Avis : The Dinner - Page 7

Voila ça m'apprendra a regarder 3 films de Steve Carell à la suite. Je sèche mes larmes et retourne voir Max La Menace.

Adaptation ratée du "Diner de cons" de Francis Veber, par Jay Roach qui avait pourtant réalisé les excellents "Mon Beau-Père et moi" et sa suite. Ici, Paul Rudd n'est pas fait pour ce rôle et Steve Carell est énervant à souhait, on dirait qu'il parodie plus qu'il ne joue ! Seul la présence de Zach Galifianakis donne un peu (mais vraiment peu) d'intérêt au film, autant regarder la version originale qui est 100 fois meilleure !

Je n'ai pas vu ce film mais à en croire la bande-annonce, ça semble être un vulgaire copié-collé du dîner de cons ... !

Pour moi, The dinner est une comédie bien décevante et je suis vraiment convaincu que le film original «le diner de cons» était bien meilleur que celui-ci. Il n'y a eu que quelques moments marrants et ils n'ont pas su me faire rire beaucoup. Steve Carell n'est pas vraiment un acteur qui me fait rire donc c'est peut-être dû à lui si je n'ai pas aimé ce film.

Waow, ce film est .. détestable, ils cumulent les conneries et emmerde, au moment ou on crois impossible de tomber plus bas, le pire arrive, ce qui provoque un sentiment désagréable de stress, c’est un film a voir quand même. je ne me rappel plus du dinner de con, c’est pourquoi je juge ce film en tant que création originale, il est très spécial d’ailleurs ce film, mais il mérite le coup d'oeil. les acteurs sont tous très bons, et pour les fans de steeve carrell, vous serez servi. il nous est servi avec comme dessert, une morale qui nous dit que c’est pas bien de nous flatter l'ego en nous fouttants des pauvres gens qui font de leurs mieux, et qui sont bizzare..
puis les rôles s'inversent sans surprises. bref, j'ai bien aimer, c’était drôle, mais pas très évolué.

C'est tout simplement pathétique. J'ai attendu 45' et comme je n'avais pas encore ri une seule fois, j'ai arrêté de regarder cette daube !

Pas mal, je l'ai trouvé amusant, plus que "Date limite", même si c'est plein de bons sentiments, et alors ? le ciné c'est aussi pour ça. Carell en fait trop parfois mais son personne n'en reste pas moins émouvant.

Dommage, le titre français terriblement stupide, traduisant un titre en anglais par un autre titre en anglais, juste légèrement simplifié ! "Le dîner", c'était trop simple ?

un remake d'Hollywood que dire de plus à part que c'est une daube à des années lumières de l'original: le diner de cons!

24 % .

« In my book, you’re a winner too. »

Cette adaptation du Dîner de Cons (Francis Veber) est à la fois bonne et exécrable pour la même raison : son interprétation. Si Paul Rudd joue juste, si Steve Carrell est éblouissant de naïveté et de bêtise, malgré ses dents et ses cheveux postiches, assez inutiles, les autres interprètes jouent faible voire sont carrément mauvais, même Zach Galifianakis, pourtant très bon dans la trilogie Very Bad Trip/Hangover (Todd Phillips, 2009, 2011, 2013).

La réalisation (Jay Roach, trilogie Austin Powers, 1997, 1999, 2002 et les deux premiers films de la trilogie Mon Beau-Père et Moi, 2000, 2004), elle, n’offre rien de transcendant. Soyons honnêtes, ça n’est pas non plus ce qu’on attend d’une comédie populaire.

Si l’on veut vraiment comparer avec l’original (la pièce et le film de Veber), exercice inévitable, on sera obligé de reconnaître que cette version étasunienne perd en méchanceté cynique ce qu’elle gagne en poésie, voire en bienveillance. Les scènes sont moins théâtrales et la narration plus éclatée, même parfois trop déliée. Surtout, on assiste au dîner de cons, qui n’a jamais lieu dans la version française. On début de la scène, on se dit « nan, fallait pas le faire et laisser planer le doute sur ces soirées sordides », puis on finit par se ranger aux côtés des scénaristes (David Guion et Michael Handelman également auteurs de La Nuit au Musée : Le Secret des Pharaons, Shawn Levy, 2015), tant la longue scène est d’anthologie.

Au final, si l’on se défait de la comparaison, difficile, avec le scénario original de Francis Veber, on devra admettre que cette adaptation sait vivre sa vie seule et de manière plus que respectable, tant les gags sont parfois inattendus et originaux, jusqu’au début du générique de fin.

Trop imbus d'eux mêmes pour distribuer une bonne comédie française sur leur territoire, les producteurs américains préfèrent encore une fois la réadapter à leur sauce et nous livrer... cette sombre merde...

Après avoir vu The Dinner, je me suis senti obligé de revoir dans la foulée Le Dîner de Cons de Francis Veber pour la 10ème fois afin d’expier mon péché. J’ai pu ainsi lavé mon âme avec 80 minutes de fou rire renouvelés. Une flagellation en règle de mes zygomatiques.
The Dinner fait partie de ces remake qui n‘auraient jamais dû voir le jour. Le scénario ne respecte que trop peu l’histoire originale. Les personnages recréés pour l’occasion sont très loin d’effleurer la finesse d’un Pignon et d’un Brochant campés par Villeret et Lhermitte; les dialogues frisant le ridicule ne sont rien en comparaison des répliques ciselées du modèle. Et que dire de l’action qui plonge la tête la première dans le vulgaire et la gaudriole, avant de s’avachir dans une sentimentalité larmoyante propre aux comédies américaines. J’ai passé le générique de fin dans la même pose que Paul Rudd sur l’affiche.
En somme, si vous ne l’avez pas vu et que vous avez adoré le Dîner de Cons, ne le regardez surtout pas, ce film est lamentable. Un avantage tout de même : si vous devez participer, un de ces quatre, à un dîner de cons n’hésitez pas à vous faire accompagner par Jay Roach, Steve Carrell ou Paul Rudd. Vous allez faire un malheur!

Piètre remake du dîner de cons... Seul Paul Rudd essaie de sauver le naufrage mais il ne peut pas faire grand chose et Stephanie Szostak fait le job. Steve Carell (pourtant très bon acteur) rate totalement son personnage (choix perso ou mauvaise direction) et fait honte à l'interprétation de Jacques Villeret. Le personnage n'est pas drôle, en aucun cas touchant et surtout insupportable. Francois Pignon n'est pas un con et malgré ses maladresse il reste un personnage qu'on apprécie tout l'intérêt du film est là et ici c'est raté... dans ce remake le personnage est insupportable, difficile de ne pas zapper à cause de lui c'est un comble.
Point positif Jemain Clement et Zack Galifianakis sont très drôle.

À fuir : comment faire à partir d un aussi bon film " le dîner d'économie " une bouffonnerie pareille ....

L'adaptation du dîner de cons se permet ici de sortir du contexte de la pièce, et donc de baser l'histoire sur plusieurs jours, et de nous montrer à quoi peut bien ressembler un dîner de cons américain. L'histoire et les personnages restent sensiblement les mêmes que dans la version française, mais les personnages sont changés et encore plus poussés dans la folie pour certains. Évidemment, une version américaine se fait avec une morale très importante à la fin, mais ça ne gâche en rien le film, bien sympa au final.