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    L’aveu
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    54 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 juillet 2012
    Un film comme on aimerait en voir plus souvent. Au delà de l'histoire vraie, "L'Aveu" est un film psychologique. Le spectateur ressent à quel le personnage central souffre, dans un monde totalement déshumanisé. Seul contre tous, le personnage va s'accrocher à l'espoir et ne jamais céder. C'est aussi une leçon à retenir. Costa Gavras signe sûrement son meilleur film.
    Akamaru
    Akamaru

    2 833 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Constantin Costa-Gavras a bâti sa réputation sur ses drames politiques rigoureux,en particulier "Z" et "L'Aveu".Ce dernier permettait à Yves Montand,à la fois de se crédibiliser en tant qu'acteur,et de faire partager ses anciennes convictions communistes.Pour le rôle,il a considérablement maigri,s'est laisser pousser la barbe.Il faut dire qu'il interprète un vice-ministre des affaires étrangères de Tchécoslovaquie,arrêté par le Parti,torturé et condamné pour des crimes qu'il n'a pas commis.On lui reproche ses liens avec l'Ouest,mais il n'a jamais trahi les siens.Les purges staliniennes des années 50,mettent en exergue la perte des libertés individuelles,l'auto-destruction du communisme et l'ineptie d'un système bureaucratique truqué.En somme,ce que dénonce Costa-Gavras avec force,c'est le côté malsain de tous les totalitarismes.Beaucoup de remous à la sortie du film en 1970.Film qui en soi n'est pas très captivant.Les conditions de vie des prisonniers ne sont certes pas glorieuses,mais la répétitivité des privations,des pressions et des gardes qui aboient n'était pas nécessaire.La mise en scène va trop loin dans la sobriété et l'austérité.On finit par lâcher prise,alors que le but de départ était de révolter.
    brianpatrick
    brianpatrick

    72 abonnés 1 545 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 février 2012
    C'est un long récit historique, les aveux sous la torture d'un homme dans une prison soviétique.
    DAVID MOREAU
    DAVID MOREAU

    109 abonnés 2 183 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 octobre 2013
    RAPT. "Marchez", ah bravo pour un film sur le communisme....Trêve de plaisanterie car Costa Gavras ne plaisante pas avec la politique. Mais voila que je me suis retrouvé comme le prisonnier, seul, isolé, triste, j'ai même perdu du poids au bout de 2H20.
    AMCHI
    AMCHI

    5 136 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 octobre 2013
    Partant d'un sujet passionnant et important de montrer à l'écran surtout à l'époque ou fut tourné le film d'ailleurs Montant participa à L'Aveu après sa désillusion sur le communisme mais malgré son sujet qui m'a réellement intéressé je dois avouer que le film m'a tout de même déçu. L'Aveu manque d'une mise en scène percutante, l'ensemble dégage peu de puissance, ne joue pas assez sur les émotions du spectateur, L'Aveu est souvent trop sobre et n'a pas eu l'effet coup de poing escompté de plus quelques longueurs se font ressentir. Reste quelques séquences dures qui nous laissent apercevoir les dérives d'un Etat ayant un parti unique et omnipotent au pouvoir, sa déshumanisation et comment on peut parvenir à détruire un homme. L'Aveu est un film important mais essentiellement pour son fond car la forme laisse de marbre.
    Ti Nou
    Ti Nou

    421 abonnés 3 387 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 janvier 2019
    Costa-Gavras signe avec "L’aveu" un film éprouvant sur des tortures menées par le parti communiste en Tchécoslovaquie. La sobriété n’empêche pas à la paranoïa d’envahir le récit. Un film politique pessimiste.
    ClashDoherty
    ClashDoherty

    212 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2007
    Absolument exceptionnel, un film à montrer à tous ceux qui désirent en savoir plus sur cet effreux système des purges staliniennes. Oppressant, le film est aussi incroyablement fort. Le système, en recherche d'un aveu fictif de la part de Montand (impérial), est effrayant. Un grand, grand film politique. Toute ressemblance avec des faits et personnages ayant existé est, comme dans "Z", voulue.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 21 juillet 2009
    Un ensemble de contre-vérité sortie de leur contextes historiques. Pas un mot sur le Mc Cartisme qui sévissait aux Etats-Unis a la meme epoque. Costa Gavras , convainquant lorsqu’il dénonce le fachisme et le racisme s’égard dans un film douteux de propagande Etats-unienne. Dommage.
    Antoine H
    Antoine H

    27 abonnés 43 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 juillet 2023
    Film beau et implacable.
    Néanmoins, les faits décrits sont largement plus connus qu'au moment de la sortie du film; et le spectateur attend un peu plus qu'une description lente et méthodique.
    CrackO DingO
    CrackO DingO

    34 abonnés 1 057 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 février 2016
    Film trop politique, trop compliqué et trop long à mon goût. Sortez vos manuels d'histoire-géo pour bien maîtriser cette l'histoire. ----Février 2016----
    ygor parizel
    ygor parizel

