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Votre avis sur L'Odyssée de Pi ?
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Chronique complète :
spoiler: https://sunread26.wordpress.com/2023/03/29/lodyssee-de-pi/
Extrait :
Film adapté du roman du même nom, il ne s’agit pas d’une histoire vraie, même si l’auteur du roman à rencontrer un vrai naufragé. Le film a eu droit à plusieurs prix (9 au total), entre autres des Oscars et BAFA. J’ai hésité un moment avant de le regarder, par peur de m’ennuyer peut-être ? Après tout, on se retrouve au cœur de l’océan, avec uniquement de l’eau à perte de vue…
J’ignore comment est structuré le roman, mais pour le film, on vogue entre les flashbacks et le présent actuel de Pi. Pour moi, les flashbacks sont mis à des moments clés de l’intrigue, même s’ils disparaissent à certains moments. Ils permettent de changer un peu le rythme du film, et ainsi de moins s’ennuyer… j’ai quand même eu quelques passages d’ennui au tout début, mais dès le naufrage je n’ai plus eu se ressenti. Par contre, il faut bien admettre, que dans certains passages, Pi est complètement idiot, je pense notamment au moment où il met ses provisions sur son radeau de fortune… les résultats étaient prévisibles à 100%.
Le film possède pas mal de moment que je considère comme « contemplatif ». Pour un film qui date déjà, je peux affirmer qu’il est toujours aussi beau à regarder, mais aussi qu’il serait sans nulle doute, très impressionnant à visionner en 3D. Le passage avec la baleine est l’un de mes préférés sur ce point là, et pour info, les effets bleutés sont réels, même si j’ignore s’il est possible que cet événement a lieu en pleine mer. Il s’agit d’algues fluorescentes, elles emmagasinent la lumière la journée, et la nuit elle donne cet effet bleuté en surface et au touché. Pour les poissons, j’ai trouvé ce passage assez comique, mais aussi fataliste. Il s’agit tout simplement des poissons que l’on nomme « poisson volant », grâce à leurs nageoires imposantes ses poissons peuvent planer à la surface de l’eau, donnant l’illusion qu’ils volent, c’est un moyen de fuite pour eux et on le voit très bien dans le film.
[...]
spoiler: https://sunread26.wordpress.com/2023/03/29/lodyssee-de-pi/
Extrait :
Film adapté du roman du même nom, il ne s’agit pas d’une histoire vraie, même si l’auteur du roman à rencontrer un vrai naufragé. Le film a eu droit à plusieurs prix (9 au total), entre autres des Oscars et BAFA. J’ai hésité un moment avant de le regarder, par peur de m’ennuyer peut-être ? Après tout, on se retrouve au cœur de l’océan, avec uniquement de l’eau à perte de vue…
J’ignore comment est structuré le roman, mais pour le film, on vogue entre les flashbacks et le présent actuel de Pi. Pour moi, les flashbacks sont mis à des moments clés de l’intrigue, même s’ils disparaissent à certains moments. Ils permettent de changer un peu le rythme du film, et ainsi de moins s’ennuyer… j’ai quand même eu quelques passages d’ennui au tout début, mais dès le naufrage je n’ai plus eu se ressenti. Par contre, il faut bien admettre, que dans certains passages, Pi est complètement idiot, je pense notamment au moment où il met ses provisions sur son radeau de fortune… les résultats étaient prévisibles à 100%.
Le film possède pas mal de moment que je considère comme « contemplatif ». Pour un film qui date déjà, je peux affirmer qu’il est toujours aussi beau à regarder, mais aussi qu’il serait sans nulle doute, très impressionnant à visionner en 3D. Le passage avec la baleine est l’un de mes préférés sur ce point là, et pour info, les effets bleutés sont réels, même si j’ignore s’il est possible que cet événement a lieu en pleine mer. Il s’agit d’algues fluorescentes, elles emmagasinent la lumière la journée, et la nuit elle donne cet effet bleuté en surface et au touché. Pour les poissons, j’ai trouvé ce passage assez comique, mais aussi fataliste. Il s’agit tout simplement des poissons que l’on nomme « poisson volant », grâce à leurs nageoires imposantes ses poissons peuvent planer à la surface de l’eau, donnant l’illusion qu’ils volent, c’est un moyen de fuite pour eux et on le voit très bien dans le film.
