fois, les effets spéciaux ne s'appliquent pas aux explosions, mais à la douce chair du temps. (...)
Le Figaroscope
L'Étrange Histoire de Benjamin Button risque certainement d'entrer dans le club très prisé des " classiques instantanés " du cinéma.
Le Monde
Fincher en a fait un grand film de presque 3 heures, majestueux et baroque, assez vaste pour que coexistent les audaces numériques les plus folles et les plus désuets des rêves du cinéma muet, assez intime pour accueillir une histoire d'amour.
Le Point
Voir le site www.lepoint.fr
Metro
Le film de David Fincher est tout simplement un chef-d'oeuvre (...) Visuellement époustouflant, le film nous transporte dans une histoire d'amour sublime (...) Cate Blanchett est d'une grâce folle et Brad Pitt est (...) au sommet de son art.
Ouest France
Un grand mélodrame flamboyant, dans la plus pure tradition hollywoodienne, mais avec des moyens et des techniques d'aujourd'hui.
Positif
L'Etrange histoire de Benjamin Button est un beau film romanesque en même temps qu'une trace idéologique inattendue et précieuse.
Studio Ciné Live
voir le magazine StudioCinéLive de février 2009
20 Minutes
(...) Fincher (...) révèle une âme tendre avec ce conte merveilleux.
Cahiers du Cinéma
(...) Entre temps forts -plutôt la première moitié- et temps faibles -qui dominent la seconde (...), [une] réussite inégale. (...) [Fincher] a eu le mérite de réaliser un film qui sait et fait son âge.
Elle
(...) Plus qu'une épopée dans le temps, un voyage passionnant au coeur des sentiments.
Le Journal du Dimanche
(...) Un film brillamment réalisé. (...)
Le Parisien
(...) Fable romanesque foisonnante, souvent drôle, superbement photographiée, servie par l'interprétation magistrale de Brad Pitt et de Cate Blanchett (...).
Les Inrockuptibles
(...) Au-delà de l'idéologie affichée et donc apparente du film, assez mièvre, sur l'utilité de toute vie humaine, ce sont les méandres et les voies tourmentées de l'amour que décrit Fincher. (...)
Mad Movies
(...) Meilleur film de David Fincher depuis Seven.
Première
Fincher, qui est tout sauf sentimental, réussit à émouvoir au moment où l'on ne s'y attend pas (...) C'est aussi avec une virtuosité discrète qu'il réalise sur ses interprètes des effets de rajeunissement et de vieillissement indétectables (...) Une performance pour résumer toute une vie.
Télérama
(...) voilà comment un blockbuster high-tech réussit à faire jaillir, tel un grand mélodrame, la mélancolie déchirante des adieux.
Dvdrama
Tout est suffisamment consensuel pour séduire un large public et c'est un peu le problème du film qui s'il ne manque pas de moments brillants, reste trop policé et manque de caractère.
La Croix
Une puissance tragique, un récit parfaitement original (...)
Libération
(...) Pas déplaisant, mais byzarrement ennuyeux.
Télé 7 Jours
(...) Fincher semble moins soucieux de traiter june histoire sur la différence et la solitude, que submergé par son désir obsédant d'images. De fait, sa photo est superbe. Mais il dilue trop son intrigue.
TéléCinéObs
(...) Un film un peu long, un peu empesé, mais assez fascinant (...).
Chronic'art.com
Le projet laissait espérer, de la part de Fincher, une sorte d'odyssée mallarméenne et cosmique (...) : il s'apparente au final à une sorte de démonstration toute contrite de frigidité dont la tristesse et la mélancolie, elles-mêmes, s'imbriquent dans le strict organigramme de performance et de reconstitution dont le film fait sa prison de rides. Artificiel et tristounet.
Marianne
Dévoré par les effets spécieux que spéciaux, Benjamin Button a retrouvé la jeunesse mais perdu son âme.
Charlie Hebdo
(...) Fincher signe ici une fresque ouatée et consensuelle qui, pendant près de trois heures, avance tel un paquebot sépia avec la torpeur d'un bulot (...) Un cauchemar de scénario, aggravé par l'utilisation de la voix off (...) comme un guide hasardeux d'un récit invertébré et sans émotions.