il frolle les 4 étoiles pour moi, ne reste qu'un petit problème de ressemblance excessive avec le 1er opus mais franchement, c'est très bon, drôle et romantique. mais quand même, pour une soit disant pauvre fille grasse et maladroite, elle se paye deux supers canons. et en étant un chti peu moins "raisonnable", elle serait reparti avec le plus top sous le bras....
Alors que le premier était pas vraiment agréable,le deuxiéme est une pure bouse où tous les clichés possibles et imaginables de la comédie romantique sont là pour vous resservir une millième fois le méme scénario.Aucune originalité,des passages vus et revus,des musiques tendances pop rock qui plaisent à toutes les filles.Elles seront peut-être contentes de voir enfin une fille à qui s'identifier mais seront d'accord pour dire que c'était pas la premiére fois.Avec des acteurs tous têtes à claques Zellweger en premier,une réalisation tenue par les producteurs,on est devant une pure machine à fric qui prend le spectateur pour le plus décérébré du monde.
Cette suite arbore le même style que le premier film, avec un humour assez léger ou décalé dans l'ensemble et des personnages identiques. Bridget Jones est donc toujours aussi maladroite et gaffeuse devant deux hommes très opposés (Grant n'ayant plus qu'un second rôle), et tente de conserver son bonheur si précieux, le tout nous offrant des moments assez drôles. Amusant, mais inégal face à l'original.
C'est moins drôle que le premier, mais ça se regarde sans peine, surtout que Grant se fait attendre très longtemps, ce qui rend le suspense valable. Renée est vraiment immonde de graisse, Hugh, sans doute passé par la case muscu n'a jamais paru aussi mature et séduisant, seul le troisième larron a du mal à exister. Le scénario balade le spectateur, ce qui l'empêche de s'apercevoir que les gags sont peu nombreux.
Deuxième épisode de Bridget Jones et de ses poignées d’amour, The Edge of Reason doit beaucoup à son prédécesseur… D’un côté on sent que le film a bénéficié des retombées (financières) du premier épisode, permettant à la production de s’offrir un voyage en Thaïlande ou la dernière playlist à la mode. Mais de l’autre côté, cet âge de raison a fait le parti pris de réappliquer à la lettre une première recette qui marche : même scénario quasiment (une Bridget naviguant entre deux amourettes), même humour embarrassant, même happy ending (oups, le suspens…), même la traditionnelle bataille de coqs est de retour... De ce semblant de déjà vu ne ressort alors que l’accent british et deux trois vagues boutades (le twist final vaut quand même le coup d’œil…) relevant vaguement un film fade et sans grand intérêt…
Une comédie légère, tendre et romantique à l'humour " so British ". D'un point de vue structurel, le film ne connaît aucune longueur, le rythme nous tient du début au terme de l'aventure. Plus qu'une comédie, l'histoire de cette jeune journaliste tourmentée et pour le moins maladroite revêt un caractère sociologique. Le film dévoile à travers les trois interprétations des excellents acteurs principaux (Renée Zellweger, Colin Firth, Hugh Grant) des traits de caractères humains singuliers pas forcément incompatibles.
Photocopie noir et blanc d'un film couleur. Qu'il est gentil ce 1 croix pas vraiment mérité ! Il fallait bien que le prolifique scénariste Richard Curtis fasse le film de trop. Et bien il n'est plus à faire puisque ce Bridget Jones 2 représente le degré zéro de l'intérêt. On prend exactement les mêmes personnages, on ajoute des gags tous décalqués sur ceux du premier (parfois droles, il est vrai) et on fait un nouveau film. Sauf qu'ici le manque total d'idée scénaristique se voit comme le nez au milieu de la figure. Après une demi-heure molle, mais où un certain nombre de gags sont droles et réussis, les scénaristes transportent leur héroine en Thailande et dès lors, le film tombe dans le n'importe quoi. Ce ne sont que les vingt dernières minutes qui nous sortent à nouveau de notre torpeur. Bridget Jones est donc un personnage toujours sympathique, mais maintenant la meilleure idée serait d'arrêter l'exploitation de cette franchise avant l'overdose.
On prend les mêmes et on recommence! Même personnages, même dialogues, même humour... Malheureusement la surprise engendrée par le premier n'est plus et l'on a bien du mal à trouver une once d'intérêt à cette suite sans saveur, sans personnalité, sans créativité, qui se repose sur les acquis de son aîné pour ne plus y décoller et ne rien y apporter de nouveau. Au final, a contrario de Briget Jones qui n'a de cesse de se goinfrer de ses glaces, le spectateur n'a quant à lui pas grand chose à se mettre sous la dent.
Je n'arrive pas à adhérer à ce genre d'histoire naïve, remplie de préjugés et de stéréotypes. Dommage car la prestation de Renée Zellweger, qui joue le personnage de Bridget Jones, est excellente.
Après le succès commercial de ses premières aventures, la maladroite Bridget Jones se devait de faire un second passage dans nos salles obscures. Alors que le premier épisode était plutôt plaisant en dépit de ses nombreuses faiblesses, ce second opus démarre de manière bien molle avec un scénario qui se repose sur ses acquis et qui instaure un faux rythme dans une amourette peu réjouissante entre une héroïne qui commence à nous fatiguer avec sa narration ultra-niaise en fond sonore et un Colin Firth aussi antipathique que son personnage et dont on se demande bien pourquoi il attire toutes les convoitises. On est d'autant plus déçu que Hugh Grant, seule grosse satisfaction de la franchise, est bien moins présent que dans le précédant long-métrage. Les gags sentent pour la plupart le réchauffé même si certains parviennent à percer au gré d'une intrigue malheureusement sans fond ni légitimité qui patine sérieusement dans une épilogue qui en fait, en revanche, beaucoup trop du côté de la bande son. Une toute petite étoile, mais vraiment toute petite, pour cette suite décevante.
Déjà que le premier était loin d'être un bon film, là on touche vraiment le fond... Si le précédent avait une mauvaise histoire (mais une histoire quand même), ici c'est juste de l'ennui profond pendant 1 h 40 et c'est toujours pas drôle, de vieux gags réchauffés encore et encore. La réalisation est horriblement fade, aucune construction ou intérêt artistique. Comme dit précédemment, le scénario est d'une nullité absolue, impossible de s’intéresser à ce film. Si les acteurs étaient plus ou moins passables dans le premier, cette fois-ci ils sont désastreux et il n'y en a pas un pour rattraper l'autre. Les dialogues sont insipides et fades. La photographie est très moche, toujours les mêmes tons de lumière. Le montage est classique, c'est l'une des rares choses qui n'est pas totalement mauvaise. Les décors sont désespérément vides, les costumes sont ringards et la bande originale niaise. Briget Jones: l'âge de raison est une mauvaise suite d'un premier film qui est déjà assez médiocre.