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Ang Lee signe un ode à la nature, à la persévérance, à la foi, à l'acceptation de l'obstacle, qui fut le film le plus récompensé de l'année 2012. Pi Patel est un personnage touchant et superbement interprété, enfant comme adulte (Suraj Sharma, Irfan Khan).
Le film est accrocheur de par son concept de survie sur un canot au milieu de l'océan avec un tigre du bengale, et sa narration très efficace par la voix off éloquente du personnage principal.
Les paysages et effets spéciaux sont magnifiques (la baleine !) même trop, ça manque de réalisme certaines fois. Le naufrage est spectaculaire, superbement filmé ! La musique de Mychael Danna sans être superbe colle bien au film.
Un drame émouvant et motivant à voir et revoir !
Le film est accrocheur de par son concept de survie sur un canot au milieu de l'océan avec un tigre du bengale, et sa narration très efficace par la voix off éloquente du personnage principal.
Les paysages et effets spéciaux sont magnifiques (la baleine !) même trop, ça manque de réalisme certaines fois. Le naufrage est spectaculaire, superbement filmé ! La musique de Mychael Danna sans être superbe colle bien au film.
Un drame émouvant et motivant à voir et revoir !
J'avais beaucoup de craintes sur ce film étant donné sa présence sur Disney+, je me suis dit Ouh la la ça sent la mièvrerie à plein nez qui va faire sortir les mouchoirs pour essuyer les larmes de Madame Michu. J'avais aussi peur d'un "deux frères" bis, qui m'avait bien déçu: trop enfantin, avec toujours le travers de cet anthropomorphisme classique dans ce genre de réalisation (jamais un animal sauvage n'aura de comportement compassionnel humain sauf rares exceptions anachroniques). Eh bien pas du tout, les effets spéciaux sont redoutables, la réalisation de Ang Lee est au rendez-vous, l'histoire surtout est incroyable (tirée bien sûr du Best-Seller), c'est joué à la perfection, évidemment l'explication finale vous extirpe presque à regret de ce rêve empreint d'une immense poésie. A voir absolument, et vraiment un tigre qu'est ce que c'est beau!!!
L'Odyssée de Pi raconte l'histoire de Pi Patel, un jeune garçon indien, seul survivant d'un naufrage en pleine mer. Il se retrouve sur un radeau avec un tigre du Bengale nommé Richard Parker. Ensemble, ils doivent surmonter des défis immenses et établir une relation improbable pour survivre à leur longue dérive dans l'océan Pacifique. Le film explore des thèmes de foi, de survie et de la relation entre l'homme et la nature. un chef-d'œuvre
J'aime beaucoup ce titre il est assez surprenant l'histoire est peu banale et l'on peut voyager un peu et voir de belles images
Choisit-on de croire à la fable zoologique ou à la survie cannibale ? On devine quelle version est la vraie, mais la manière de poser cette alternative nous donne le loisir de toucher au merveilleux, à la quête spirituelle, à la résilience et à la dualité entre civilisation et instinct.
La première partie du film, quoique utile pour comprendre la recherche identitaire de Pi, souffre de deux artificialités : une vision romanesque de l'Inde, et des effets de manche dans le montage, notamment via l'abus de fondus enchaînés . Mais, à défaut de brosser avec plus de nuances le cadre social de Pi, ce début marque une opposition radicale avec la suite des événements.
Le jeune homme pâtit d'une éducation paternelle autoritaire, appuyée sur la science, en contradiction avec l'ouverture prônée par la mère. Pi grandit avec les animaux et apprend à considérer leurs différences comportementales. En parallèle, il tente de trouver sa voie dans la religion. Son ouverture d'esprit l'amène à en embrasser plusieurs, et à les appréhender dans un ensemble plus grand. Toutefois, la question de leur cohabitation ne constitue pas le cœur du récit : elle permet de comprendre l'approche de Pi à la suite du naufrage.
Comme nombre de croyants, il se raccroche à la volonté divine pour comprendre son destin, et puiser la force psychologique nécessaire à sa survie en mer. Très vite, ses compagnons naufragés le laissent livré à lui-même, dans un océan de solitude.
Richard Parker est autant le mécanisme d'auto-défense post-traumatique qu'il s'est façonné que l'incarnation de son instinct de survie. "Qui sait ce que nous sommes à même de devenir quand la faim nous ronge ?" À travers cette division intérieure, allégorisée par le compagnonnage entre l'humain et le tigre, l'Odyssée de Pi revêt une portée émotionnelle intense. Les animaux, pas assez filmés au cinéma, à tort, en tant que puissants vecteurs d'émotion, apportent une présence à la fois réconfortante et dangereuse.
