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(...) Dark water passe à la moulinette américaine. On attendait (...) une oeuvre magistrale, et bien fi de tout ça : nous avons droit à un film dramatique, un peu policier et légèrement horrifique.
La critique complète est disponible sur le site Brazil
Le cinéaste s'empare non sans finesse de la relation mère/fille, mais échoue sur le terrain du fantastique. Entièrement pris en charge par la majesté cristalline de la trop rare Jennifer Connely, le trouble s'efface à mesure que se resserre la mécanique du genre.
(...) Comme dans beaucoup de films d'horreur américains, la fin trop délayée n'en finit plus de finir. Un conseil, plutôt que d'aller voir ce remake détrempé, offrez-vous le DVD du premier "Dark Water" (...)
Pour ceux qui ne connaissent pas l'original, la version de Salles apparaîtra au mieux efficace (...), au pire sans intérêt (...). Pour les autres, la comparaison est sans appel : (...) le caractère explicite de l'ensemble insulte l'intelligence du spectateur !
La critique complète est disponible sur le site Première
(...) le cinéaste brésilien échoue pourtant à nous faire frissonner. En revanche, il réussit le portrait poignant d'une femme solitaire et instable que des événements paranormaux vont achever de fragiliser.
Non, l'adaptation de Walter Salles ne vaut pas l'original de Hideo Nakata, pour la simple et bonne raison qu'il n'en est qu'une relecture. Mais il faut prendre le film de Walter Salles pour un tout, et laisser aux théoriciens de la théorie le sujet de thèse qu'on pourrait sans douleur faire naître de la folie des remakes.
Raté : non seulement son film n'est qu'un pâle ersatz de sa source, mais il demeure surtout un produit sans point de gravité, incapable d'imposer un point de vue sans pour autant avoir l'humilité de s'assumer comme pure commande à engranger les dollars.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Concentré sur les aspects psychologiques du scénario, le réalisateur (...) qui fait ici ses premiers pas dans le système hollywoodien, peine à créer du mystère. La musique et les bruitages entêtants dont il use sans retenue provoquent plutôt l'effet inverse.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Dark water nippon était un tourbillon furieux d'émotions, un bijou à la fois horrifique et dramatique. Son cousin américain a l'encéphalogramme désespérément plat. Le meilleur conseil que l'on puisse donner pour suivre cette histoire qui vaut vraiment le coup, c'est de se procurer le DVD du Dark water de Hideo Nakata.
Walter Salles se démarque (...) de son prédécesseur nippon : il s'efforce de tout rendre plausible et compréhensible, dans une démarche terre-à-terre assez peu compatible avec le fantastique et l'irrationnel.
Entre deux clichés, Walter Salles filme superbement Roosevelt Island, quartier pauvre de New York tout proche de Manhattan. Seuls ces plans épars créent une sourde inquiétude.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Brazil
(...) Dark water passe à la moulinette américaine. On attendait (...) une oeuvre magistrale, et bien fi de tout ça : nous avons droit à un film dramatique, un peu policier et légèrement horrifique.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste s'empare non sans finesse de la relation mère/fille, mais échoue sur le terrain du fantastique. Entièrement pris en charge par la majesté cristalline de la trop rare Jennifer Connely, le trouble s'efface à mesure que se resserre la mécanique du genre.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Libération
Avec ce remake, Walter Salles réussit une incursion inattendue dans le film de genre.
Paris Match
(...) Comme dans beaucoup de films d'horreur américains, la fin trop délayée n'en finit plus de finir. Un conseil, plutôt que d'aller voir ce remake détrempé, offrez-vous le DVD du premier "Dark Water" (...)
Positif
Allons plutôt, après avoir loué la cohérence de l'univers visuel et les idées de mise en scène du réalisateur, à l'essentiel : Jennifer Connlly.
Première
Pour ceux qui ne connaissent pas l'original, la version de Salles apparaîtra au mieux efficace (...), au pire sans intérêt (...). Pour les autres, la comparaison est sans appel : (...) le caractère explicite de l'ensemble insulte l'intelligence du spectateur !
Score
Etonnement, la tambouille ne prend pas sans toutefois décevoir.
TéléCinéObs
(...) le cinéaste brésilien échoue pourtant à nous faire frissonner. En revanche, il réussit le portrait poignant d'une femme solitaire et instable que des événements paranormaux vont achever de fragiliser.
Zurban
Une fois de plus, l'original vaut mieux que la copie. Dommage, les premières scènes s'annonçaient prometteuses...
aVoir-aLire.com
Non, l'adaptation de Walter Salles ne vaut pas l'original de Hideo Nakata, pour la simple et bonne raison qu'il n'en est qu'une relecture. Mais il faut prendre le film de Walter Salles pour un tout, et laisser aux théoriciens de la théorie le sujet de thèse qu'on pourrait sans douleur faire naître de la folie des remakes.
Brazil
Vous avez vu l'original ? Et bien, vous avez donc vu la copie US conforme ou quasi... Next !...
Chronic'art.com
Raté : non seulement son film n'est qu'un pâle ersatz de sa source, mais il demeure surtout un produit sans point de gravité, incapable d'imposer un point de vue sans pour autant avoir l'humilité de s'assumer comme pure commande à engranger les dollars.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Monde
Concentré sur les aspects psychologiques du scénario, le réalisateur (...) qui fait ici ses premiers pas dans le système hollywoodien, peine à créer du mystère. La musique et les bruitages entêtants dont il use sans retenue provoquent plutôt l'effet inverse.
Les Inrockuptibles
Remake simpliste et sans intérêt du chef d'oeuvre d'Hideo Nakata. Pour les fans de Jennifer Connelly uniquement.
MCinéma.com
Le Dark water nippon était un tourbillon furieux d'émotions, un bijou à la fois horrifique et dramatique. Son cousin américain a l'encéphalogramme désespérément plat. Le meilleur conseil que l'on puisse donner pour suivre cette histoire qui vaut vraiment le coup, c'est de se procurer le DVD du Dark water de Hideo Nakata.
Mad Movies
Proprement réalisé et joliment éclairé, Dark Water ne reste cependant qu'un exercice de style vain, voire totalement obsolète.
Ouest France
Walter Salles se démarque (...) de son prédécesseur nippon : il s'efforce de tout rendre plausible et compréhensible, dans une démarche terre-à-terre assez peu compatible avec le fantastique et l'irrationnel.
Rolling Stone
Une relecture ricaine qui n'apporte rien de tangible à l'original japonais.
Télérama
Entre deux clichés, Walter Salles filme superbement Roosevelt Island, quartier pauvre de New York tout proche de Manhattan. Seuls ces plans épars créent une sourde inquiétude.