    207 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2012
    Costa-Gavras s'attaque une fois de plus au totalitarisme (cette fois ci communiste). On y voit les conditions horribles de détention et les mensonges d'état du Bloc de l'Est (à l'époque c'était audacieux comme sujet). Malgré une mise en scène réussi, c'est un peu répétitif par moment. Yves Montand est impressionnant.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 mai 2019
    Un long discours passionnant d’interrogatoire sur des prisonniers politiques durement réprimandés, en pleine projection succédant au sujet des dictatures militaires souverainetés identités nationales sud-américaines. Le regard se porte vers le régime totalitaire de l’échiquier URSS et ses satellites pions d’Europe côté bloc de l’Est, la rivalité face à l’influence des États-Unis dans sa région hégémonique. C’est un pamphlet d’impartialité avec cette mise en scène glissée d’archives ambiguës, que ce soit de droite comme de gauche le clivage politisé, les extrêmes étatiques ont instauré l’histoire. Il n’est pas besoin de le répéter la leçon d’école, on n’aura de cesse de le savoir à cause de quoi concrètement. Les démocraties populaires étaient franchement autoritaires comparés à leurs opposants contre-révolutionnaires conservateurs nationalistes, des cachotiers d’un cercle vicieux, une complicité équivoque qui divisa le monde froidement en guerre indirecte. Des tortures connus par le vécu de la dissidence dont l’auteur autobiographique de cette adaptation semi-fiction, son opinion personnelle restera neutre malgré l’éprouvante emprisonnement d’avoir subit un acharnement étatique. Il était vivant sain et sauf au moment d’écrire son livre et de le citer aux journalistes ennuyés à la recherche de sensation presse pour s’attirer les faveurs d’une bonne opinion publique. C’était une méthode plus psychologique que physique tout autant douloureuse, le manque de sommeil, l’eau qui tombe violemment glacée sur la tête et un effort de marche forcée. La fatigue bousculante fut une épreuve tortueuse, finalement l’aveu à l’aveuglette retient ses larmes à faire fondre, la sentence capitale ou à vie laissant au temps viendra à bout de la réhabilitation. L’entrée en scène théâtrale au sein du parti propre à ces gouvernements socialistes fut une mascarade, le synopsis d’un homme qui n’avait jusque-là rien à se reprocher, grâce à son passé républicain anti-franquiste irréprochable n’était qu’un résumé, ses origines ciblées au procès rappellent son inspiration Trotskiste mineur. Ce sera toujours l’amour d’une femme, l’honorable actrice épouse la Simone à intriguer, qui trahira sa confiance troublée comme dans les histoires politiques folkloriques, ainsi soit ce roman réalisme. L’objectif du cliché photo encore flou, il réussira à s’extirper en faisant défection à l’Ouest Occidentale, l’interprétation est du grand cinéma français. C’est une analyse non-anticommuniste mais une critique à l’égard des dirigeants successifs après le père fondateur qu’est Lénine, qui ont dirigés l’Union Soviétique en le transformant en purge bataille Stalinienne à ciel ouvert. Sa dérive en direction de la boussole autoritarisme, le bouc émissaire et une peur psychose des bourgeois, un sentimentalisme nationaliste même pensée idéologie dans les pays où le communisme de dictateur persécuteur y a triomphé. L’heure du printemps de Prague a sonné le glas pour les Tchécoslovaques, une intrigue de plus historique.
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 février 2016
    L'Aveu, le titre à lui seul fait frémir ! Le film en lui même aussi. Après deux long métrages - Amen et Séction Spéciale - fort intéressant mais pas concluants de bout en bout pour moi, celui-ci m'a conquis dès la première minute. Yves Montand est divin, la décadence de son personnage dut à la torture physique et psychologique dont il est la victime est tout simplement abominable et inhumain. On souffre pendant deux heures, cette sensation est à la fois malsaine mais d'une nécessité sans pareil. Ce cycle Costa-Gavras est décidément fort intense, je sens que Z lundi va encore me perturbé comme ce fut le cas aujourd'hui avec L'Aveu ...
    real-disciple
    real-disciple

    68 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 juin 2011
    L'aveu est un film dur, saisissant, qui nous torture comme est torturé Anton , Gérard, un homme accusé d'espionnage et de rebellion contre le Parti. Ce fameux Parti qui est montré sous l'angle infernal d'une machine bien organisée, intraitable avec les traitres. Mais c'est réservé à un public vaerti, connaisseur de la politique car certains sujets sont difficiles à comprendre, néanmoins il faut noter la superbe interprétation d'Yves Montand et Simone Signoret, toujours excellente.
    OSC4R _
    OSC4R _

    68 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2023
    Après un début assez exceptionnel de part sa mise en place et sa mise en scène, L’aveu abat rapidement son jeu. Il indique clairement sa position et sa direction, puis ne se contente pas de raconter mais démontre et défend. Un peu déroutant certes, mais intéressant.

    On retrouve avec autant d’efficacité le même procédé narratif que dans The Father plus récemment, jouant sur l’ignorance du spectateur. (Il faudrait lui trouver un nom)

    Un comédien, un scénario, un peu de mise en scène et de montage (inventif). C’est tout. Ça suffit.

    Même si c’est le but, c’est trop long.
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