Suite pas indispensable d'un succes merité mais vouloir faire un numero 2 c'est bien faut il encore avoir un scenario potable et la rater il y a juste de quoi faire un court metrage et ce n'est pas la pauvre Renée Zellweger qui malgré son talent pourra rattraper le tout,un film a classer dans le tiroir des suites basées sur le manque d'idées des scenaristes et l'envie du profit simple et rapide
Bridget Jones est de retour! Toujours égale à elle-même, à l'instar de ses deux complices, c'est avec plaisir qu'on la retrouve en butte aux affres de la vie de couple. Si elle vous a déjà séduit, elle vous attachera plus solidement encore à elle. Et si vous ne la connaissez pas, vous n'êtes pas prêts de l'oublier! Les gags et autres gaffes se succèdent, la rendant plus touchante encore. Energique, drôle et attendrissant.
Dans ce second opus, Bridget Jones est toujours aussi craquante et gaffeuse dans sa vie professionnelle et affective. Mais ses atermoiements et ses marivaudages entre ses deux amants sont quand même moins comiques que les efforts qu'elle avait déployés dans le premier pour les accrocher...
Moins bien que le premier, à cause d'un scénario moins crédible (surtout sur la fin). Mais le charme de Bridget Jones est toujours là, celui de Colin Firth aussi, et c'est tout ce qui compte !
Bridget Jones revient. Bridget 2. Il fallait s’y attendre, après le tabac fait par le 1. Est-ce que la magie fonctionne toujours ? Oui, mais moins. Je disais que ce qui arrive à Bridget, ce « n’est pas sérieux ». Et bien le réalisateur a choisit de me prendre au mot, et de faire du film comique sentimental précédent, un film comique tout court. Il ne cherche même pas une intrigue, et ne se voile même pas la face derrière un scénario type, il refait le même film, avec quelques plans gag, des dialogues soignés, des répliques écrites sur mesure, et le dépaysement en plus. Voilà ce que j’appelle user le filon jusqu’à la garde. Heureusement, il y a toujours le trio magique qui est la pour nous faire rire, qui s’amusent à nous amuser, et c’est assez amusant, le cabotinage divertissant et superficiel comme on l’aime quand on n’a pas envie de réfléchir. Le cinéma divertissant et superficiel dans toute sa splendeur. Regardez la splendeur, oubliez le reste.
Si le premier Bridget Jones était plutôt rafraîchissant,ce second volet est franchement exaspérant.La recette complète y est reprise en moins bien.Entre guimauve inoffensive et auto-dérision trop frontale pour être honnête,cet "âge de raison" sent bon l'opportunisme.A une réalisation plus impersonnelle que jamais,s'ajoute un scénario inexistant,qui semble s'orienter vers une quête de la maturité,mais qui patauge surtout dans des gags débiles.Bien sûr,Renée Zellweger demeure la Bridget idéale.Elle continue dans l'abattage comique et la maladresse touchante,même si l'on constate que son visage a changé(embonpoint ou botox?).Colin Firth,l'avocat de la sécurité,montre qu'il n'est ni parfait,ni stimulant;alors que Hugh Grant joue toujours le goujat effronté,sans l'enthousiasme d'avant.On perd aussi l'aspect tout public.C'est un produit girly formaté,rose-bonbon,gouaché de références cul-cul la praline.Et le reste du temps,on se perd dans la gaudriole,avec des rebondissements au mieux frêlatés(la rivale qui est finalement une lesbienne),au pire complètement hors-sujet(l'arrestation en Thaïlande).Stop,arrêtez le massacre!
Cool! ça montre entre autre que l'on est un peu exigeante avec les mecs en voyant comment certaines femmes se font traiter dans certains pays! Hugh et Colin: de vrais gamins lors de leur petite bataille et j'adore ça. Décidément, on adore le trio Renée, Colin et Hugh!
Déjà le bouquin était beaucoup moins réussi que le précédent. Mais les producteurs l'ont ici quasiment zappé, ne retenant que le minimum syndical et se contentant de reprendre presque à la lettre quelques gags du premier volet. Même Renée Zellweger est beaucoup moins naturelle.
En gros, c'est la même chose mais en moins bien, je dis bien "en gros" pour ne pas dire "en grosse", puisque Bridget a pris pas mal de kilos, pour accentuer son côté anti-héroïne probablement (j'espère ne pas être trop mauvaise langue). Autre problème, elle en fait 10 fois plus que dans le premier épisode, et ça en devient très fatigant toutes ces mimiques limite racoleuses... Le scénario, la mise en scène, tout cela n'a guère d'intérêt, voilà quoi... Heureusement il n'y a (toujours) pas eu de 3, et c'est peut-être ça, finalement, l'âge de raison...
Mieux réalisé que le premier opus, mieux écrit aussi (plus fidèle au roman, ici pas de gros oublis comme dans le premier), une actrice pleine de charme et de talent, des acteurs a la hauteur, et surtout le style d'Helen Fielding est bien rendu...bref, bonne soirée les amoureux!
Un lundi soir, rien d'intéressant à foutre donc ......direction cinéma pour la suite des aventures de Bridget Jones, dont le premier volet m'avait surpris assez agréablement, compte tenu de mon à-priori négatif pour le genre "comédie sentimentale". Et là, catatstrophe..un nanar stratosphérique, des blagues potaches qui ne feraient pas même rire les fans de la 7ème compagnie, des acteurs qui cabotinent, de la guimauve qui dégoulinent dans votre chocolat chaud, le tout réalisé avec les pieds par un garçon boucher. Et le pire, c'est que, le seul homme dans la salle, les jolies demoiselles trentenaires et célibataires autour de moi avaient l'air de s'amuser follement et d'être émues aux larmes. Ca ne présage rien de bon pour le misogyne que je dois sûrement être.
Distrayant, pour la simple raison qu'il s'agit d'un vulgaire copier/coller du premier opus. J'étais quand même un peu étonné qu'on fasse passer les prisons thaïlandaises pour des colonies de vacances.
Avec ce second volet, on ne peut que constater que Bridget Jones a perdu sa naïveté en cours de route. Toujours aussi pimpante sauf qu'à la place de la jeune femme spontanée qu'on avait laissée à la fin du premier film, on se retrouve avec une nana plutôt bébète, une espèce d'idiote à laquelle il est difficile de s'identifier et dont les aventures deviennent par conséquent inintéressantes. Surtout que Beeban Kibron n'a pas manqué de reprendre, accentuer, voire torturer certains des points positifs du premier et de transformer l'humour franchouillard mêlé de classe à l'anglaise si plaisant en blagasse bien trop grosse pour être digeste. Qu'une saga évolue, c'est bien normal, mais là la gentille Bridget semble avoir perdu son âme en chemin - et ses amateurs aussi, du coup.