C'est comme un gros matou que l'on chérit Parker ; mais jamais le film ne perd de vue qu'il reste un animal sauvage, mu par des sentiments propres à son espèce. Il n'y a pas d'amour entre Pi et lui. Seulement un rapport de force, fondé sur le respect – sinon la crainte – de l'autre.
Même après spoiler: leur survie miraculeuse, aucun au revoir ne clôt leur relation. L’instinct animal quitte Pi aussitôt qu'il retrouve la civilisation. Son voyage ne s'éternise que dans ses chimères.
La première partie du film, quoique utile pour comprendre la recherche identitaire de Pi, souffre de deux artificialités : une vision romanesque de l'Inde, et des effets de manche dans le montage, notamment via l'abus de fondus enchaînés . Mais, à défaut de brosser avec plus de nuances le cadre social de Pi, ce début marque une opposition radicale avec la suite des événements.
Le jeune homme pâtit d'une éducation paternelle autoritaire, appuyée sur la science, en contradiction avec l'ouverture prônée par la mère. Pi grandit avec les animaux et apprend à considérer leurs différences comportementales. En parallèle, il tente de trouver sa voie dans la religion. Son ouverture d'esprit l'amène à en embrasser plusieurs, et à les appréhender dans un ensemble plus grand. Toutefois, la question de leur cohabitation ne constitue pas le cœur du récit : elle permet de comprendre l'approche de Pi à la suite du naufrage.
Comme nombre de croyants, il se raccroche à la volonté divine pour comprendre son destin, et puiser la force psychologique nécessaire à sa survie en mer. Très vite, ses compagnons naufragés le laissent livré à lui-même, dans un océan de solitude.
Richard Parker est autant le mécanisme d'auto-défense post-traumatique qu'il s'est façonné que l'incarnation de son instinct de survie. "Qui sait ce que nous sommes à même de devenir quand la faim nous ronge ?" À travers cette division intérieure, allégorisée par le compagnonnage entre l'humain et le tigre, l'Odyssée de Pi revêt une portée émotionnelle intense. Les animaux, pas assez filmés au cinéma, à tort, en tant que puissants vecteurs d'émotion, apportent une présence à la fois réconfortante et dangereuse.
C'est comme un gros matou que l'on chérit Parker ; mais jamais le film ne perd de vue qu'il reste un animal sauvage, mu par des sentiments propres à son espèce. Il n'y a pas d'amour entre Pi et lui. Seulement un rapport de force, fondé sur le respect – sinon la crainte – de l'autre.
Même après spoiler: leur survie miraculeuse, aucun au revoir ne clôt leur relation. L’instinct animal quitte Pi aussitôt qu'il retrouve la civilisation. Son voyage ne s'éternise que dans ses chimères.
Dans ce film j'ai beaucoup aimer :
Les effets spéciaux crée des images époustouflantes. Les scènes de l'océan, les animaux...
Suraj Sharma, qui joue le rôle de Pi adolescent, offre une performance remarquable, surtout compte tenu du fait que c'est son premier rôle au cinéma.
Même si on peut trouver le rythme un peu lent parfois je trouve que c'est un très beau film
Les effets spéciaux crée des images époustouflantes. Les scènes de l'océan, les animaux...
Suraj Sharma, qui joue le rôle de Pi adolescent, offre une performance remarquable, surtout compte tenu du fait que c'est son premier rôle au cinéma.
Même si on peut trouver le rythme un peu lent parfois je trouve que c'est un très beau film
L'Odyssée de Pi, une oeuvre cinématographique dirigée par Ang Lee, se présente comme une épopée visuellement époustouflante et émotionnellement complexe, qui navigue habilement entre les eaux de la survie, de la foi et de la coexistence improbable. Ce film, adapté du roman de Yann Martel, nous invite à plonger dans l'histoire captivante de Piscine Molitor Patel, plus connu sous le nom de Pi, dont le voyage de survie sur l'océan Pacifique, accompagné d'un tigre du Bengale nommé Richard Parker, défie l'entendement.
La réalisation d'Ang Lee est remarquable, façonnant un conte qui transcende le simple récit de survie pour explorer des thèmes plus profonds de foi, d'identité et de la relation entre l'homme et la nature. Les effets visuels, méritant à juste titre leurs multiples récompenses, sont d'une beauté et d'une précision inégalées, apportant une dimension presque onirique à l'aventure maritime de Pi. Les séquences avec le tigre Richard Parker, entièrement créées par ordinateur, sont si convaincantes qu'elles brouillent les frontières entre réalité et animation.
