Note moyenne
3,4
24 titres de presse
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Cahiers du Cinéma
Un heureux équilibre des humeurs sert cette liberté nouvelle. L'humour et la légereté des uns accompagnent et limitent le sérieux passionné des autres (...)
Positif
(...) une étape d'importance dans l'aventure artistique de Catherine Breillat (...) le metteur en scène réussit, ici, le tour de force de sonder sans ciller la nature ambivalente de la passion (...)
20 Minutes
Plus accessible au grand public que les précédents films de Catherine Breillat, cette histoire d'amour fou est portée par l'actrice à la sensualité ravageuse.
Chronic'art.com
Le contrechamp des vieux plaisantins et les libertés prises avec le temps (...) ou le réalisme (...) désamorcent la gravité passionnelle et font d'Une vieille maîtresse le film le plus léger de Breillat.
Elle
Breillat a réussi un coup de maître, celui de développer dans un film en costumes et dans une langue très littéraire (...) ses thèmes fétiches sur la passion dévorante, l'affranchissement des femmes et la puissance du désir.
L'Obs
(...) il faut au film du temps pour imposer sa logique, la réalisatrice passe en force, et avec elle ses interprètes (...) mais son film est bien le plus intéressant qu'elle ait donné depuis "Parfait Amour".
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
Catherine Breillat (...) a réussi à s'emparer du texte de manière directe et libre, donnant corps et vie à une langue très littéraire, à travers le jeu naturel de ses acteurs.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Casting de génie et beau film de la parole : pari réussi pour cette adaptation littéraire en costumes.
Libération
Mieux qu'une adaptation du chef-d'oeuvre de Jules Barbey d'Aurevilly, Breillat en propose une lecture, le film se réclamant autant de la littérature (...) qu'il y échappe (...)
Paris Match
La brûlante Asia Argento domine ce film pur et sombre où l'amour s'associe à la mort de l'âme, mais où la puissance des sentiments trouve un écho dans tous les coeurs.
aVoir-aLire.com
Il faudrait également souligner la beauté de ce film sombre à la lisière de l'utopie où l'amour triomphe de la mort (...) Non, le bonheur n'est pas gai. Il est même parfois atroce (...)Catherine Breillat en rend compte avec une douce ferveur. Belle démarche. Beau film.
Le Journal du Dimanche
Un film d'époque servi par un texte magnifique et complexe (...) C'est d'une grande beauté plastique, les personnages débordent de fougue, mais dans un défaut de tension qui rend le récit inégal.
Le Monde
Catherine Breillat s'abandonne sans réserve à la fascination que lui inspire son interprète (...) Il y a de belles séquences en chambre, dont Catherine Breillat maîtrise si bien la mise en scène (...) Mais ces amants se meuvent dans un univers factice, dont on dirait que la réalisatrice ne sait que faire.
Le Parisien
Capable du meilleur comme du pire, Catherine Breillat négocie ici un habile compromis entre (...) les désordres de la passion et la quête de la pureté. L'ensemble est un tantinet longuet.
Ouest France
(...) Catherine Breillat semble un peu engoncée et gênée aux entournures, comme si elle était prisonnière d'un texte très bavard.
Première
Inégal, oui. Stimulant, oui aussi.
Score
A défaut d'emballer totalement, Une vieille maîtresse a le grand mérite de défaire le malentendu autour d'une réalisatrice bien plus fleur bleue que dragonne castratrice.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
MCinéma.com
Même si le mélange des genres et des personnalités peine à convaincre totalement, saluons l'audace d'une réalisatrice qui va toujours au bout de ses envies. C'est, sans doute, encore plus vrai cette fois ci, avec ce film noir et romantique.
Metro
La réalisatrice osculte une nouvelle fois les ressorts du désir, mais sa mise en scène, d'une lourdeur épouvantable peine à nous faire ressentir la passion qui unit les personnages principaux. C'est dommage (...)
TéléCinéObs
Un film (...) froid et désincarné (...) " Une vieille maîtresse " se révèle d'un ennui mortel (...) Face à Asia Argento étrangement absente et pas toujours compréhensible, le jeune Fu'ad Aït Aattou s'en sort avec les honneurs.
Télérama
La solennité des décors, des costumes, des mouvements de caméra (...) l'ont curieusement poussée vers un académisme dont on la [Catherine Breillat] croyait incapable, elle, l'insolente, la provocatrice. Tout semble ralenti, racorni, pétrifié : l'histoire, le rythme, les acteurs.