Toutefois, malgré ces triomphes techniques et narratifs, le film n'est pas exempt de faiblesses. Par moments, le rythme semble s'essouffler, en particulier dans les longues traversées océaniques où l'intrigue tend à stagner. Bien que la performance de Suraj Sharma en tant que Pi soit à la fois touchante et convaincante, certains aspects du scénario semblent manquer de la profondeur nécessaire pour soutenir pleinement le voyage spirituel et émotionnel du personnage.
L'aspect le plus controversé du film pourrait être son dénouement, qui invite à une réflexion sur la nature de la vérité et de la narration. Cette fin, bien qu'ouverte à l'interprétation, risque de laisser une partie du public insatisfaite, cherchant des réponses plus concrètes à ce périple épique.
En somme, L'Odyssée de Pi se révèle être une oeuvre cinématographique complexe et visuellement magnifique, qui, malgré certaines longueurs et une fin polarisante, offre une expérience immersive et réfléchie. Ang Lee réussit à tisser une toile d'images époustouflantes et d'émotions nuancées, faisant de ce film une odyssée mémorable, même si elle n'atteint pas tout à fait la perfection.
La réalisation d'Ang Lee est remarquable, façonnant un conte qui transcende le simple récit de survie pour explorer des thèmes plus profonds de foi, d'identité et de la relation entre l'homme et la nature. Les effets visuels, méritant à juste titre leurs multiples récompenses, sont d'une beauté et d'une précision inégalées, apportant une dimension presque onirique à l'aventure maritime de Pi. Les séquences avec le tigre Richard Parker, entièrement créées par ordinateur, sont si convaincantes qu'elles brouillent les frontières entre réalité et animation.
Toutefois, malgré ces triomphes techniques et narratifs, le film n'est pas exempt de faiblesses. Par moments, le rythme semble s'essouffler, en particulier dans les longues traversées océaniques où l'intrigue tend à stagner. Bien que la performance de Suraj Sharma en tant que Pi soit à la fois touchante et convaincante, certains aspects du scénario semblent manquer de la profondeur nécessaire pour soutenir pleinement le voyage spirituel et émotionnel du personnage.
L'aspect le plus controversé du film pourrait être son dénouement, qui invite à une réflexion sur la nature de la vérité et de la narration. Cette fin, bien qu'ouverte à l'interprétation, risque de laisser une partie du public insatisfaite, cherchant des réponses plus concrètes à ce périple épique.
En somme, L'Odyssée de Pi se révèle être une oeuvre cinématographique complexe et visuellement magnifique, qui, malgré certaines longueurs et une fin polarisante, offre une expérience immersive et réfléchie. Ang Lee réussit à tisser une toile d'images époustouflantes et d'émotions nuancées, faisant de ce film une odyssée mémorable, même si elle n'atteint pas tout à fait la perfection.
Encore une fois un bon film qui est inspiré d'un roman. Le jeune acteur principal est bon, et le film est fait de manière à ne jamais sombrer dans un quelconque ennui. C'est bien filmé, ce n'est du du tout lent, on a même du suspens. A noter aussi l'apparition de Depardieu, remarquée, malgré que ce soit que quelques instants.
Esthétiquement Lee signe un magnifique conte sur la croyance. On est pris par ce récit sur la survie en milieu hostile et les relations sans parole entre ce jeune Indien (admirablement interprété) et un tigre sauvage.
Les effets spéciaux permettant de donner vie aux animaux et suroît le tigre sont irréprochables.
Je suis moins fan de certains plans sur fonds verts (mais rares)
No likes yet
COMMENT?
Les effets spéciaux permettant de donner vie aux animaux et suroît le tigre sont irréprochables.
Je suis moins fan de certains plans sur fonds verts (mais rares)
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COMMENT?
Monsieur Lee, nous propose une fresque emmenant un tigre et un jeune enfant dans une histoire touchante. Mêlant imaginaire, vérité, cette œuvre plonge le spectateur dans un long voyage mouvementé, ponctué de sentiment humain et animal qui ne font qu'un
Si « Dieu » est un tigre à rencontrer, il peut être aussi un monstre ou la grande faucheuse à apprivoiser avec courage, au moment où tout semble perdu.
Le cinéaste plante son décor dans cette inde du sud douce et enchanteresse ouverte à tous les contes, auprès d’un enfant qui cherche la foi, teste les religions, et réfute la raison spoiler: (comme le veut son père).
De là, il développe une magnifique parabole, spoiler: (très judéo-chrétienne)
avec beaucoup de souffle épique qui provoque une liberté dans laquelle chacun est invité à s'aventurer et à découvrir les vérités de sa foi
Ici l’histoire de la relation de Pi et de Richard Parker laisse chacun penser sans diriger et dès que le film franchit un pas vers le merveilleux, nous le suivons avec grâce, spoiler: même si peut être cet enchantement vise à cacher des vérités tragiques voir la fin !)
De plus, la mise en scène colorée, aérée et optimisée par la technologie 3D et l‘utilisation caractérisé du tigre en images de synthèse en fait une expérience de cinéma unique et inégalée
Félicitation au réalisateur et oscar
Le cinéaste plante son décor dans cette inde du sud douce et enchanteresse ouverte à tous les contes, auprès d’un enfant qui cherche la foi, teste les religions, et réfute la raison spoiler: (comme le veut son père).
De là, il développe une magnifique parabole, spoiler: (très judéo-chrétienne)
avec beaucoup de souffle épique qui provoque une liberté dans laquelle chacun est invité à s'aventurer et à découvrir les vérités de sa foi
Ici l’histoire de la relation de Pi et de Richard Parker laisse chacun penser sans diriger et dès que le film franchit un pas vers le merveilleux, nous le suivons avec grâce, spoiler: même si peut être cet enchantement vise à cacher des vérités tragiques voir la fin !)
De plus, la mise en scène colorée, aérée et optimisée par la technologie 3D et l‘utilisation caractérisé du tigre en images de synthèse en fait une expérience de cinéma unique et inégalée
Félicitation au réalisateur et oscar
Un de mes films préférés. Petite, ce film me faisait peur et j'avais du mal à comprendre pourquoi le tigre était "méchant". Maintenant que j'ai grandi, j'ai compris que ce film m'a marqué pour bien d'autre raison. L'histoire est magnifique et à mon sens très onirique. La relation avec les religions est légère et fait du bien: on ne nous impose pas une idée, on nous fait comprendre subtilement les enjeux que détient la croyance et la force qu'elle apporte au personnage principal (Pi). C'est une ôde à l'espoir. Les relations entre les animaux et Pi sont belles. On passe de l'emerveillement aux larmes car, quand l'homme n'a plus la force de faire régner ses lois, le règne animal reprend et semble parfois cruel. Pour moi, Richard Parker (le tigre) est un symbole très important de ce film. Il montre que l'attachement avec Pi est possible et que pour survivre il faut savoir s'unir. Parlons des paysage. Comment expliquer à quel point ces derniers m'ont chamboulés ? D'une beauté absolue, nous passons d'un Pondichéry coloré et vivant à une mer tumultueuse et dangereuse. Pourtant, l'ocean fini par se calmer et montre son charme. D'un océan calme aux lueurs oranges du matin à un océan insaisissable aux miles couleurs la nuit: nous ne pouvons que rêver de cette Terre onirique qui cache moulte secret.
Pour moi ce film est un chef d'oeuvre. L'histoire merveilleuse d'un naufrage et d'une survie contre les évenements, parfois persécutée par la nature et d'autre fois sauver par cette dernière. Car dans l'adversité se révèle la beauté et dans le désespoir se cache l'espérance.
Pour moi ce film est un chef d'oeuvre. L'histoire merveilleuse d'un naufrage et d'une survie contre les évenements, parfois persécutée par la nature et d'autre fois sauver par cette dernière. Car dans l'adversité se révèle la beauté et dans le désespoir se cache l'espérance.
Ce film de Ang Lee nous fait voyager, principalement avec notre tête bien sûr, mais c'est notre esprit qui travaille, car en nous donnant à regarder ce conte philosophique, il réveille en nous des questions sur la vie en général. Le film aurait pu être long et ennuyeux mais il se révèle rythmé et passionnant. Une histoire hallucinante nous est contée mais on a envie d'y croire et de se comparer à ce jeune homme, qui ayant tout perdu, av réussir à vivre, bien qu'évoluant dans un milieu hostile, notamment en ayant un tigre à moins de 1 mètre de lui en permanence.
Un chef-d'œuvre rempli de symbolisme et de poésie. Photographie et bande-son magnifique. A voir absolument !
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